Thème « voyage »
« Dis pépé, qu'est-ce qu'il y a dans cette boîte ? – Dans cette boîte, mon p'tit pote, il y a toute une histoire. Ouvre. – Qu'est-ce que c'est qu'ce truc ? – Ce truc, comme tu dis, n'est pas une poêle à frire. Laisse-moi te raconter... »
Découvrez la fabuleuse histoire du ukulélé et de ses inventeurs. Un voyage musical écrit, lu et chanté par Thomas Fersen.
Un beau jour, Sauterelle décide de partir en voyage. Elle trouve une jolie route qui serpente à travers la campagne, et choisit de la suivre. En chemin, elle fait d’étonnantes rencontres. Un moustique responsable d’une mission capitale. Une mouche qui aime tellement faire le ménage qu’elle voudrait nettoyer le monde entier. Trois papillons qui font les mêmes choses chaque jour, à la même heure, sans jamais rien changer. Sans oublier le club des Scarabées amoureux du Matin… mais attention, malgré leurs airs enjoués, ces scarabées ne sont pas commodes.
Tout le monde a immédiatement des images et des noms en tête. La tristesse oubliée de Petit Éléphant grâce aux ruses de son oncle, Isabelle et Porculus, les combattants de la propreté sale, Hulul et son fauteuil, l’invention d’histoires magiques et salvatrices, Ranelot et Buffolet, les icônes de l’amitié. Chez eux, c’est la maison des Objets et des Sentiments Trouvés, rien n’est perdu, rien n’est jeté, tout s’offre dans sa tendre poésie et la beauté des sentiments. Parce que les livres sont comme les lettres tant attendues par Buffolet, – ils éclairent les moments tristes de nos vies –, Arnold Lobel a envoyé des messages pour des siècles de lecteurs.
On n'a pas tous les jours l'occasion de partir au Kenya faire la connaissance de son grand-père. Et on n'a pas tous les jours l'occasion de devenir la meilleure amie d'un éléphanteau. Ni de se perdre dans la brousse. Elsa sait tout cela, et elle est bien décidée à profiter de chaque seconde de ses vacances !
Un cochon part en voyage, l’illustratrice travaille derrière sa table.
Je dessine un long train, un train avec beaucoup de voyageurs.
Est-ce déjà une histoire ? Tourne la page, tu en sauras davantage.
Noël approche et Sunny le suricate en est certain : sa famille ne prépare pas les fêtes convenablement. Pour un Noël digne de ce nom, comme chacun sait, il faut de la neige, un sapin et de délicieux mets. Sunny part donc à la recherche d’un endroit où Noël sera PARFAIT. Mais pour un Noël parfait, peut-être faut-il simplement être auprès des siens...
Quand on est en colère, quand tout va mal, il est bon parfois d'aller faire un tour. Le tour du quartier, le tour du parc, le tour du village... Et pourquoi ne pas faire le tour du monde ?
L’hiver, pour les moutons, n’est pas la saison la plus agréable. Ils doivent rester dans la bergerie, à manger du foin qui colle aux dents, surveillés par le chien du berger. Mais Zappa, leur cheffe, a une idée. Mieux que ça, elle a un téléphone et peut aller sur Internet. Et sur Internet, on peut faire plein de choses, comme acheter quatorze billets d’avion pour Tahiti, où c’est toujours l’été...
C'est l'été. Zouzou se réveille en chantant. "J'ai descendu dans mon jardin pour y cueillir du romarin ..." Mais il fait si chaud ! Rien de tel qu'un voyage en montgolfière pour se rafraichir. Où Zouzou et ses amis vont-ils atterir ?
Le collège, la maison, les copines : à treize ans, la vie d’Élise est trop banale à son goût. Elle a beau se rêver photographe, elle se contente de prendre des photos avec son petit téléphone.Jusqu’à ce jour où sa mère lui propose, pour premier voyage, de l’emmener aux Bahamas avec Léa, son amie d’enfance.Les Bahamas, un paradis, comme le vantent les brochures touristiques ? On en est loin : sa mère n’est jamais disponible, Léa est l’amie trop parfaite. Pour comble de malchance, un cyclone tropical s’approche...Mais là, au bord de la piscine, Élise trouve un appareil photo. Pas n’importe lequel : un Leica mythique. Jusqu’où ira Élise pour imiter les « chasseurs de cyclones », ces photographes risque-tout qu’elle admire ?
C’est l’histoire d’une famille trimballée sur les routes, dans une carriole. Depuis toujours, le père raconte à ses trois enfants qu’ils ont tous été chassés d’un splendide palais situé dans un pays tout aussi splendide. Dora s’en fiche de cette histoire, elle ne souhaite qu’une chose : ne plus bouger, s’arrêter, aller à l’école, au moins une année. Pavel, le petit dernier, y croit dur comme fer. Clow, le plus espiègle, celui qui se fait toujours gronder, n’y croit plus depuis longtemps. Un matin, il décide de dire la vérité à Pavel. Et ça fait mal.
C’est dans l’estomac d’un requin que commence l’un des plus extraordinaires voyages relatés par Jules Verne. En effet, le squale a avalé une bouteille contenant un message qui, une fois partiellement déchiffré, révèle le naufrage d’un navire, le Britannia, et de son capitaine, le valeureux Harry Grant. Seule certitude sur la localisation du naufragé, il se trouve sur le 37e parallèle.
Un courageux lord écossais, sa charmante jeune femme, un major impassible, un géographe français distrait et les deux enfants du capitaine Grant vont donc suivre ce 37e parallèle, franchir les Andes et leurs incessants séismes, traverser la Patagonie, survivre à un ouragan et poursuivre leurs recherches… en Australie. Là, ils retrouveront l’ancien quartier-maître du Britannia, un dénommé Ayrton, qui les trahira pour livrer leur navire aux pirates, puis ils échoueront sur les côtes de la Nouvelle-Zélande où ils tomberont aux mains des cannibales…
Bouteille à la mer, tour du monde, pirates, cannibales, naufrages : tous les ingrédients sont réunis pour « mettre en scène des rêves de petit garçon » – la définition du roman d’aventures par le maître du genre : Robert Louis Stevenson.
Les Enfants du capitaine Grant constituent le premier volet d’une trilogie romanesque que complètent Vingt Mille Lieues sous les mers et L’Île mystérieuse.
Les Instructions officielles de l’Éducation nationale recommandent l’étude d’un roman de Jules Verne en classe de cinquième.
Être le plus grand, être le plus fort, mais tellement grand et tellement fort qu'on n'a aucun besoin d'imposer ni sa taille ni sa force, c'est la situation dans laquelle se trouve Gulliver à Lilliput. Et il en profite, tranquille comme une montagne, pour observer l'agitation, les intrigues des hommes, ces tout petits. Il est en butte à leur ingratitude, à leur méchanceté, à leur goût du pouvoir, mais il ne se venge pas : il regarde attentivement, constate, puis rentre chez lui…
Ce voyage à Lilliput représente de belles aventures, où l'imagination et l'humour sont de la fête. Mais le plus vif de ce livre est ailleurs, dans une réflexion légère sur ce qui occupe et motive la société des hommes.
Pour Jacques, cela ne va plus très fort depuis le départ précipité de son ami Anton en Russie. Tout le monde a beau essayer de lui changer les idées, Jacques, lui, a perdu son ami russe. Pas seulement un ami capable de transformer les brins d’herbe en douce musique, les cabanes de bois en palais, et les mots en or, mais un ami russe, capable de vous faire comprendre la magie des forêts, de vous faire sentir les mouvements du Transsibérien et de vous cacher sa vie d’immigré clandestin. Tout ce qu’il aimait. Tout ce qu’il ne peut pas oublier.
Alors, les matins gris, le coeur brisé, le goût à rien, Jacques s’est fait la promesse de garder à jamais le souvenir d’Anton. De vivre pour cela. Jusqu’au jour où ses parents lui offrent le plus beau cadeau d’anniversaire imaginable : un voyage en Russie pour retrouver Anton. Tout semble à portée de main. Mais en Russie, les mains sont drôlement, magnifiquement, intensément surprenantes.
Plus personne ne peut vous dire comment les bons élèves de cette école de campagne du Missouri ont occupé leurs vacances d'été 1860. Non. Le seul qui soit resté dans l'Histoire, c'est Simon Green, le cancre, celui qui avait quadruplé son CE1. Cette année-là, les dindes avaient pondu comme des lapins. Beaucoup trop. Valaient des clopinettes. Cette année-là, à Denver, à mille kilomètres d'ici, on bâtissait à tour de bras, et rien à se mettre sous la dent. Là-bas, ils étaient prêts à payer une dinde cinq dollars. C'est bien simple, Simon, à peine sorti de l'école, il a fait ses comptes. A emprunté toutes ses économies à l'institutrice. A acheté mille dindes. A embauché comme charretier Bidwell Peece, le plus grand ivrogne du pays devant l'Éternel. Et s'est juré de faire fortune à la fin de l'été. L'oncle Lucas lui a fourgué en héritage son chariot le plus pourri. Et vogue la galère ! Ils n'étaient pas nombreux, ceux qui auraient parié sur un attelage pareil : l'ex-ivrogne repenti, le cancre indécrottable et les mille dindes réclamant chacune ses cinq litres d'eau par jour. D'autant que, très vite, ils ont été rejoints par Jabeth, un esclave noir en cavale qui rêvait du pays de la liberté. Et comme si ça ne suffisait pas, des types à dos de chameau se sont mis à les poursuivre. Parole, à dos de chameau ! Avec des fusils partout. Et les Indiens Potawatomis et leur chef John Prairie d'hiver les ont arrêtés sur leur territoire sacré. Et il y a eu aussi la fille qui piquait sa crise de nerfs dans la prairie maudite, et la cavalerie qui n'avait pas cavalé depuis si longtemps qu'elle prétendait faire un carton sur les dindes, et... Enfin, de quoi créer des liens entre Simon, l'orphelin, Bidwell, le vieil ivrogne bon à rien, et Jabeth, l'esclave en fuite. Et faire d'eux des héros inoubliables. Au point de vous donner furieusement envie d'être cancre, dans le Missouri, en 1860.
Ernest attendait sagement à l'arrière de la voiture de son père, quand il les a vues débouler. Deux filles échappées du pavillon psy pour ados. L'une s'est installée au volant, l'autre a pris la place du passager. Et voilà comment Ernest, fils de médecin, s'est retrouvé embarqué dans une folle équipée en compagnie de Lili, bipolaire, et d'Elodie, atteinte d'un autisme sévère. Pour être honnête, Ernest n'a rien fait pour les arrêter. Comme si lui aussi avait envie de s'évader, loin, bien loin de son destin tout tracé. Un road-trip de dingue !
Depuis un événement tragique qui l’a rendue orpheline, Alice vit chez sa tante. Elle a une cousine du même âge, Coline, à qui elle pourrait se confier, mais Alice ne se confie à personne. Certains mots en sa présence sont interdits ; elle prend des douches plusieurs fois par jour ; elle a des crises d’eczéma ; elle ne supporte pas la foule. Jusqu’au jour où elle annonce à sa cousine, stupéfaite, qu’elle a décidé de partir trois semaines pour le Groenland.
Coline — Tu pars à quelle heure dimanche ?
Alice — Cinq heures du matin. Tes parents m’emmènent à l’aéroport. Ensuite Reykjavik puis Ilulissat tout à côté du plus gros fjord glacier du Groenland.
Coline — T’as pas peur ?
Alice — De ?
Coline — Que tes angoisses reviennent.
Alice — Là-bas, je serai neuve. Je ne serai pas l’orpheline du 13. Je pourrai tout inventer. Personne ne me connaîtra.