Thème « culture, tradition »
À Katmandou, capitale du Népal, Nan rêve de vaincre enfin son ennemi, le redoutable Chakku. Il ne s'agit ni de boxe, ni de lutte, mais d'un combat aérien au cours duquel les deux garçons vont s'affronter par cerfs-volants interposés. Et, pour prétendre sortir vainqueur de ce duel, il faut d'abord fabriquer le meilleur cerf-volant...
Manger est un plaisir. Encore faut-il que ce plaisir ne soit pas gâché par quelqu'un qui vous coupe l'appétit. Pour ne plus dégoûter vos voisins de table, voici le guide indispensable mis au point par l'illustre Professeur Paul Hitaisse, grand spécialiste international en la matière.
« Un manuel de savoir vivre à consulter de 7 mois à 107 ans.(...) Un chef-d'oeuvre de drôlerie et de raffinement. » Elle, M.Richier, 29/8/1988
Qu'est-ce qu'un livre d'images ? Un livre dans lequel les images parlent. Parfois, elles parlent si bien, qu'il n'y a même plus besoin de texte. Les yeux voyagent et découvrent les paysages et l'histoire du Danemark. Au Danemark, il y a d'abord la mer, et puis des champs, des champs très verts. Sauf quand la neige les recouvre entièrement et, soudain, le fond de la page est tout blanc. Admirons Copenhague. Tiens ! N'est-ce pas la maison où a vécu Hans Christian Andersen ? Pour lui rendre hommage, Mitsumasa Anno a glissé dans chaque image un ou plusieurs personnages des contes du merveilleux écrivain danois. Cherchez la marchande d'allumettes, la reine des neiges, la petite sirène, le soldat de plomb, le vilain petit canard et encore bien d'autres, ils sont tous cachés dans ces pages.
Des pêcheurs en barque, des chevaux, des cerisiers en fleur, des champs à taille humaine cultivés à la main, des rizières, des jeux, des courses, des fêtes, un train à vapeur, des vélos, des charrettes, des défilés, des fanfares, des moissons, des récoltes, des moulins, des toits de chaume. Dans ce Japon encore rural, celui de l’enfance de l’auteur, l’électricité est peut-être plus rare qu’aujourd’hui, mais la vie est là , en abondance, simple et tranquille. Et si le progrès, le vrai, consistait à retrouver la douceur de vivre mieux avec moins ?
Les dunes de sable, le désert de Mauritanie et son grand-père Hassen, le chamelier : Yani ne les avait jamais vus. C’est la première fois que sa mère l’emmène à la découverte du pays où elle a grandi, avant de partir étudier la médecine. Un monde si proche et si loin à la fois, que Yani imaginait à peine, avec sa chaleur écrasante et la beauté infinie du ciel étoilé. Mais le temps presse : Hassen veut à tout prix transmettre à Yani l’art ancestral de guider un troupeau à travers les mille pièges du désert, jusqu’à l’oasis bienfaitrice. Et voilà Yani à la tête de 114 chamelles…
Ils viennent des quatre coins du monde, ils sont de toutes les couleurs, c’est la raison pour laquelle Françoise, leur maîtresse, les appelle « sa classe arc-en-ciel ».
Aujourd’hui, pour mieux leur parler d’immigration, d’identité nationale, internationale, universelle… Françoise a décidé de les emmener visiter le musée des Arts premiers à Paris.
« Dessinez une sculpture, celle que vous voulez ! » Akil a choisi une statuette qui vient du pays dogon, au Mali, comme ses parents. Elle est drôle, avec son long visage et ses jambes de bébé. Mais tout à coup… voilà que la statuette se met à chuchoter ! Elle est née d’un arbre à palabres, elle a beaucoup voyagé, elle en a des choses à raconter !
Cette année-là , la pluie ne venait pas. Une grande sécheresse sévissait. Les gens du clan passaient des heures à regarder le ciel. Mais pas un nuage ne se montrait. Tout le monde était désespéré. Sauf Petite Pluie. Le jeune garçon monta sur le dos d'un émeu et dit : « Si l'eau ne tombe pas du ciel, nous la trouverons sous terre. Partons, mon ami ! »
Quelle chance ! Louise part en voyage, en France mais au bout du monde ! Elle s'en va découvrir la Martinique, un département d'Outre-Mer, de l'autre côté de l'Atlantique, à 7000 kilomètres de la métropole. C'est loin, c'est fatigant, mais c'est beau ! Là -bas, il y a des fruits inconnus, des gens attachants, une drôle de langue poétique, un volcan terrible, des arbres gigantesques, la mer bleue et aussi une fleur mystérieuse que Papa a bien du mal à trouver...
Finn et Clara habitent un village de pêcheurs, sur une île en mer d’Irlande. Leur père leur a fait une belle surprise : il a construit pour eux un curragh, une petite barque traditionnelle. Ils peuvent y naviguer, à condition de se tenir à distance de l’Île aux Brumes, un endroit maudit dont personne n’est jamais revenu… Ce n’est pas qu’ils veulent désobéir… mais, un jour d’épais brouillard, Finn et Clara sont entraînés à la dérive et échouent sur l’Île aux Brumes. Que faire ? L’explorer, bien sûr !
Je m'appelle Diarmid. À l'époque où commence mon récit, j'étais un jeune garçon. Nous vivions au village de Gallicobriga, mon frère cadet Abcan et moi, élevés par Midna, notre mère, et par Myrdhinn, notre grand-père. Notre père était déjà mort, emporté par un hiver cruel. Je ne l'ai pas connu. Cette histoire est d'abord celle de Branogéne : elle est nourrie de ses pensées et de ses paroles. Mais elle est aussi une partie de la chronique de mon peuple, et c'est elle qui a décidé de ma vocation de voyageur et de conteur.
Posées sur l'étagère, les marionnettes attendent le retour du sculpteur sur bois qui les a fabriquées. Lorsqu'il revient enfin de son voyage, il accroche au mur un masque noir qui fixe les pantins de son regard effrayant. Soudain, il prononce des paroles étranges de sa voix rauque. Les marionnettes sont terrorisées. Qui est-ce ? Un sorcier ? Va-t-il les envoûter ?
Un trésor ! Deux superbes défenses de mammouth, prisonnières de la terre gelée depuis 20 000 ans, ont été découvertes en Sibérie par une famille dolgane, chasseurs et éleveurs de rennes. Une expédition polaire, conduite par Bernard Buigues, se rend sur les lieux. Kostia, l'enfant des nomades, partagera cette extraordinaire aventure. Retrouvera-t-on, en creusant, le corps entier du mammouth ?
Un dossier pour en savoir plus sur cette expédition, sur le peuple dolgan et la vie des mammouths.
Un crocodile qui mange un zébu sur le manche d’une cuillère. Un sorcier qui montre ses fesses pour mieux décorer un plat. Et des peignes, des instruments de musique, des masques de cérémonie…
Tous ces objets, replacés ici dans leur contexte, sont beaux, utiles et pleins d’humour.
Ils ont traversé les océans, parfois les siècles, pour nous devenir accessibles, dans les musées français. Les découvrir avec cet album, c’est acquérir le réflexe du respect, de l’admiration et de la curiosité.
En 1992, Pascale Bougeault arpenta les musées, son carnet de croquis à la main. À Londres, un visage gravé dans un chapeau philippin lui fit un clin d’oeil. Sept ans et de nombreux musées plus tard, naissait Pourquoi si fâchée ?, sa collection d’objets anthropomorphes ou zoomorphes, aux formes amusantes, regardés à hauteur d’enfant. Puis, le musée du Quai-Branly a ouvert ses portes. Une nouvelle édition s’imposait !
Demain, c’est sûr, Dolma quittera la tente familiale et partira avec son yack dans la montagne. Sa maman est malade et la fillette veut lancer tout là -haut les « petits chevaux du vent » qu’elle a choisis pour elle. La marche est longue mais, malgré le froid et les embûches, Dolma va trouver les bons guides et porter ses prières près du lac sacré.
En Malaisie, pays d'Asie où se cultive le cocotier, on élève spécialement de petits singes qui sont entraînés à aller cueillir les noix de coco en haut des arbres. Et Tikou, jeune macaque, est dressé à ce travail de récolte par son maître, M. Rahman. Dressé ? Disons plutôt obligé à coups de baguette, car M. Rahman est un homme impatient et brutal. Heureusement, Tikou a deux amies, deux soeurs qui l'ont pris en amitié, et qui ont décidé de lui venir en aide...
En fin de volume, un dossier documentaire pour en savoir plus.
Voici la journée d'une troupe de macaques bonnets, quelque part en Inde. Vivida, Rama, Kumara et les leurs partent en quête de nourriture aux abords de la ville. Après quelques déconvenues, ils trouveront refuge dans un temple, où ils bénéficient de la protection des religieux hindous. Malgré la bienveillance des Indiens envers les animaux, la cohabitation n'est pas toujours de tout repos et gagner sa pitance ne va pas sans mal ! Si les macaques bonnets sont capables de s'adapter au monde des hommes, à leurs villes et à leurs temples, leur habitat naturel reste les arbres et la forêt. Or, dans beaucoup d'endroits, la forêt disparaît. Si les hommes sont responsables de la disparition des forêts où vivent les singes et beaucoup d'autres animaux, ils sont aussi les seuls à pouvoir faire quelque chose pour protéger la nature, suivant l'exemple des religieux en Inde.