Thème « animaux des champs et des bois »
Au joli Bois des Roses, il y a 7 maisons, beaucoup d’histoires et d’amitié. Monsieur Ours se demande si une abeille n’est pas trop petite pour devenir son amie. Crapaud, qui rêvait d’être explorateur, invente chaque jour des histoires pour son ami Scarabée. Mademoiselle Renarde, l’institutrice, enseigne l’histoire, la géographie, les mathématiques et l’alphabet… Quant à Blaireau, il vend des bougies. Des grandes et des petites. Et, surprise ! il est né le même jour que les octuplés de Monsieur et Madame Lapin !
Quand Bernard décide de faire une fête pour elle, Lola est ravie. Mais quand Bernard ouvre la porte à une invitée surprise, elle n'a plus trop envie de faire la fête. La nouvelle venue s'appelle Margaret Panache. Elle porte des boucles d'oreilles et un manchon. Elle a une queue comme celle de Bernard et une tête comme celle de Lola. Bernard trouve qu'elle est vraiment très belle et il ne peut plus s'empêcher de la regarder.
Il arrive qu’un auteur se trouve en panne d’idées. Ou en panne d’histoires. Ou en panne de personnages.
Alors, quand il se nomme Michaël Escoffier, il placarde quelques affiches à l’orée du bois et le tour est joué. Du moins, c’est ce qu’il espère…
C’est l’automne. Le vent emporte les dix feuilles jaunies d’une branche de saule. Sont-elles vraiment mortes ? Pas si sûr ! L’une sauve une sauterelle de la noyade. La deuxième fait un nid douillet à un écureuil. Sur la troisième, on peut prendre des notes…
Oui, une feuille d’arbre, même morte, c’est encore vivant et ça peut servir ! À garnir un herbier, à allumer un bon feu, à décorer un lampion, à faire naviguer un petit bateau… Et puis, dévorée par un ver de terre et décomposée, une vieille feuille devient de l’engrais, et aidera les feuilles fraîches à pousser. Alors, vive les feuilles !
Quand leur maman laisse les treize souriceaux à l’école, tout est calme. Très calme : il n’y a personne. Ni maîtresse ni surveillant. Le silence, à part le directeur qui ronfle là -haut. Il faut dire que c’est dimanche et que, normalement, il n’y a pas école. Mais, normal ou pas, Elvis le hibou est maintenant bien réveillé : les treize souriceaux sont là , dans sa chambre. Il va vite falloir trouver quelque chose pour les occuper. Une sortie : voilà la solution ! Mais un hibou, une belette, un hérisson et treize souris en ville, ça ne passe pas inaperçu...
Imaginez un grenier, et dans ce grenier, un canoë. Ajoutez un hibou, une belette et 13 souriceaux. Le directeur, la maîtresse et les élèves : l'école des souris est au complet. Presque : il manque Ricky, le surveillant. Même si, aujourd'hui, il est un peu endormi. Il faut dire que c'est la fin de l'automne et que les hérissons, normalement, hibernent. Et voilà qu'une poudre blanche se met à tomber du ciel. Du fromage râpé ? Non, de la neige (tu l'avais deviné). Toute la troupe part dans le bois. La neige, c'est très amusant, mais aussi très dangereux...
Elvis le hibou en a marre : impossible de lire tranquillement le journal, de remplir son herbier ou de faire une bonne sieste. Il aime bien avoir de la compagnie, mais comment faire pour que les petites souris fassent moins de bruit ? Les humains ont trouvé une solution en mettant leurs enfants à l'école. Voilà comment Elvis devient directeur d'école.
C'est bientôt le mariage de la fille de Madame la Taupe. Tout le monde se fait faire des robes par Élise, la couturière. Elle est très douée, Élise. Les robes et les manteaux qu'elle confectionne sont magnifiques. Mais on dit qu'elle a mauvais caractère. On ne sait même pas si elle viendra au mariage. La vérité, c'est qu'Élise se trouve moche. Elle pense que les jolies robes, les volants, les dentelles, ce n'est pas pour elle. Martha l'araignée, qui habite dans un coin de la salle de bain et avec qui Élise papote souvent, le soir, est la seule à comprendre qu'elle est malheureuse. La seule à deviner qu'elle aimerait bien aller au mariage. Soudain, il lui vient une idée : cette fois, ce sera elle la couturière. Elle va tisser en secret pour son amie la plus belle robe qu'on puisse imaginer...
Quand il pleut, chacun reste chez soi, c’est un peu triste. Alors l’écureuil a l’idée d’inviter tout le monde à faire la fête. Tandis qu’il prépare à manger, Madame la taupe et le merle vont distribuer les invitations. Mais tout se met à aller de travers : des grumeaux dans la pâte à crêpe, une odeur de brûlé, les invités qui arrivent et ce martin-pêcheur jamais content…
Grignotin et Mentalo sont inquiets. Voilà un moment qu’ils sont penchés sur la carte du monde, et ils ont beau chercher partout, ils ne trouvent pas leur forêt. Est-il possible qu’elle n’y soit pas ? Est-ce un oubli ? Sanglier vient les aider… mais en reniflant la carte de trop près, il en mange un morceau. Évidemment, il est incapable de dire quel pays il a mangé. Mentalo propose de lui ouvrir le ventre, mais Sanglier n’est pas d’accord. Que faire ?
Ce livre est le cinquième tome des aventures de Grignotin et Mentalo. Comme dans les épisodes précédents, on y ressent le plaisir que Delphine Bournay éprouve à suivre ses personnages, à les laisser décider des péripéties de chaque histoire au gré de leurs disputes et réconciliations quotidiennes.
Je ne veux plus être un écureuil ! Si on m’avait demandé mon avis, j’aurais choisi autre chose. J’aurais choisi d’être un castor. Pour bâtir un monde meilleur ! Mais en réalité, c’est quand même fatiguant la vie de castor, et de toute façon, j’ai toujours rêvé d’être un cerf. Pourtant là encore, j’espérais beaucoup mieux. Ou alors… un hibou ? un hérisson ? Ah non, je sais ! Et vous, le savez-vous ?
Destin hors du commun que celui d’Olga Lecaye. Elle a commencé à publier des livres à soixante-dix ans passés. Mais sa vie d’auteur pour la jeunesse avait débuté bien avant ! À la maison, pour ses enfants, elle écrivait et illustrait des histoires sorties de son imagination fertile et de son immense culture, peuplées d’animaux, situées dans des jardins et des forêts de neige, ponctuées de jours de fête.
Voici réunies les cinq plus fameuses : Le petit lapin de Noël, Didi Bonbon, Docteur Loup, Neige et La petite souris.
Tous les soirs, Élan et sa famille s’installaient confortablement devant la cheminée, puis Élan leur racontait une histoire. Un jour, il fut à court d’idées. Il décida d’aller à la bibliothèque emprunter des livres. Ourse et ses oursons s’invitèrent chez Élan pour écouter l’histoire. Puis les autres animaux de la forêt vinrent. La maison d’Élan devint trop petite. Élan se rendit à la casse pour remettre à neuf un vieux bus ! Ce fut le début d’une grande histoire de lecteurs.
Marie-Ange la mésange, l’amie du cerf Roland, arrive avec une grande nouvelle : un concours de chant a lieu cet après-midi sur les bords du lac. Participe, toi qui a une voix de velours, tu vas gagner ! Leurs amis les encouragent, mais les voilà bloqués par une manifestation d’escargots, qui n’est que le premier obstacle d’une longue série sur leur chemin. Heureusement, tout au bout, une surprise attend Roland.
Un arbre qui vient s’installer dans une forêt, même à Forêveuse, on n’avait jamais vu ça. Loubliette l’a croisé un beau matin alors que l’intrus se déplaçait discrètement sur la pointe des racines. L’arbre s’est planté à côté du bar de Campagnôle, puis s’est fondu dans le décor pour mieux passer inaperçu. Peine perdue ! Les oiseaux menés par Mésangélique l’ont vite déniché. Le hêtre a fini par expliquer qu’il s’était réfugié à Forêveuse pour échapper aux dents d’un castor fou. Doit-on lui donner asile ou le renvoyer chez lui ?
Il va falloir se décider très vite : l’arbre s’est mis à émettre un gaz toxique !
Les habitants de la forêt de Forêveuse sont inquiets. Toutes les nuits, de terribles cris les empêchent de dormir. Les dix-huit petits de Sourigolote pleurnichent de fatigue et épuisent leur mère. Hermine-de-rien a de grandes cernes qui salissent sa belle fourrure. Pivert-derage menace de déménager. Seul Loubliette, le loup qui n’a pas de mémoire, a oublié ses problèmes d’insomnie. Comme si cela ne suffisait pas, les fourmis se déchaînent et piquent à tout va. C’est donc dévorés par les fourmis, épuisés et fourbus que les animaux décident de mener l’enquête et vite !