Thème « sports »
Plus que trois jours avant le match contre les Allemands. C’est la première fois que l’équipe de foot de Bagamoyo, Tanzanie, va rencontrer une équipe européenne, avec des maillots et tout le grand jeu. En tant que capitaine, Nelson doit encore remettre le terrain en état, trouver des filets pour les buts et réunir tous les joueurs. Parmi eux, il y a Mandela, sa soeur jumelle, imbattable en défense. Leur père les a ainsi baptisés car ils sont nés le 9 mai 1994, le jour où Nelson Mandela est devenu le premier président noir d’Afrique du Sud. Mandela est très différente de Nelson. Elle se mêle toujours de tout et se bagarre à la moindre occasion. Mais dès qu’il est question de football, Nelson peut compter sur elle.
C’est au cours d'un de ses nombreux voyages qu'Hermann Schulz a assisté à un match de football mémorable à Bagamoyo, qui lui a inspiré l’histoire de Mandela et Nelson. Depuis cette rencontre, Hermann Schulz a créé un partenariat entre une équipe allemande et les Saadani de Bagamoyo.
Le match entre l’équipe de Mandela et Nelson et l’équipe allemande vient à peine de se terminer. Les joueurs des deux camps fêtent ensemble leurs exploits, et l’entraîneur allemand propose déjà d’organiser un match retour. Oui, un match retour. En Allemagne ! Mais… comment faire ? Prévoir un tel voyage, c’est toute une aventure dans le quartier de Bagamoyo, en Tanzanie. Mandela, Nelson et leurs amis ont quelques mois pour réaliser leur rêve : jouer en Allemagne, et voir le stade du mythique Borussia Dortmund.
Rejeté par sa mère, Mistral le poulain est devenu le frère de lait d'Engane, le taurillon. Pierrot les a nourris patiemment au biberon, dans la grange. Depuis, ils sont inséparables. À présent, ils ont grandi. La tempête d'équinoxe d'automne fait rage sur les paysages splendides de la Camargue. Excités, affolés par le tonnerre, les deux amis s'enfuient, de l'étang de Vacarès au phare de la Gachole... Pierrot est chargé par son père de les retrouver.
Je m’appelle Léo, et ce n’est pas pour rien. Je vais avoir huit ans mais déjà , comme Lionel Messi, ma vie c’est le football. Dribbler, shooter, marquer… Si je pouvais, je passerais tout mon temps avec un ballon, sur les traces de mon idole. Sauf qu’il y a l’école aussi. Pour entrer en CE2 la semaine prochaine, il faut que je m’entraîne au moins deux heures par jour à lire et écrire, sinon je risque de redoubler. Papa dit que je m’en sortirai très bien de toute façon, mais maman est très inquiète. D’autant que, depuis quelques semaines, Michel, mon grand frère, s’enferme dans sa chambre à longueur de journée. Il a l’air ailleurs, comme s’il attendait quelque chose ou quelqu’un. Mais le temps presse, si on veut éviter les prolongations…
Toudoum… Toudoum… Chaque matin, Sisanda commence par compter les battements de son cœur et le nombre de jours qu’elle a vécus depuis sa naissance.
Puis, elle regarde sa mère se glisser hors de la case pour aller courir dans les collines : Maswala, sa Mamantilope, cavale pour le plaisir pendant des heures, pieds nus, là où même les bergers ne vont pas avec leurs troupeaux.
Sisanda, elle, ne peut pas courir. Ni sauter, ni jouer avec les autres, ni rien, à cause de son petit cœur imbécile et de sa maladie idiote. Le médecin lui a dit qu’elle avait beaucoup de chance d’être encore en vie. Vraiment beaucoup. Ici, il ne peut rien faire, il faudrait opérer Sisanda dans un hôpital spécialisé à l’étranger. Et ça coûte cher… Un million de kels ! Elle a compté qu’il faudrait à ses parents trente-huit ans, trois mois et vingt jours pour réunir autant d’argent…
Mais tous ces calculs sont faussés lorsqu’elle découvre que Maswala pourrait gagner la même somme en courant aussi vite qu’une antilope…
Il y a souvent une histoire vraie à l’origine d’un roman de Xavier-Laurent Petit. Ce dévoreur de journaux a découvert l’existence de Chemokil Chilapong dans un article de Courrier international qui racontait comment cette simple fermière avait pu financer la scolarité de ses enfants grâce à sa victoire au marathon de Nairobi. Il n’en fallait pas plus pour que son imagination s’emballe et nous entraîne dans les foulées de Maswala, la mamantilope d’une petite fille au cœur malade…
Dans la classe, tout le monde sait nager, sauf Alice. Elle vient d'arriver à Juan-les-Pins, elle est nouvelle au CM1. Alice est la plus forte en calcul, en dictée, en récitation, mais, avec son corps trop lourd, son maillot marron trop moulant et sa serviette trop petite, au bord de la piscine où elle doit entrer pour la première fois de sa vie, elle se sent un zéro, un éléphant, une statue de honte et de peur. Les moqueries fusent et, sitôt qu'Alexandre, le beau maître nageur, prend Alice sous son aile, la jalousie donne aux autres l'envie de monter un complot contre elle. Pas grave ! Ses parents sont si gentils qu'ils lui offrent le maillot turquoise et la serviette jaune d'or dont elle rêve, et Alice sait qu'Alexandre la protégera contre vents et marées, rivales et angoisses. Mais voilà , la semaine suivante, il est en congé, et c'est Jérôme, un sportif brutal et impatient, qui le remplace...
Le mercredi matin, Jean apprend à monter à cheval, ou plutôt à poney. Maintenant, les troussequin, étrilles, rênes, volte, demi-volte et demi-volte renversée... n'ont plus de secrets pour lui.
Un ABC d'équitation pour tous ceux qui préparent leur première étoile par un maître en la matière. À offrir sans tarder à tous les veinards qui fréquentent un poney-club. (La Revue des Parents, octobre 1989).
Par excellence, le cadeau de Noël pour les enfants amoureux de leur poney. (Le Figaro, 25 décembre 1989).
Bravo ! (Le Monde équestre, mars 1990).
Cette histoire se passe en Chine, il y a très, très longtemps. Un soir d'hiver, Maître Yang, un grand sage, rentre chez lui en serrant dans son manteau un petit garçon à demi mort de froid. Ce garçon est orphelin. Maître Yang prend soin de lui et se charge de son éducation. Une nuit, le garçon découvre que Maître Yang connaît la boxe de l'Aigle et qu'il la pratique à la perfection. Dès lors, chaque nuit, il se cache pour observer Maître Yang, et répète tous les mouvements qu'il voit jusqu'à les savoir par coeur. Quand Maître Yang s'en aperçoit, sa première réaction est la colère. Mais l'enfant est si doué qu'il décide de faire de lui son disciple. C'est le début d'un apprentissage terriblement long et difficile, qui permet d'acquérir des capacités exceptionnelles...
Un pneu crevé, la chaîne cassée... Rémi pourra-t-il participer à la course de vélos de son quartier ? Heureusement, son père est là . Car il en faut, des astuces, pour réparer un vélo !
L’histoire de la famille de Léa et Théo est liée de près à celle du vélo, et c’est à l’occasion d’une promenade au parc en compagnie de leur grand-père qu’ils vont le découvrir. L’arrière-grand-père des enfants, marchand de cycles et mécanicien, a aussi été un grand champion, mais ce n’est pas tout.
D’autres ancêtres ont joué un rôle crucial dans l’évolution des « deux roues ». Comment le pédalier a-t-il été inventé ? En quoi consistait ce sport oublié, le cycle-balle ? Les « manèges à bicyclettes » ont-ils vraiment existé ?
Au fil du récit de leur grand-père, les deux enfants traversent toute l’histoire du vélo, de la draisienne au Vélib’ en passant par le grand bi et la « bicyclette de sécurité » !
Avec les chevaux de Mérens dans les Pyrénées : les chevaux font la transhumance, eux aussi ! Dès les premiers beaux jours, après une préparation minutieuse des fers et du matériel, c’est le grand départ. Après deux jours de randonnée, ils arrivent au cœur des montagnes, sur l’estive où ils passeront cinq mois, apprendront à s’ébattre en liberté, à vivre ensemble, à devenir forts et indépendants. Cette année-là , le premier départ de Tamina, sa pouliche, est un crève-cœur pour Justine. Mais… à quelque chose malheur est bon. Grâce à un incident signalé par un ami berger, Papa décide de remonter… et d’emmener Justine avec lui !
Tous ces poulains, j’ai assisté à leur naissance, c’était ma grande passion. Et aujourd’hui encore, malgré tout ce qui m’est arrivé, c’est ce qui m’intéresse le plus : le prochain poulain à naître. Le voir se lever, hésitant, trébucher, se coller à sa mère, téter, tout ça, et puis courir, et grandir, et bientôt gagner une course, avant de donner naissance à d’autres poulains, et ainsi de suite. Certains chevaux deviennent des cracks, il suffit de les faire courir, ils vont plus vite que les autres. Pourquoi ? C’est un mystère. Du moins c’est ce que prétendent ceux qui ont un crack : « Mystère et boule de gomme. » Mais faut-il les croire ? N’ont-ils pas, en vérité, trouvé la potion magique ?
Tempête au haras a été lu par Alice lors de la finale des Petits Champions de la Lecture qui s'est tenue à la Comédie française le 29 mai 2013. Retrouvez la vidéo de cette lecture.
Ce roman a été adapté en BD aux éditions Rue de Sèvres, sur un scénario de Chris Donner et un dessin de Jérémie Moreau. Découvrez la vidéo réalisée avec Jérémie Moreau
Dans la ville de Montmartigues, on a la passion du rugby. Martin Bonfils a 14 ans, il joue dans l'équipe locale des "cadets" après avoir été "poussin", puis "minime". Bon joueur, il a des copains, une ravissante petite copine, c'est la belle vie. Mais voilà que dans sa classe de 3e arrive un nouveau, un parisien, Antonin Beau. Beau est beau, il fait craquer les filles, mais il se révèle sympa, marrant et gentil. N'aurait-il aucun défaut ? Si, il en a un, et un gros, ici, à Montmartigues : il ne connaît RIEN de RIEN au rugby...
Ça fait maintenant quatorze ans qu'Alexa Victoire Hannibal, dite Alex, est un garçon manqué. La nuit de sa naissance, elles étaient huit femmes de la famille à guetter la merveille, le prodige, le miracle promis par l'échographie : le premier garçon depuis des siècles dans une lignée exclusivement féminine. Mais tout le monde peut se tromper, même les échographies. Alors pendant toutes ces années, Alexa s'est appelée Alex, a joué au foot, s'est baignée en T-shirt, est devenue la reine du roller et a souri quand on lui disait : « Bonjour p'tit gars ! »
Or, depuis quelques jours, en se regardant dans son miroir, Alex commence à se demander à quoi ça ressemblerait d'être une fille, une vraie fille, une fille réussie. L'éveil du printemps, en quelque sorte. Mais comment le dire ? Et à qui ? Et pourquoi ? Et à quoi bon ? Et après ? Alex a su patiner à deux ans, avant de parler. C'est ce qu'elle adore dans les patins, rollers, snake-boards et autres quads : ils sont un langage à eux tout seuls. Quand on glisse, le vendredi soir, le long de l'avenue d'Italie, on peut se taire. Les arabesques en disent long. Les pleins et les déliés des mouvements sont plus éloquents que des phrases. Surtout quand on sait trop bien ce qu'on voudrait crier à la terre entière, et plus particulièrement à Abdel Leroy-Merlin, le pote de toujours, qui lui ne sait pas patiner d'ailleurs. Mais qui écoute et qui observe. Le problème, si Alex se change subitement en fille, comme un vieux crapaud en princesse, c'est que ça va se voir et se commenter, dans la cour du collège où les langues de vipère passent leur temps à décortiquer la vie privée des filles. Le problème, si Alex ne fait rien, c'est qu'elle sera toujours privée de la vie privée des filles. Mais il arrive que le hasard, le printemps et les rollers arrangent quelque peu les choses.
En classe de 3e, Mohammed-Ali est discret et populaire. Pour lui, le collège ça roule. Tranquille. En apparence du moins, car il a une vie secrète. La nuit, il sort de chez lui pour aller taguer. Et surtout, il est amoureux d’Aimée, qui ne pense à rien d’autre qu’au football. Comment faire pour qu’elle le remarque ? Par chance, Mohammed-Ali peut compter sur le soutien de Lina et Margaux. En amour comme au football, il faut un plan de jeu. Il faut avoir du style.Il va inviter Aimée à voir un match au Stade de France.
À la fin de sa seconde, Zako est réorienté en section professionnelle et se retrouve dans un lycée du Jura en menuiserie. Dégoûté, loin de chez lui, il a d’abord du mal à trouver sa place et doit affronter des blagues sur son accent de banlieue, sa couleur de peau. Mais il va peu à peu prendre goût au travail du bois et s’y épanouir. Aimée descend à Marseille pour passer les détections dans un centre d’entrainement de foot féminin. La maladie de sa mère va contrarier ses plans. Va-t-elle devoir sacrifier sa carrière pour s’occuper de sa petite sœur ?















