Thème « ville »
Chien Pourri et son ami Chaplapla en ont assez de jouer au Monopourri sur leur vieille serpillière. Pourquoi n'iraient-ils pas visiter Paris, si un camion poubelle veut bien les prendre en stop ? À eux les merveilles de la capitale, ils vont toutes les visiter, de Notre-Drame au métropolichien, sans oublier les égouts, bien sûr...
Chien Pourri est amoureux ! Ses puces et lui ont eu le coup de foudre pour Sanchichi, une petite chienne pouilleuse et, heureusement pour lui, bigleuse. Le Manuel du Séducteur à la patte, Chien Pourri se lance à sa conquête, mais, comme il comprend tout de travers, le pire est à craindre. Va-t-il la traiter de grosse saucisse ou la kidnapper dans un sac-poubelle ?
Cette fois, la roue du hamster a tourné ! Chien Pourri trouve une valise pleine de billets dans sa poubelle. Le célèbre bandit Jean Navet lui en confie la garde. Chien Pourri résistera-t-il à l’appel de l’argent ? Sera-t-il généreux avec les rats et les pigeons du quartier ou gardera-t-il tous les sousous pour s’acheter des susucres ? Et si Chien Pourri devenait pourri pour de bon ?
Aujourd’hui Chien Pourri va à l’école ! Réussira-t-il à faire le beau devant sa maîtresse, à ne pas s’endormir au cours de maintien ? À jouer au foot à la récré sans servir de ballon ? Et surtout apprendra-t-il à lire pour déchiffrer les étiquettes dans sa poubelle ? Bon courage, Chien Pourri !
Chien Pourri a un peu peur : il parait que les musées, ça fait gonfler les pieds. Mais une visite au Louvre, ça ne se refuse pas. Chaplapla et lui vont voir la Joconde en vrai, le tableau le plus célèbre du monde ! Mais, bien sûr, la visite se met vite à dérailler...
Anissa et François habitent à la Cité des Fleurs. La seule fleur de la Cité, c'est Anissa. Les seuls parfums de la Cité ce sont ceux que François et Anissa trouvent dans le dictionnaire : il y a les mots fleurs et les mots caca-de-chien. Les mots caca-de-chien, c'est pas trop leur truc. C'est plutôt celui du père de François, des mots comme « Bougnoules » dont François trouve qu'ils puent. Evidemment, il préfère les mots-fleurs, comme « Amour ». Mais là, François n'est pas forcément d'accord avec le gros dictionnaire. François et Anissa ont leur définition à eux du mot « Amour ».
Un drôle de sachet-cadeau les a intrigués sur l’aire de jeux. Il était accroché aux mâchoires du dinosaure en plastique vert. Les trois amis s’en sont emparés. Il contenait des craies. Une, deux, trois ! Chacun la sienne. Commençons par dessiner un soleil sur le trottoir. Il nous manque par ce jour de pluie. Hé, mais… aïe ! Il éblouit ! On dirait qu’un vrai soleil sort du dessin… On continue ? Des papillons maintenant ! À moi ! Un dinosaure ! Ma parole, mais ces craies sont enchantées… Au secours ! Le T-Rex! Comment l’arrêter ?
Un parc, la nuit. Un grand chêne frissonne. Au creux de ses racines, un petit être s'est réfugié. C'est un enfant, un humain, très jeune. Il est perdu, il a faim, il a froid. L'arbre sait qu'il peut sauver cet enfant. S'il entrouvre son écorce et le recueille au coeur de lui-même, l'enfant n'aura plus ni froid, ni faim, ni peur. Mais il deviendra, et peut-être pour toujours, une dryade, un être nocturne, d écorce et de feuilles...
L’éléphant de cette histoire est bien embêté, il s’est échappé du zoo et doit absolument se cacher pour ne pas être rattrapé. Mais comment se cacher quand on est très très gros, le plus gros animal de la Terre ? Il est désespéré : il a beau baisser la tête, garder sa trompe tout près de son corps, faire semblant d’avoir de minuscules pattes, rien n’y fait, on ne voit que lui… C’est alors qu’il entend une toute petite voix lui dire de faire attention.
Et là commence une autre histoire…
Quand les trois enfants de la sorcière décident d'aller jouer au parc par un jour de grand vent, tout le monde se cache, tout le monde a peur car c'est signe de GROS ENNUIS ! En effet, les enfants de la sorcière, l'Aîné, la Cadette et la Benjamine, ont des pouvoirs extraordinaires mais ils n'ont pas encore appris à réparer leurs bêtises magiques.... Certaines personnes dans le parc vont donc avoir de TRÈS TRÈS GROS ENNUIS...
Un jour, Félix Clousseau, peintre inconnu, reçut le Grand Prix pour un tableau qui faisait...« coin-coin » ! Clousseau devint célèbre... mais ses ennuis commencèrent...
Falgu le fermier se rend au marché pour vendre les produits de sa ferme, mais rien ne se passe comme prévu…
Maé déménage en ville. Et dans la ville, pas de jonquilles, pas de pommiers, pas de jardins. La nature lui manque terriblement. Jusqu’à cette découverte inattendue…
Au Muséum d’histoire naturelle, Gaston fait le ménage. Grâce à lui, les squelettes et les dents des animaux empaillés reluisent.
Mais c’est la panique : la plus grande exposition de tous les temps ouvre demain, et rien n’est prêt car le responsable s’est cassé une jambe. Le directeur a une idée : c’est Gaston qui va le remplacer. Au travail ! Pas de temps à perdre. Gaston s’emmêle bien un peu les pinceaux avec les caisses et les os numérotés, mais le résultat est unique. Et voilà Gaston repéré par l’un des prestigieux invités…
Gina est à Venise avec sa classe. Elle y découvre des vieilles églises, des pigeons, mais surtout des tableaux, des tableaux et encore des tableaux. Des tableaux à perte de vue ! Tout ça n'a rien de très fascinant. Sauf peut-être ce tableau-ci : « Saint Jérôme et le lion ». Gina est punie et doit s'appliquer pour le dessiner pendant que les autres vont manger une glace avec la maîtresse. À force de le regarder, de l'observer, de le scruter, Gina a l'impression que le lion a bougé...
J'ai crié son nom... Je me suis installé sur un banc... J'étais impressionné... J'étais vraiment vraiment heureuse... Ce pourrait n'être que le récit à quatre voix d'une promenade au parc, mais la plume et le trait d'Anthony Browne ont transformé cette histoire simple en un fascinant exercice de style.















