Thème « grand-mère »
La mamie de Lou aime beaucoup les animaux. Ceux des livres, les doudous de Lou et puis les vrais : les chats, les vaches, les moutons… Elle comprend même leur langage et peut donner à manger à l’oiseau lorsqu’il dit : « J’ai faim ! »
Tous les vendredis, Sam passe dire bonjour à sa Mamie qui habite une maison de retraite. Il sait déjà tout ce qui va se passer : pas grand-chose à part le tic ! tac ! tic ! tac ! du réveil. Mais aujourd'hui, Mamie l'emmène dans le jardin. « Sais-tu que j'arrive à faire pleuvoir ? » dit-elle.
Mimi passe la journée chez Mamie et apprend à compter avec elle, comme une grande : six jolies fleurs, cinq doigts de pied, quatre belles oranges, trois boîtes de soupe au poulet, deux pots de miel MAIS... un seul petit chou, c'est Mimi !
Ton ours en peluche. Ta mamie près de toi. Et la délicieuse odeur... de la mousse au chocolat. Un petit garçon partage un moment de complicité avec sa grand-mère autour de la préparation de sa première mousse au chocolat. Sous l’œil amusé et intrigué de son doudou. Miam !
Le Petit Chaperon rouge a inspiré des générations d’auteurs et d’illustrateurs. Dans un texte jamais publié de son vivant, Beatrix Potter livre sa version, pleine de suspens et de noirceur, du conte original de Charles Perrault. Quant aux magnifiques illustrations de Helen Oxenbury, elles donnent une dimension nouvelle, non dénuée d’humour, à ce classique des classiques.
Une fenêtre s’éclaire dans la maison. C’est Mamie qui se lève si tôt. Elle est encore fatiguée pourtant. Que peut-elle bien faire de si bon matin dans la cuisine ? Ils sont ronds, ils sont beaux et c’est leur bonne odeur qui me réveille. Miam ! À moi les petits pains chauds.
Mine a trouvé un joli coquillage en se promenant avec Poka. « Regarde Poka, c’est un cadeau pour Grand-Mère Dorée. Je vais l’emballer et l’envoyer par la poste .»
Ce sera pour demain, car Poka veut que sa petite fille dorme. Lorsqu’elle est seule dans sa chambre, Mine entend une petite voix sortir du coquillage. C’est Bercarte, le bernard-l’hermite qui veut toujours jouer aux cartes. Il ne sait pas que ses six amis s’inquiètent pour lui…
Que sont-ils devenus ...? Et puis à quoi ressemblent-ils aujourd'hui, ces héros des contes de notre enfance ? Charlotte, en vacances chez sa grand-mère, va en rencontrer quelques-uns...
« Rouge, tu es maintenant assez grande pour aller seule à la ville. Va voir Mamie et apporte-lui ce gâteau. »
Pour arriver chez sa grand-mère, Rouge doit traverser la ville. Mais le monde moderne est plein de dangers...
« Chaque été, je passe mes vacances chez Mémé. Ce n’est pas comme à la ville, où on court tout le temps. Ici, à la campagne, tout est calme. Quand elle voit que je commence à m’ennuyer, Mémé me donne des missions, comme nourrir les animaux, planter des graines ou aller chercher le courrier. Moi, je préférerais des enquêtes, j’adore ça. Enfin dans les livres, parce que je n’ai jamais eu l’occasion d’en mener en vrai. Mais voilà que Barnabé, le chat de la maison, a disparu et que quelqu’un a déposé un étrange mot dans la boîte aux lettres. »
Billy se fait de la bile. Tout l'inquiète, surtout ce qui n'existe que dans son imagination. Et malgré les câlins rassurants de ses parents, il en perd le sommeil... Une nuit, Billy se confie à sa mamie qui lui apporte, dans le creux de sa main, un remède aussi étonnant qu'efficace !
On était en train de regarder un film de Sherlock Holmes, mon détective préféré, quand la télé s’est éteinte. Tout Paris était dans le noir, même la tour Eiffel n’était plus illuminée. Heureusement, on pouvait toujours commander des sushis pour ne pas mourir de faim. Quand le livreur est arrivé, j’ai vu que sa trottinette électrique marchait très bien. Il y avait quelque chose de louche dans cette histoire…
« Je déteste les céréales ! » disait chaque jour Rosaline. Et Grand-Mère répondait : « Les céréales sont bonnes pour toi, ma chérie. Tant que je vivrai, tu en mangeras. »
Alors Rosalie cessait de se plaindre. Elle voulait bien manger des céréales matin, midi et soir pourvu que Grand-Mère vive toujours. Or, un matin, Grand-Mère ne se leva pas comme d'habitude pour le petit-déjeuner.
Si j’avais un animal de compagnie, il se coucherait au pied de mon lit, on jouerait ensemble et tout le monde me dirait qu’il est trop mignon. Odin, un de nos dieux vikings, a deux loups, deux corbeaux et un cheval à huit jambes. Moi, je voudrais juste un chat. Mais pour ma mère, hors de question : son petit cabillaud, c’est-à-dire mon frère, est allergique. J’ai bien pensé à un mouton, mais il mangerait les rideaux. Il va falloir que je trouve autre chose.
Une nuit, j'ai été réveillé par un bruit épouvantable. Le lendemain matin, la maison était toute calme. Papa n'était pas là. J'ai demandé à Maman quand il rentrerait, mais elle n'avait pas l'air de savoir. Mais que se passe-t-il dans la vie du nouveau héros d'Anthony Browne ? Et pourquoi doit-il traverser cette forêt profonde - habitée de personnages de contes célèbres - pour parvenir à retrouver son papa ?
Lou n'arrive pas à se consoler du départ de sa grand-mère. Les mois passent et elle porte son chagrin toute seule. Elle ne peut le partager avec personne. Ni avec Marine, sa meilleure amie. Ni avec Arthur, son cousin. Ni même avec sa maman. Impossible d'en parler. Ça fait trop mal de dire. Pourtant c'est si lourd, si lourd, que Lou se met à écrire des lettres à sa grand-mère absente. Pour dire. Enfin. Les regrets, les petits et les grands malheurs de tous les jours, les secrets, les déceptions. Lentement un énorme noeud se défait. Et doucement, tout doucement, la vie reprend. Plus légère.