Thème « sciences de la nature »
Dans le désert, Noa a disparu depuis 18 jours. Sa soeur Salma et son frère Cosmo espèrent son retour. Pour échapper à la tempête de sable, Cosmo suit un petit fennec et se réfugie dans son terrier. Il tombe. Une chute vertigineuse qui le précipite dans un monde souterrain. Cosmo erre dans ce labyrinthe de grottes et de tunnels sur lequel règne Sorel, un adolescent imprévisible, aussi charmeur que cruel. Sorel se dit son ami mais ne fait rien pour l’aider à retourner dans le monde d’en haut. Bientôt, Cosmo croise des animaux étranges et des enfants perdus comme lui… Noa est-il parmi eux ?
Ulysse avait pourtant prévenu son astrophysicienne de mère : hors de question qu’il l’accompagne à bord du Cosmex, sa navette spatiale pour chercher des formes de vie extraterrestre ! Lui, ce qu’il préfère, c’est manger des pizzas, lire Picsou magazine et traîner en pyjamas. Alors, les Aliens… Très peu pour lui. Quand il se retrouve coincé à bord de la navette avec toute la famille, Ulysse ne pense plus qu’à trouver le moyen de retourner sur terre. Jusqu’au jour où les membres de l’expédition découvrent une drôle de plante sur la planète Proxima B…
Un caillou. L’île où vit Tino n’est pas beaucoup plus grande qu’un caillou. La plupart de ses 216 habitants sont vieux et jamais rien ne s’y passe. Tino rêve qu’un jour quelque chose vienne de la mer, comme une baleine ou un chercheur d’or. Ou bien qu’il découvre un caribou au milieu des fougères. Mais le bateau n’amène qu’une classe venue visiter l’île. Tino ne sait pas encore qu’il va faire la rencontre la plus extraordinaire de sa vie.
Marco connaît les mille secrets de Holland Island : les dunes où il aime jouer, les cachettes dans les arbres, et surtout les oiseaux, dont il sait imiter tous les cris. Il en connaît aussi les dangers. Les serpents qui se cachent dans les marais. Le vent qui souffle parfois très fort. Et la mer, qui peut être cruelle. Cette année-là, en 1917, deux événements ébranlent le petit monde merveilleux de Marco : son grand frère Tom part pour la guerre en Europe, et une terrible tempête menace d’engloutir son île. Mais pas question de se rendre sans combattre !
Il est craquant, Romeo. Tout petit, avec la peau brune et des beaux yeux couleur d’or, on pourrait facilement en tomber amoureux. À dix ans, pourtant, il est fragile et menacé. Parce qu’il est le dernier spécimen connu de grenouille Sehuencas. Et si rien n’est fait rapidement, l’espèce risque de s’éteindre. Alors, pour Nanda et sa mère « grenouillologue », le temps presse : il faut réussir à monter une expédition pour trouver, au cœur des forêts de Bolivie, la fiancée de Romeo !
Il pleut, il pleut, ça ne s’arrête pas. Mon oncle Régis doit s’occuper de toutes les choses fragiles du château et des jardins abîmés par le déluge. C’est son travail, il ne va pas laisser Versailles se faire inonder ! Moi, je m’inquiétais surtout à l’idée de la fin du CM1, du collège qui approchait. Mais lorsque même les bassins se sont mis à déborder et que l’eau est montée dans notre petite maison du parc, j’ai compris que les choses allaient être compliquées bien plus tôt que ce que j’imaginais.
Vous le saviez, vous, que les sorcières étaient végétariennes ? Qu’elles descendaient en droite ligne des dragons de Komodo ? Qu’elles venaient d’une île du Pacifique engloutie par la montée des eaux ? Que c’est pour cela qu’elles s’étaient réfugiées sur les toits de Paris ? Que la plus jeune d’entre elles s’appelait Kaï ? Et qu’il était tout à fait possible de la confondre avec Marie-Astrid Caramel de Bellegarde, qui toute sa vie n’avait connu que les beaux quartiers ? Eh bien, le monde a changé. Et il est grand temps que vous l’appreniez.
L’hiver et son manteau se sont posés sur la forêt, et le jeune Bartholomé Renard ne saurait être plus impatient : dans quelques jours, ses parents, Pimprenelle et Séraphin, reviendront de leur périple dans le Grand Nord pour les festivités de Yule ! Mais, une fois sur le quai de la gare et la foule dispersée, nulle trace du couple d’explorateurs. Déterminés à les retrouver, Bartholomé et son oncle Archibald s’embarquent à bord du mythique train à vapeur l’Étoile de Bellécorce. D’inquiétantes légendes circulent à propos de son terminus, qu’un esprit sanguinaire hanterait… Alors que les événements étranges se succèdent, le détective en herbe fait la connaissance d’un mystérieux passager clandestin. Or, celui-ci pourrait bien détenir des informations cruciales sur le sort de Pimprenelle et Séraphin…
Les festivités d’automne débuteront bientôt à Bellécorce. La forêt prend des airs de fête et tout le monde s’y prépare. Mais, chez Archibald Renard, arrive soudain un visiteur qui risque bien de gâcher les réjouissances : Célestin Loup prétend, documents à l’appui, être le véritable propriétaire de la librairie, qui aurait appartenu à son grand-père.
Dans la forêt de Bellécorce, au creux du chêne où Archibald Renard tient sa librairie, chaque animal qui le souhaite peut déposer le livre qu’il a écrit et espérer qu’il soit un jour acheté. Depuis que ses souvenirs le fuient, Ferdinand Taupe cherche désespérément à retrouver l’ouvrage qu’il a écrit pour compiler ses mémoires, afin de se rappeler les choses qu’il a faites et les gens qu’il a aimés. Il en existe un seul exemplaire, déposé à la librairie il y a des années. Mais justement, un mystérieux client vient de partir avec… À l’aide de vieilles photographies, Archibald et Ferdinand se lancent sur ses traces en forêt, dans un périple à la frontière du rêve, des souvenirs et de la réalité.
Des parents ultrachics, une gouvernante, une liste interminable d’interdictions et une autre, aussi longue, d’obligations, l’éducation de Miranda est parfaite. Et sa vie parfaitement ennuyeuse. Une seule chose la sauve, la joyeuse famille Pétrus et sa légendaire pâtisserie. Miranda n’est d’ailleurs pas la seule à l’aimer. Il y aussi Wonderfood, le géant industriel. Mais pour d’autres raisons…
Vous entendez les informations qui arrivent de partout pour dire que la planète va mal. Vous êtes des enfants, vous possédez une grande quantité de neurones pour apprendre, comprendre et retenir. Vous êtes créatifs et courageux. Et vous ne pourrez pas faire comme certains de vos aînés : regarder ailleurs, vous boucher les oreilles et hausser les épaules. Vous n'aurez pas le choix. Il faut que vous conserviez quelques-unes de ces qualités, au lieu de les laisser s'éteindre en grandissant. Vous deviendrez de meilleurs adultes, pour vous, pour les autres et pour la planète.
Il y a très longtemps, il y avait deux hivers : la Grande, avec ses froids polaires et ses blizzards, et la Petite, avec ses glissades joyeuses et ses batailles de boules de neige. Mais depuis que la Petite a disparu, tout est détraqué au village de Brume ! Les adultes sont inquiets, plus personne ne rit aux bonnes farces d’Alfred et, surtout, les trolls passent leur temps à voler des objets, qu’ils emportent à tout jamais dans la taïga. Lorsque l’oncle d’Alfred se porte volontaire pour rapporter les objets volés et qu’il disparait sous ses yeux, avalé par la tempête, c’en est trop : il faut partir à sa recherche, coûte que coûte, braver les dangers de la forêt boréale, et affronter la Grande Hiver…
« Imagine. C'est l'été, les vacances. Tu visites la plus belle grotte préhistorique. Le lendemain, un orage éclate. Une sorte de faille spatio-temporelle s’ouvre, et tu remontes le fleuve du temps, à toute allure. Tu es dans la préhistoire ! Tu décides de remonter le fil des générations pour percer le mystère de tes origines. C'est le début d’une incroyable série de rencontres avec des êtres vivants de plus en plus lointains et différents de toi. Chacun d’eux te révèle ce qu’il a transmis à ses descendants, et donc à toi : Marcher debout. Porter ses bébés dans son ventre et échapper aux dinosaures. Vivre hors de l’eau... Tu rencontres même la toute première cellule vivante - dont tu descends, comme toutes les plantes et les animaux. Tu poursuis ton voyage plus loin encore. Car pour savoir d’où tu viens, il faudra remonter jusqu’au début du monde ».
J’ai rencontré Snowball un jour où je n’avais pas très envie d’aller à l’école. Je traînais le long de la digue d’Industrial Canal avec un hameçon au bout d’un fil de pêche, et j’avais dans l’idée de revenir à la maison avec un poisson ou deux. Quand je l’ai pris dans mes bras, il était si léger que j’ai eu l’impression de soulever une boule de coton. La petite langue rose de Snowball me chatouillait les doigts, et j’ai tout de suite compris que plus rien, jamais, ne pourrait nous séparer. Pas même un ouragan de catégorie 5.