Thème « culture, tradition »
« Chafi, c'est mon père. Il sait faire plein de choses incroyables : servir le thé à la menthe très haut sans renverser, parler deux langues, siffler entre ses doigts et surtout porter des sacs très très lourds ! Il est éboueur. Un jour, moi aussi je serai éboueur ! »
« Comme mon père me l’a appris, je me suis levé tôt et j’ai réveillé la lampe assoupie.
Comme mon père me l’a appris, je me suis habillé et j’ai choisi mes armes avec soin.
Comme mon père me l’a appris, j’ai attelé les chiens au traîneau et je suis parti en direction du vieil inukshuk. »
« Au clair de la lune, trois petits lapins / Qui mangeaient des prunes / Comme trois coquins ». Celle-là, tout le monde la connaît.
Mais l'histoire de Coup-De-Canif ? Et celle de l'escargot de Bourgogne ? Et la phrase imprononçable de l'archi-duchesse ? Et l'imbécile crocodile qui met sa tête dans la bassine ? Elles sont toutes là les comptines les plus connues et les plus drôles : dans ce coffret !
Le papa de Rosa et Napo part tous les jours pêcher sur l’un des grands fleuves de la forêt amazonienne, pour nourrir sa famille. Un soir, il rapporte un bébé caïman paniqué qui le mord en se débattant. Furieux, papa veut se venger. Mais les enfants ont appris à l’école que la chasse au caïman est interdite. Ils sont bien décidés à se faire un ami du bébé perdu, et à l’aider à retrouver sa famille…
Cette histoire se passe il y a très, très longtemps. À cette époque, personne n'avait encore inventé la poupée. Ce jour d'été, toutes les grandes de la tribu se sont faites belles pour partir à la moisson. Quand elles auront récolté le grain, elles le pileront, et confectionneront de la pâte, puis des galettes qu'elles feront cuire. Cropetite est trop petite pour porter un maquillage de fête. Trop petite pour participer à la récolte et à la confection des galettes, qui sentent si bon quand elles cuisent. Alors elle décide de se débrouiller toute seule. Elle récolte de belles galettes d'argile, les pile, fait de la pâte... Elle fait tout comme les grandes, mais à sa façon, et fabrique un drôle d'objet. Quand elle veut le faire cuire pour qu'il sente bon, on la gronde, et on jette l'objet au feu... Mais c'est justement ce qu'il manquait à ce beau bébé d'argile pour devenir la toute première poupée du monde. Maintenant, ce seront les grandes qui voudront tout faire comme Cropetite !
Boum ! Cloum, ploum, doum. Quel est ce bruit au beau milieu de la nuit ? Mickey se lève pour aller voir et se retrouve plongé, tout nu, dans une drôle d’aventure… et le pétrin plein de levain de la pâte à brioche du lendemain. Trois cuisiniers, sosies du comique Oliver Hardy, le mélangent avec le beurre et le fourrent au four pour une heure. C’est alors que Mickey dit non ! sort de là, modèle un avion avec le reste du pâton. Et comme il manquait du lait, Mickey l’intrépide décolle pour le chercher, au sommet de la Voie lactée.
Mon père conduit un de ces camions-bus qu’on appelle ici des dalla-dalla parce que, quand ils ont commencé à rouler, ça coûtait un dollar pour aller n’importe où. Je l’adore ! Grand-père m’en a construit un en jouet. Les jours de repos, Papa m’emmène où je veux et nous finissons toujours par arriver sur la plage, parce que nous habitons une île. En regardant passer les bateaux et les avions, j’ai une idée : quand je serai grand, j’irai loin, à bord de mon dalla-dalla volant !
Ici, dans les hautes montagnes des Andes, pas un arbre ne pousse. Il n’y a ni gaz ni électricité. Chaque jour, on allume un feu avec des crottes d’alpaga séchées, et on fait cuire dessus toutes sortes de pommes de terre. Une fois, dans une fête en ville, Lucho a goûté une friandise succulente : de la crème glacée ! Et comme, aujourd’hui, il a aidé ses parents à sauver Pocoyo, un bébé alpaga coincé dans une crevasse, Lucho a bien mérité de manger de la glace !
Chaque année, en Chine, depuis des millénaires, toute la famille se réunit pour confectionner, partager et savourer des gâteaux de Lune. C’est une grande fête du milieu de l’automne, qui célèbre le bonheur d’être entouré de ceux que l’on aime. Mais quelle est l’origine de cette tradition ? Chen nous en conte la légende : la princesse Xian-Zi, dans son Palais du Ciel, rêvait de connaître la vie sur Terre…
Aurore déteste Halloween, d'abord il faut se déguiser, ensuite on mange de la soupe de citrouille et puis ce n'est même pas une vraie fête comme Pâques ou Noël. Ou même le 14 juillet. En tout cas quand on est française. Mais quand on s'appelle Billy et qu'on est américain, Halloween est un jour vraiment spécial. Et quand Aurore rencontre Billy, Halloween pourrait bien devenir un jour très spécial pour elle aussi.
Sur terre, il y a plus de huit milliards de personnes... et pas deux qui soient semblables !
Dans cet album avant-gardiste devenu classique, Peter Spier nous emmène dans un grand voyage autour du monde, à la découverte des particularités culturelles de chaque pays (traditions, vêtements, gastronomie…), et rend ainsi hommage à tout ce qui fait la richesse de notre humanité.
Avec ses parents, Maryam doit quitter le pays où elle est née. Elle va devoir dire au revoir à ses poupées. Apprendre à jongler avec la langue d’ici et la langue de là-bas. Manger des plats qu’elle n’a jamais goûtés. Découvrir un monde où elle sera une inconnue. Un monde où il faut tout recommencer. Jusqu’à ce que quelqu’un lui demande : « Comment tu t’appelles ? »
Pour visiter une ville gigantesque comme Pékin, un bon conseil : suivre la petite fille et le chat. Souples, curieux de tout, éveillés, sans préjugés, ils se faufilent dans les ruelles anciennes – les hutongs – aussi bien qu’entre les gratte-ciel ultramodernes. Leurs silhouettes se détachent sur le décor changeant : elle en rouge, lui tout noir. Ils vont partout, ou presque.
Mais bientôt, surprise ! Un petit empereur surgi d’une vieille photo se joint à eux, muni de son cerf-volant. Nous pouvons à présent pénétrer dans le passé et la Cité interdite…
Personne ne connaît l'origine de ce conte ni quand il a commencé. Pour certains, il a le même âge que le ventre rond de la femme qui attendait un enfant à aimer. Pour d'autres, il est venu au monde quand l'homme qui attendait un garçon dit : « Quand tu enfanteras, si c'est une fille, débarrasse-t-en ! si c'est un garçon, libère l'oiseau pour qu'il m'apporte la bonne nouvelle ! »
Oscar habite depuis peu au Japon avec ses parents. Aujourd'hui, pour la première fois, sa maman et lui vont au bain japonais avec leur ami Motoyuki. Oscar n'est pas très rassuré : d'abord, il faut dire au revoir à maman qui part toute seule du côté des dames, et ensuite, dans les vestiaires, il faut se mettre tout nu devant tout le monde. Mais ce qu'il découvre ensuite est plutôt amusant : avant d'entrer dans l'eau, on se lave sur un banc jusqu'entre les orteils et on se rince en se versant une bassine sur la tête. Si le premier bain est beaucoup trop chaud, et le deuxième beaucoup trop froid, le bain rouge, qui sent si bon, est tout à fait du goût d'Oscar, et le jacuzzi aussi, avec ses bulles qui chatouillent. Mais tout ça donne terriblement envie de faire pipi. Oscar part bravement à la recherche des toilettes. Heureusement, le magnifique samouraï qui orne son peignoir lui donne du courage...
Un album vivant et drôle, riche en détails - complété par un lexique illustré - dans lequel le lecteur peut à la fois frémir et s'étonner avec Oscar, et découvrir ce qu'est un « yukata », des « geta » et, même, qui est Hokusaï...
Le père de Mustafa a un magasin de tapis. Quand les touristes étrangers arrivent, il leur dit : « Welcome », « Bienvenue », « Beautiful »... Il aimerait bien que son fils apprenne lui aussi les langues étrangères.
Dans le magasin, il y a un tapis que Mustafa adore. Personne ne semble en vouloir parce qu'il a un trou au milieu. Ce trou, Mustafa s'en moque. Au contraire, il le trouve très pratique : il peut mettre le tapis sur sa tête et regarder par l'ouverture.
«Je te donne ce tapis », lui dit son père, « mais tu me promets d'apprendre les langues étrangères ».
« D'accord », répond Mustafa, mais dès la première leçon, il s'ennuie si profondément qu'il quitte la maison en courant. Il va alors au marché, son tapis sur la tête. Et là, il trouve un étrange moyen d'apprendre quelques mots étrangers... et de faire venir beaucoup, beaucoup de monde dans le magasin de son père.