Thème « apprentissage de la vie »
Léonie est une petite fourmi comme les autres. Pourtant, ses soeurs se moquent souvent d’elle. Elles l’appellent « fourmi limace », parce qu’elle est plus lente. Il lui arrive de s’arrêter de travailler pour contempler la nature, pour rêver. Un jour, elle voit une publicité pour un voyage à dos d’escargot. Mais elle n’est jamais partie de la maison et sa famille ne sera sûrement pas d’accord. À moins que…
Ça grandit vite, un écureuil. À huit mois, Marilou n’est déjà plus tout à fait un enfant. C’est le moment pour elle de quitter sa famille et d’explorer la forêt.
Pour la première fois, elle va cueillir des cerises. Pour la première fois, elle va se faire un ami. Il s’appelle Malik et il a du soleil dans les yeux. Quelle aventure…
Mais le danger est là : un incendie gigantesque éclate dans la forêt. Vite, Marilou, il faut se sauver ! Dans la fuite, elle ne retrouve plus rien. Son chemin ? Sa maison ? Son ami ? Où sont-ils ? La quête d’un monde nouveau commence.
C'est aujourd'hui le grand jour. Mounir a rangé sa chambre comme jamais, il a offert à ses sœurs et à ses parents, des pousses de bambous, des tranches de mangues, et un peu de lichen, en guise de cadeaux. Avec un caillou de sa collection en poche, le voyage peut commencer. Mounir part droit devant pour découvrir le bout du monde.
Le chant de l'Oiseau est si beau : l'Oiselle l'a entendu de loin et n'a pas pu résister au plaisir de le rencontrer. Seulement l'Oiseau ne peut pas se promener avec elle, il est en cage. Alors l'Oiselle revient souvent lui rendre visite. Elle lui apporte de la nourriture et des histoires du dehors. Un jour, ils réussissent à ouvrir la cage : l'Oiseau est libre, ils vont enfin voyager à deux et partir vivre sur cette île lointaine...Mais l'Oiseau comprend vite que le monde est plein de dangers. Le chemin retour est-il possible ?
On entend souvent parler du grand méchant loup, de ses longues dents, de sa roublardise, de sa vilénie… mais l'intéressé en a ras la casquette de cette étiquette ! Il aimerait bien qu'on évoque sa sensibilité, la douceur de son pelage ou encore la brillance de ses moustaches. Eh bien, c'est chose faite dans ce recueil d'histoires qui vous fera découvrir le loup sous un nouveau jour !
« La première fois que j’ai lu les aventures d’Anastasia Krupnik, je m’ennuyais dans un petit bureau poussiéreux, je me demandais quel était le sens de ma vie. Si ça allait durer toujours. J’étais grognon. Dégoûtée de tout. Donc je venais de rencontrer une fille rousse et intelligente avec des lunettes de hibou. Avec des parents injustes, drôles, tolérants, humains. Une fille normale, avec un frère normal, une maîtresse normalement effrayante et pudibonde. Normal.
So what ? À quoi tenait cette force communicative ? Aux dialogues ? Ils sont sans le moindre souci de politically correct, sans la moindre censure. Sexualité, politique, religion, rien ne fait peur à l’auteure. Ils sonnent plus vrai que nature. Un ping-pong permanent. Des situations hilarantes ? Bien sûr. À base de hamsters, d’apparitions de Sigmund Freud, de passages de girafes, d’élans amoureux, de jalousies horribles. »
Geneviève Brisac
Anastasia est la compilation de trois tomes :
Anastasia Krupnik, Anastasia, demande à ton psy !, Une carrière de rêve pour Anastasia.
Jamais Anastasia n'a été aussi furieuse que le jour où ses parents lui ont annoncé qu'elle allait avoir un petit frère. Elle est allée dignement dans sa chambre, a décroché son poster d'orang-outang et a commencé à faire ses valises. Ses parents lui ont tout de même suggéré de passer Noël à la maison. Ils lui ont également dit que si elle restait, elle pourrait choisir le prénom du bébé. C'est alors qu'Anastasia a eu l'idée du prénom le plus abominable, le plus calamiteux qui puisse exister. Elle s'est empressée de le noter dans un endroit secret. Ensuite, elle a ajouté "les bébés" dans la liste des choses qu'elle déteste. Anastasia met très souvent ses listes à jour. C'est nécessaire. Des événements totalement imprévisibles et indépendants de votre volonté peuvent vous faire changer d'avis. Qui aurait cru, par exemple, que des mots comme "les garçons", "Mme Wesvessel" (la maîtresse), et même "les bébés" puissent un jour être rayés de la liste des choses qu'Anastasia déteste ?
La saga d'ANASTASIA dans l'ordre : "Anastasia Krupnick", "C'est encore Anastasia", "Anastasia à votre service", "Anastasia, demande à ton psy !", "Anastasia connaît la réponse", "Le nom de code d'Anastasia", "Anastasia avec conviction".
Le quartier de Belsunce, à Marseille. Ses immeubles délabrés, ses scooters, ses poubelles renversées et son City stade tout neuf. Depuis son inauguration, le mini terrain de foot est fréquenté H24 par tous les jeunes du quartier. Seul Enzo, qui habite à côté, refuse d’y mettre les pieds. Ce n’est pas qu’il déteste le foot, au contraire, mais il ne supporte pas ceux qui y jouent, ces footeux au QI d’huître qui passent leur vie à s’insulter. Le jour où Ilyes et Ali parviennent à l’entraîner au City, ça ne loupe pas, Enzo se retrouve au pire poste du monde, celui de gardien. Et là, surprise ! Il s’avère doué, très doué, pour arrêter les buts…
Elle a l’air d’une bonne femme de neige géante, avec une tête en face de lune et deux yeux en boutons de culotte. Non, Aza n’est pas jolie. Elle ne l’a jamais été. Déjà quand une inconnue l’a abandonnée, à l’âge d’un mois, à l’auberge de la Plume d’oie, elle était laide. Quinze ans plus tard, elle est affreuse. Ses parents adoptifs la protègent en la cachant des visiteurs et en éliminant les miroirs. Les seuls clients à ne pas être gênés par sa vue sont les gnomes. Un jour, l’un d’eux, en l’entendant chanter, a sympathisé avec elle et lui a prédit l’avenir…
Sa beauté, c’est sa voix, la plus belle de la région, et peut-être même du pays. Elle a inventé une nouvelle manière de chanter, qu’elle garde secrète. Quand une duchesse, de passage à l’auberge, invite Aza à remplacer sa dame de compagnie enrhumée et à l’accompagner au remariage du roi, elle accepte, au risque de devoir dévoiler son secret. Là-bas, au château d’Ontio, l’attendent un miroir magique et même maléfique, l’amour d’un prince, la haine d’une reine et la réalisation de la prédiction du gnome.
La naissance de l’univers rime avec Oscar le Téméraire. Il deviendra maître du monde, demain ou dans dix ans, mais un jour, forcément ! Oscar a beau s’inventer un avenir glorieux, en attendant, il doit bien admettre que son existence se réduit à peu de chose. À l’école, il n’a pas d’ami et se fait régulièrement casser la figure ; il vit seul avec sa mère qui peine à joindre les deux bouts ; et dans quatre jours, ils déménagent pour aller vivre dans un mobile home au milieu de nulle part. Pour affronter ces coups du sort, Oscar, le futur centre de l’univers, se découvre une vaillance insoupçonnée ainsi qu’une nouvelle alliée, la jolie Bashia, qui va employer toute son énergie à le ramener sur terre, auprès d’elle…
Abel vient d’avoir onze ans. Il vit dans une famille qui a la bosse des maths depuis des générations. Lui, quand il voit des chiffres, tout se brouille. C’est comme si son cerveau se mettait à geler. Il devient idiot, ça a toujours été comme ça.
Ce matin, au courrier, une invitation ! Abel espérait une invitation à rejoindre une école de sorcellerie où on lui découvrirait enfin un don bien à lui. Quelle déception ! Cette lettre annonce qu’il a gagné une semaine en Finlande avec Elias Chomsson, un génie des mathématiques. On a dû se tromper quelque part !
Mais après tout, c’est son nom sur l’invitation. Abel, qui a toujours rêvé de voyager, partira au pays des aurores boréales où l’attend un drôle de professeur…
Joseph a grandi et le rite est précis: il doit partir s'installer dans une clairière - sa clairière. Il doit partir avec la lampe à méduses que lui a offert sa mère, il doit trouver sa source et sa fée. Son phacochère. Son univers. Son monde à lui. C'est ce qu'il fait : il part, il plante des graines, cultive son jardin, aménage son espace et son temps. Il apprend le langage des pierres et découvre la mer, tout au bout du chemin, enfin. Mais la Plaine l'attend. La Plaine l'appelle ; elle l'a choisi. Ça fait partie des choses qu'on n'explique pas. C'est comme ça. Joseph doit suivre sa voie. « Le Monde de Joseph » c'est tout ça à la fois, c'est un jeune garçon singulier et tellement proche de nous, un village extraordinaire et banal à la fois, des histoires fabuleuses dans une histoire de tous les jours. C'est notre monde rêvé et c'est une invitation au voyage imaginaire. Bienvenue dans le monde de Joseph.
Un matou bien nourri et soigné dédaigne les douceurs du foyer et ne rêve que d’aller rejoindre les chats de gouttière qu’il aperçoit par la fenêtre. Mais la liberté se paye cher, il l’apprendra à ses dépens. Une nouvelle méconnue du grand Émile Zola, dans un album jeunesse superbement illustré par Timothée Le Véel.
Un astronaute sort de sa navette spatiale pour faire une réparation. Soudain, il entend une voix qui lui pose d’étranges questions et lui demande aussitôt ce qu’il pense des requins. Une voix ? Dans l’espace ? C’est un enfant au rire clair comme le cristal qui lui apparaît. Il s’appelle le Petit Principe. D’où vient-il ? Et comment peut-il même se trouver là ? Le Petit Principe évite de répondre à toutes ces interrogations. Il se contente d’être là. Voyageant d’un trou noir à l’autre, il va rencontrer les personnages les plus étonnants, et faire l’expérience de l’Univers qui est, aussi, l’expérience de la vie.
Anne vient d'emménager avec sa mère dans un nouveau quartier. Elle se sent seule et déracinée. Heureusement, elle fait la connaissance de Pierre, leur voisin peintre, et passe bientôt toutes ses soirées dans son atelier. Lorsque Pierre lui demande de l'aider à préparer sa prochaine exposition, Anne est très flattée. Ne serait-elle pas un peu amoureuse ?
Autant le dire tout de suite, ça n’a pas été chose facile car je ne savais pas du tout comment attaquer le problème. Je n’étais pas sûr qu’on puisse apprendre la sympathie et la gentillesse, mais je devais essayer. Je me suis rassuré en me disant que ça ne devait pas être si compliqué et que tout le monde pouvait y arriver, je connaissais des tonnes de gens sympas ou, ce qui revenait au même, qui avaient la réputation d’être sympas. Alors, pourquoi pas moi ? Il suffisait d’observer et de reproduire. Copier. Coller.