Thème « relation avec la mère »
Quand Petit Lapin se réveille, il sait que ce jour n'est pas un jour comme les autres. « C'est mon anniversaire ! » dit-il. « Je ne suis plus vraiment un petit lapin ! Je suis un GRAND lapin maintenant ! » Et pour fêter ce jour exceptionnel, ses parents l'emmènent au parc d'attractions car il en rêvait depuis longtemps. Mais il se rend bien vite compte que le parc d'attractions est, lui aussi, très très GRAND... qu'il est même GÉANT !
« Raconte-moi trois histoires » demande Ourson à sa maman…
Dooong Dooong, c’est l’histoire de la gardienne de la nuit qui sonne l’heure où les petits et les grands vont se coucher. « Je n’ai pas du tout sommeil », couine la petite hermine. « Couche-toi, dit la gardienne, et le sommeil t’attrapera. »
Il y a aussi la grande aventure de Zhora, la petite fille à l’épée, qui cueille la plus belle mûre de toute la forêt pour sa maman.
Et puis celle de Bo, ce petit être toujours vêtu d’un manteau, qui se balade à la recherche d’une miette de sommeil.
« Maintenant, choisis ton étoile pour t’emmener jusqu’à demain », chuchote maman en bordant Ourson.
Un petit prince est né. Quel bonheur ! Pour Théophile, rien n'est trop beau. On l'installe dans la plus jolie chambre du palais. On engage pour lui les meilleurs serviteurs. On lui offre tous les jouets dont il peut rêver... Pourtant, Théophile n'a pas l'air content. Il dit toujours non et ne sourit jamais...
Maman Ourse et ses deux petits profitent du parc, quand Alfie Ours interroge sa maman: «Est-ce qu’il y a d’autres ours comme moi ?» «Pas comme toi, non. Il y a toi, il y a moi, avec ta sœur, ça fait trois, mais il n’y a pas deux ours comme toi. De la pointe de ton museau à l’extrémité de tes pattes, il n’y a pas deux ours comme toi. C’est la vérité, crois-moi !»
« C’est quoi, l’amour ? », demande Alfie à Maman Ourse. « L’amour c’est plein de choses. Il est ici et il est là-bas. On le trouve partout. » Alfie va découvrir avec son petit frère que l’amour c’est le bonheur et le partage, qu’il peut faire peur ou rendre triste mais qu’il peut aussi résonner dans le rire des amis et dans la nature. L’amour c’est tellement de choses.
Achille habite au bord de la mer avec sa maman. Il aime bien rester près de sa maman. Toujours ! Mais Achille a aussi envie de sortir dans le jardin. Il a envie de sentir le vent dans ses oreilles.
« Va, mon Achille, va !» dit Maman.
« Pas sans toi ! répond Achille. Si je m’envolais. » Et si Achille lâchait finalement la main de Maman ?
« Vous êtes les plus merveilleux oursons du monde ! » répétaient chaque soir Papa Ours et Maman Ourse à leurs trois oursons.
Mais un soir, les trois oursons se mirent à se poser des questions : « Lequel de nous trois Papa et Maman aiment-ils le plus ? »
Anna et sa maman habitent une grande maison au bord de la forêt. La petite fille l’aime beaucoup mais elle s’y ennuie aussi souvent, car personne ne vient la voir. Elle a pris l’habitude de se promener dans les bois. Un jour où elle part chercher des châtaignes, elle aperçoit quelque chose de nouveau : la vieille maison voisine est habitée ! Anna veut découvrir qui sont ces nouveaux voisins, au risque de dévoiler le secret qu’elle partage avec sa maman.
Sept heures. Le réveil sonne. Il fait noir, il fait froid... Charlotte n'a pas envie de se lever pour aller à l'école. Elle n'a pas non plus envie de mettre sa jupe bleue et son pull rouge. Charlotte veut mettre sa robe de princesse et rien d'autre !
Gini ne veut pas être grand. Il aime trop se blottir dans la douce fourrure de sa maman, boire son lait tiède et se promener agrippé à son cou. Mais un jour, son papa le prend fermement par le bras et l'entraîne dans la forêt.
Avec deux fauteuils, Jérôme fabrique un bateau. Il coiffe alors sa casquette de capitaine et invite sa maman à partir avec lui pour le bout du monde. Ils vont faire ensemble une traversée extraordinaire, rencontrer des pirates, des poissons volants et même affronter la tempête...
Tip-tap, tip-tap, quel est ce bruit dans la nuit ? C'est la diablesse qui va de maison en maison, à la recherche de son enfant perdu. À la vue de ses petits sabots noirs, on lui claque la porte au nez et on éteint toutes les lumières jusqu'à ce que ses pas se soient éloignés, tip-tap, tip-tap... Et la diablesse reprend son chemin. Elle cherche sans se lasser. Ses yeux sont tristes et pleins d'espoir. Elle sait qu'autrefois, il y a longtemps, elle avait un enfant, et aussi une maison. Et elle sait qu'elle n'a pas toujours eu des sabots noirs.
Ma mère n’a jamais le temps. Alors, pour la calmer, je lui dis : « À force de t’agiter comme ça, tu n’as même pas entendu la poésie que j’ai inventée pour toi. Viens jouer au cerf-volant, viens cueillir des fleurs des champs. Viens compter les nuages blancs, viens, on va écouter le vent, et construire un barrage géant pour arrêter le torrent. Aujourd’hui tu as le temps, car… »
Ma mère a peur du noir. Quand il est l’heure d’aller se coucher, elle a l’air angoissée…
Pour me faire manger des légumes verts, ma mère est prête à tout !
Ma mère a un copain. Elle ne veut pas que ça se sache. Alors, du coup, elle le cache.
Un matin pendant la classe, Joseph entend de drôles de bruits dans son cartable. Ça fait cratch critch et strompf. Serait-ce une souris ? un rat ? un monstre bizarre qui ne vit que dans les cartables ?
À la récréation, Joseph décide d’en avoir le coeur net. Il emporte son cartable dans un coin à l’abri des regards, et, très courageusement, il l’ouvre. À l’intérieur, ce n’est pas une souris, ni un rat. Ce n’est pas non plus un monstre. C’est sa mère, qui est là, un peu coincée entre le cahier de textes et le cahier de français.
– Maman, qu’est-ce que tu fais là ?
– Je suis venue t’apporter ton goûter. Tu l’avais oublié ce matin en partant.
Non, Joseph n’est pas en train de rêver, et le problème pour lui, c’est que cette histoire ne fait que commencer.
Dans Ma mère est partout, Nathalie Kuperman parle avec humour et autodérision des mamans inquiètes et un brin envahissantes.
La vie d’Irisée commence dans les longs cheveux de sa mère Méduse. Irisée, comme la nacre qui tapisse et protège l’intérieur de certains coquillages.
« Tu es ma perle », dit Méduse.
« Elle est adorable », dit-on au village.
« Oui, elle est à moi ! » répond Méduse. Mais au-dehors, Irisée est attirée par les autres enfants. Elle voudrait aller à l’école…















