Thème « voyage »
Passer l’automne à Kyoto. Toute une saison, autant dire une éternité… Margaux en rêvait depuis toujours. Mais la veille de son départ pour le Japon, elle n’a plus envie. Entre-temps, elle a rencontré Mathias et ça change tout.
Comment va-t-elle supporter ces trois longs mois de séparation, privée de Mathias, de ses caresses et ses baisers ? Pour ne rien arranger, elle vient d’apprendre que sa mère ne faisait plus partie du voyage et qu’elle-même allait jouer les jeunes filles au pair, coincée entre un père pas facile à vivre et une petite soeur énergique comme une pile électrique.
Si elle savait ! Là -bas, Margaux va s’émerveiller devant ses premières feuilles d’érable rouges, les momiji, les fleurs de camélia et les temples illuminés. Elle va rencontrer Éric Dufay, jeune photographe au sourire carnassier et aux yeux pétillants qui a un don certain pour l’agacer. Là -bas, l’automne va passer plus vite que prévu.
Alonso Quijano, pauvre hidalgo, après avoir lu plus que de raison des romans de chevalerie, décide d'embrasser la profession de redresseur de torts et de protéger la veuve, l'orphelin et les nécessiteux, en parcourant le monde... L'énorme mérite de Cervantes réside dans le fait que non seulement il a créé le personnage même de don Quichotte mais que, de plus, il lui a trouvé le compagnon idéal, son antithèse parfaite, à savoir: son écuyer Sancho Panza. L'auteur a voulu combattre une mode, néfaste à ses yeux, pour ses compatriotes et apparaît, de ce fait, à travers son récit, comme le peintre fidèle de la société de son temps. Nous n'avons retenu, délibérément, que les chapitres mettant en évidence le mécanisme de la folie chez don Quichotte, la fidélité à toute épreuve de Sancho Panza et la méchanceté des tiers qui se gaussaient des fous, des faibles et des simples d'esprit.
Alonso Quijano, pauvre hidalgo, après avoir lu plus que de raison des romans de chevalerie, décide d’embrasser la profession de redresseur de torts et de protéger la veuve, l’orphelin et les nécessiteux, en parcourant le monde... L’énorme mérite de Cervantes réside dans le fait que, non seulement il a créé le personnage même de don Quichotte mais il lui a également trouvé le compagnon idéal, son antithèse parfaite, à savoir : son écuyer Sancho Panza. L’auteur a voulu combattre une mode, néfaste à ses yeux, pour ses compatriotes et apparaît, de ce fait, à travers son récit, comme le peintre fidèle de la société de son temps. Nous n’avons retenu, délibérément, que les chapitres mettant en évidence le mécanisme de la folie chez don Quichotte, la fidélité à toute épreuve de Sancho Panza et la méchanceté des tiers qui se gaussaient des fous, des faibles et des simples d’esprit.
Christophe Colomb se considérait d'abord comme un missionnaire, un croisé. Son ambition: répandre la parole divine et amasser suffisamment d'or pour financer la reconquête de la Terre sainte. Dès le début des années 1480, il a l'idée d'atteindre les " Indes " par l'ouest, en traversant l'Atlantique. Cette erreur, on le sait, le mettra en présence des "Indiens" d'Amérique, et non du Grand Khan, empereur de Chine... Pour la comprendre, il faut se rappeler que, en cette fin de Moyen Âge, le monde est conçu comme un bloc de trois continents - l'Europe, l'Afrique et l'Asie - cernant la Méditerranée et entouré par une seule et unique mer. Colomb estime que, après une traversée de quelques jours, il abordera ces contrées décrites par Marco Polo, où abondent l'or et les épices... Le 3 août 1492, ayant obtenu le mandat des souverains d'Espagne, il part avec deux caravelles, la Pinta et la Nina, et une nef, la Santa Maria: ce sera le premier de quatre longs voyages...
« Ils vont regretter de m'avoir emmenée. Foi de Margaux. » Depuis des mois, Margaux rêvait de ce périple en Asie avec son père. Mais, pour cause de dépression paternelle, elle se retrouve à voyager seule avec cette famille de location au rabais à qui elle a été confiée : Ralf le père, Aline la mère possessive, et Jesse leur fille de 13 ans, rebaptisée illico « Supernigaude ». Si mal accompagnée, Margaux est bien décidée à n'apprécier sous aucun prétexte les charmes de l'Orient. Elle a beau freiner des quatre fers, les parfums de l'Asie lui chatouillent les narines, et les rues vivantes et colorées lui font de l'oeil. Le Vietnam l'appelle. De virées en échappées solitaires, Margaux succombe à ce pays si étrangement familier. Elle va y découvrir sa propre histoire.
Sheng-Hui, Immense savoir en chinois, est né en 1956 dans le Yunan. Sa mère, Kuo, s'est tout de suite inquiétée des prédictions fâcheuses qui entouraient sa naissance. Mais elle ne peut empêcher le destin, et Sheng-Hui se retrouve orphelin à quatre ans. Il est élevé dans la forêt par un moine bouddhiste et un vieux chat blanc qui lui apprennent l'antique sagesse chinoise, qui l'ennuie beaucoup, et les romans d'aventures, qui lui plaisent énormément. Il aime surtout Les Aventures du roi des singes qui racontent le voyage en Occident d'un moine et d'un guerrier aux pouvoirs magiques. C'est ce voyage qu'il va refaire: de Hong Kong en Amérique, il recherche le Sutra du Rire qui fait accéder à l'illumination et à l'immortalité.
L'histoire de Sheng-Hui fait traverser la Révolution chinoise et ses convulsions, mais aussi l'Amérique des années 70, vue d'un oeil fasciné et critique.
C'est un roman rocambolesque, l'aventure d'un Tintin chinois pris entre le bouddhisme et les Gardes rouges. Un À la poursuite du Diamant vert, où le trésor serait le Sutra du rire.
Depuis un an, la vie de Moses Laufer Victor a changé.
Il y a les signes extérieurs, la jambe blessée, les boutons qui explosent sur son visage comme des volcans, et la rage incontrôlée qui s’exprime comme elle peut.
Il y a les choses qui restent en lui, les souvenirs de l’accident, les mots qu’il n’arrive plus à dire avec ses parents, qui sont comme des orages en dedans.
Et puis, il y a tout ce que l’on ne connaît pas encore. Un jour, au lycée, arrive Ratso, un Indien. Il a ses secrets lui aussi, il a sa colère. Mais il a surtout besoin que Moses l’accompagne à Pine Ridge, pour rendre visite à sa soeur.
Parce que chacun, à sa façon, doit sortir de sa réserve.