Thème « relation avec la mère »
Au supermarché L’Enfant Roi, on trouve un très vaste choix. Un choix de quoi ? De vêtements, de friandises, de jouets pour enfants ?
Pas du tout. Un choix d’enfants pour parents exigeants. Tailles, caractères, dons variés, on trouve de tout. Même des enfants parfaits. Et, effectivement, au fil des jours, l’enfant acheté par M. et Mme Dupré se révèle sage, raisonnable, poli, propre et calme, souriant, intelligent. Parfait, c’est le mot. Le seul problème, c’est qu’il se met à exiger des parents… comme lui.
Glisser, tourner, sauter… Le skate, ça a l'air facile, mais avant de se débrouiller, il faut beaucoup s'entraîner – et beaucoup tomber. Heureusement, Gabi peut compter sur son copain Milo pour lui apprendre les figures. Et sur sa maman pour soigner les bobos !
Chaque année, en Chine, depuis des millénaires, toute la famille se réunit pour confectionner, partager et savourer des gâteaux de Lune. C’est une grande fête du milieu de l’automne, qui célèbre le bonheur d’être entouré de ceux que l’on aime. Mais quelle est l’origine de cette tradition ? Chen nous en conte la légende : la princesse Xian-Zi, dans son Palais du Ciel, rêvait de connaître la vie sur Terre…
Gini ne veut pas être grand. Il aime trop se blottir dans la douce fourrure de sa maman, boire son lait tiède et se promener agrippé à son cou. Mais un jour, son papa le prend fermement par le bras et l'entraîne dans la forêt.
Pauvre Gaspard, il est enfermé dans le garde-manger, la serrure est bloquée et le serrurier ne veut pas se déplacer… Heureusement, madame Broutchou, sa maman, n’est VRAIMENT pas du genre à s’en laisser conter !
Le CE2, c’est sérieux. Il y a ceux qui sont forts en calcul, comme Sofia, qui a avalé une calculatrice quand elle était petite. Il y a ceux qui sont forts en tout, comme Georges- Louis, qui va bientôt donner des cours à la maîtresse. Et il y a Stéphane, qui a envie d’avoir de bonnes notes, qui est d’accord pour bien faire ses devoirs, pour devenir fort en calcul, pour apprendre la signification de mots aussi compliqués que « cobalt » et « tungstène », et pour lire tous les livres qui sont sur son étagère. D’accord pour tout cela, oui, mais pas sans sa maman.
Avec deux fauteuils, Jérôme fabrique un bateau. Il coiffe alors sa casquette de capitaine et invite sa maman à partir avec lui pour le bout du monde. Ils vont faire ensemble une traversée extraordinaire, rencontrer des pirates, des poissons volants et même affronter la tempête...
Tip-tap, tip-tap, quel est ce bruit dans la nuit ? C'est la diablesse qui va de maison en maison, à la recherche de son enfant perdu. À la vue de ses petits sabots noirs, on lui claque la porte au nez et on éteint toutes les lumières jusqu'à ce que ses pas se soient éloignés, tip-tap, tip-tap... Et la diablesse reprend son chemin. Elle cherche sans se lasser. Ses yeux sont tristes et pleins d'espoir. Elle sait qu'autrefois, il y a longtemps, elle avait un enfant, et aussi une maison. Et elle sait qu'elle n'a pas toujours eu des sabots noirs.
Le métier de ma mère consiste à faire traverser les écoliers au passage clouté. Les enfants l'adorent parce qu'elle est toujours gentille avec eux et parce qu'elle met des vêtements extravagants. Ce serait bien si elle avait un métier qui rapporte un peu plus d'argent, mais surtout si elle travaillait ailleurs que devant MON école !
Maman a acheté à Nisse une casquette avec une...visière. Tous ses amis veulent l'essayer...
Retrouvez les aventures de Nisse dans « Nisse à la plage » et « Nisse va chez le coiffeur ».
C'était l'été, Laurent s'ennuyait. Il demanda la permission d'aller jouer dehors. « Après tout, tu es grand, maintenant, dit sa maman. Joue dehors, mais ne dépasse pas la barrière.» Laurent alla jusqu'à la barrière... et un tout petit peu plus loin. Et le lendemain, il dépassa le châtaignier. Quand on commence à grandir, c'est pour de bon.
Gour est l’enfant le plus joli du monde, il est aussi le plus intelligent, le plus fort et le plus grand. C’est ce que dit Maman. Pourtant à l’école, Noa est plus grande que lui, Mikaël est plus beau, Itamar donne de vrais coups de pied. Gour réfléchit : sa maman ne va vraiment pas bien si elle se trompe à ce point. Et puis, l’aimerait-elle encore si elle réalisait son erreur ?
Chaque fois que Guillaume et Gaspard se mettent à table, ça se termine par une dispute. Les frères veulent TOUS LES DEUX s’asseoir en face du jaguar accroché au mur. Comme c’est impossible, il y en a toujours un qui fait des histoires. Alors Maman s’agace, gronde, et finit par sauter sur la table au milieu des coquillettes en poussant de terribles rugissements. Il faut dire que Maman s’énerve souvent ces temps-ci ; Guillaume et Gaspard se demandent bien pourquoi…
Delphine Bournay a mis beaucoup d’elle-même dans ses histoires. La maman qui joue au bébé et réclame des frites, c’est elle ! La mère de famille excédée par ses deux garçons qui se battent pour s’asseoir à la même place à table, c’est encore elle !
« Ce livre est tellement fabriqué avec ma vie que je n’ai jamais imaginé l’illustrer différemment qu’avec une maman et ses deux garçons. » Au point qu’elle leur a donné les prénoms de ses deux fils, Guillaume et Gaspard…
Ma mère n’a jamais le temps. Alors, pour la calmer, je lui dis : « À force de t’agiter comme ça, tu n’as même pas entendu la poésie que j’ai inventée pour toi. Viens jouer au cerf-volant, viens cueillir des fleurs des champs. Viens compter les nuages blancs, viens, on va écouter le vent, et construire un barrage géant pour arrêter le torrent. Aujourd’hui tu as le temps, car… »
Ma mère a peur du noir. Quand il est l’heure d’aller se coucher, elle a l’air angoissée…
Pour me faire manger des légumes verts, ma mère est prête à tout !
Ma mère a un copain. Elle ne veut pas que ça se sache. Alors, du coup, elle le cache.
Un matin pendant la classe, Joseph entend de drôles de bruits dans son cartable. Ça fait cratch critch et strompf. Serait-ce une souris ? un rat ? un monstre bizarre qui ne vit que dans les cartables ?
À la récréation, Joseph décide d’en avoir le coeur net. Il emporte son cartable dans un coin à l’abri des regards, et, très courageusement, il l’ouvre. À l’intérieur, ce n’est pas une souris, ni un rat. Ce n’est pas non plus un monstre. C’est sa mère, qui est là , un peu coincée entre le cahier de textes et le cahier de français.
– Maman, qu’est-ce que tu fais là ?
– Je suis venue t’apporter ton goûter. Tu l’avais oublié ce matin en partant.
Non, Joseph n’est pas en train de rêver, et le problème pour lui, c’est que cette histoire ne fait que commencer.
Dans Ma mère est partout, Nathalie Kuperman parle avec humour et autodérision des mamans inquiètes et un brin envahissantes.















