Thème « entraide, solidarité »
Loulou et Tom sont amis depuis longtemps déjà . Amis, un loup et un lapin ? Et alors ? Ça n’empêche pas.
Mais voilà , un vrai loup comme Loulou ressent des besoins de loup : s’en aller à l’aventure, éprouver son courage…
Un vrai lapin s’inquiète-t-il pour un loup au point de partir à sa recherche au fond des bois ? Non, et pourtant c’est ce que fait Tom. Un vrai loup choisit-il de désobéir à son aîné, le Grand Méchant Loup ? Qui sait ?
Ce qui est sûr, c’est que Loulou et Tom sont de VRAIS amis !
Retrouvez les aventures de Loulou et Tom dans le film de Grégoire Solotareff et Jean-Luc Fromental, Loulou, l'incroyable secret réalisé en 2013 par Eric Omond.
Il a fait l'objet d'une adaptation en bande dessinée chez Rue de Sèvres et a reçu le César 2014 du meilleur film d'animation.
Sheila et Jacquotte découvrent qu’une animalerie vient d’ouvrir juste à côté de l’école. Qu’y trouve-t-on ? Le hamster est passé de mode, maintenant la tendance est aux « Petites Personnes », sorte de minuscules humains trop mignons, pas plus haut qu’un crayon. Sheila s’enthousiasme, Jacotte s’interroge : N’est-il pas cruel de les tenir en cage ? Est-il normal qu’un être vivant ait une vie de jouet ? Est-ce qu’il ne faudrait pas lui rendre sa liberté ? Le renvoyer dans son pays d’origine ? D’accord, mais : s’il est né ici, quel pays ?
La Terre a été envahie par les Gulps. Ils sont tout verts et n’ont qu’un seul pied. Dès leur arrivée, ils nous ont obligés à marcher comme eux, sur un seul pied. Mais surtout nous, les humains, nous sommes aussi devenus verts en mangeant leur nourriture ! Ce n’est pas de chance quand on s’appelle Rose. Aujourd’hui, c’est mon anniversaire et j’ai reçu un petit chien que j’ai décidé d’appeler Zig Zag ! Grâce à lui, je vais rencontrer Monsieur Broussaille et entrer en résistance avec mes parents.
Depuis l’invasion des Gulps, Monsieur Broussaille a installé un incroyable potager. Grâce à lui, mes parents et moi ne mangeons plus la nourriture verte et sans saveur des Gulps. On a tous retrouvé nos couleurs ! Le problème est qu’on ne peut plus sortir sans prendre un bain de jus vert, sinon gare aux lasers ! Verte de la tête aux pieds, je croise dans la rue des gens radieux avec une boîte dans les bras. Un cadeau des Gulps ?
Depuis l’invasion des Gulps, le plus bizarre, c’est d’aller à l’école avec Papa et Maman. Tout le monde doit apprendre la langue de nos envahisseurs. Avec mon amie Violette, on s’amuse bien jusqu’à l’arrivée des petits Gulps : de vrais pots de colle ! L’un d’eux, Grok, est plus sympa que les autres, mais il a attrapé mon rhume !
Du jour au lendemain, les Gulps nous ont interdit de sortir, sans explication. Mais une rumeur s’est répandue : certains Gulps ont disparu à cause d’un rhume. Pour se débarrasser de l’envahisseur, mes parents ont voulu attraper mon rhume, c’est la vie à l’envers !
Un louveteau est blessé et les priorités d’Igor (à savoir manger du chevreau), seront quelque peu bousculées…
Madame Broutchou acceptera-t-elle d’aider son pire ennemi ?
Ah, mais le coeur d’une mère ne connaît pas de frontières !
Un petit garçon vient d’arriver à l’hôpital en ambulance. Son chien est très inquiet et trop grand pour passer les grilles qui se sont refermées. Comment lui envoyer un message d’amitié ? En comptant sur les autres, bien sûr ! C’est une véritable chaîne de solidarité qui se met en mouvement. Chat, souris, fourmi, poux et anticorps se relaient pour arriver au tympan du petit malade. Mais on peut compter sur l’humour iconoclaste de Gabriel Gay pour faire de ce parcours du combattant une histoire à mourir de rire… surtout pour les microbes !
Vive les vacances ! Les petits poulets, Yvette et Jules, partent pour la première fois de leur vie au bord de la mer. Sur la plage, ils ne doivent pas s’éloigner. Mais Yvette et Jules vont sur les rochers, ramassent des coquillages.
Puis ils sont un peu fatigués, ils s’allongent, ils s’endorment. Malheur !
Quand ils se réveillent, la mer les a encerclés…
Une nouvelle aventure d’Yvette et de Jules.
« Nous ne sommes encore que des enfants, mais des enfants quand même. Hier, dans notre classe, il y avait Kouik Mériadec. Aujourd’hui, il n’est plus là parce qu’il est sans papiers français. Si j’étais grand, je comprendrais sûrement qu’il faut des papiers d’identité pour vivre.
À l’école, nous n’avons que des feuilles de papier. Dans les rues, dans les campagnes, il y a les feuilles des arbres. Nous aimerions que tous les Français lancent demain, à dix heures, des feuilles d’automne par leurs fenêtres. Alors, tous ces papiers voleraient jusqu’à Kouik avant qu’il ne s’envole pour son ancien pays en guerre. »
Le menhir en a marre. Le voilà debout au milieu des bois depuis 3521 ans. C'est fatigant, à la fin. Il a envie d'une petite sieste. Pour l'aider à se coucher doucement, il appelle à la rescousse tous les costauds de la forêt : le sanglier, l'ours, le renard, le loup, le blaireau... Mais malgré tous leurs efforts, aucun d'entre eux ne réussit à le faire basculer. Et s'il avait eu tort de traiter par le mépris la proposition de la petite taupe ?
Cet après-midi, l’éléphant, le tigre et l’oiseau sont invités pour le goûter. Ils s’enfoncent dans la forêt. Quelques minutes plus tard… ils sont perdus. « On est foutus !» dit l’oiseau. Derrière un buisson d’épines, les amis découvrent Colette endormie.
« Et si on la mangeait ? » chuchote le tigre. Mais Colette a tout entendu : « Il vaut mieux ne pas me manger, car moi, je sais où nous sommes. Je viens souvent ici avec mon p’tit Coco ! (C’est mon doudou.) D’ailleurs, il est où ? »
Un seul vautour est vénéré dans tout le Mexique. C’est Orlando, et il le mérite. Savez-vous pourquoi ? Orlando est un vautour original. Quand ses semblables ne pensent qu’à dévorer les malheureux perdus dans le désert, lui n’écoute que son bon cœur. C’est ainsi que, un jour, il survola un chercheur d’or évanoui. Le pauvre homme avait sur lui des photos de sa famille. Aussitôt, Orlando décida de prévenir sa femme et son fils. Et pour cela, il fallut traverser un continent et braver bien des dangers…
C’est dans les années soixante, après Les aventures de la famille Mellops que Tomi Ungerer entreprend, à New York, une série d’albums en l’honneur des animaux jusque-là mal aimés ou carrément absents des livres pour les enfants : un boa constrictor, Crictor ; une pieuvre, Émile ; une chauve-souris, Rufus ; un kangourou, Adélaïde et un vautour, Orlando, que voici. Ils font mentir leur réputation, incarnent le bien, sauvent des vies, et se révèlent plus humains que ceux qui les avaient d’abord rejetés.
Comment guérir d’une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d’un être cher ? L’ours croit qu’il n’y arrivera pas. Qu’il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau. Il ne se sépare plus du cercueil qu’il lui a fabriqué.
Mais c’est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil – révolte, souvenirs, chagrin, solitude…– qu’il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres.
Pépin n'est pas plus grand que le pouce. Et voici qu'il découvre un petit oiseau tombé du nid. Si l'on ne fait rien, ce malheureux va mourir de faim ou dévoré par un gourmand. Vite, Pépin doit trouver une solution ! Mais comment faire quand on est si petit ? Les animaux de la forêt doivent l'aider ! Sauver un oiseau ? En voilà une drôle d'idée ! Pépin parviendra-t-il à convaincre les animaux d'aider le petit oiseau ?
Si vous trouvez un jour un pingouin devant votre porte, réfléchissez bien avant de le raccompagner chez lui, au pôle Nord. L'oiseau a peut-être une autre envie derrière la tête...