Thème « ville »
À la nuit tombée, le gardien du zoo fait le tour des cages pour souhaiter une bonne nuit à tous les animaux. Mais ce coquin de gorille, malin comme un singe, a une autre idée : il serait bien mieux dans un lit douillet. Alors, lui aussi se met à arpenter le zoo, mais c’est pour ouvrir les cages avec le trousseau de clés qu’il a volées dans la poche du gardien… et entraîner toute sa bande dans un endroit secret.
Au pays des oursons en chocolat, il y a aussi des musées. Et un musée, ce n’est pas comme un parc d’attractions ; il y a beaucoup de choses, mais on n’a le droit ni d’y toucher ni de jouer avec, ce qui n’est pas vraiment du goût du petit ourson.
Quelles surprises réserve la ville à Lou et Mouf ? Quels véhicules croisent-ils en ville ?
Des images pour se parler.
Quand on regarde ensemble un livre illustré, on peut fixer le regard sur la même image. L'enfant aime pointer du doigt ce qui l'intéresse. De joyeux échanges langagiers s'installenet avec l'adulte.
Et l'enfant s'approprie la langue.
Ces moments de lecture partagée favorisent le développement de son langage et de sa pensée.
Quels animaux Lou et Mouf vont-ils rencontrer au zoo ? Cet imagier sans texte mettant en scène les deux héros des tout-petits et leurs premières expériences de vie, pour échanger joyeusement et librement avec bébé dans toutes les langues !
Des images pour se parler.
Quand on regarde ensemble un livre illustré, on peut fixer le regard sur la même image. L'enfant aime pointer du doigt ce qui l'intéresse. De joyeux échanges langagiers s'installenet avec l'adulte.
Et l'enfant s'approprie la langue.
Ces moments de lecture partagée favorisent le développement de son langage et de sa pensée.
Quand on est en haut du toboggan ça fait un peu peur mais que c’est grisant de glisser jusqu’en bas, surtout quand on a l’impression que le toboggan est infini !
Nous vous proposons un jeu à l'écran pour accompagner la lecture de ce livre.
Accéder au jeu
Aggie est la reine de la débrouille. Difficile de faire autrement quand on est orpheline et qu’on ne mange pas tous les jours à sa faim. Avec son ami Orin et son chien Mister Bones, elle a mis au point un numéro pour détrousser les riches passants qui s’aventurent dans les bas quartiers de Boston.
C’est d’ailleurs en essayant de voler le portefeuille de Pemberton Rushworth qu’Aggie l’a rencontré.
Plutôt que de la conduire à la police, ce détective privé lui fait alors une proposition extraordinaire.
Jusqu’à présent, Aggie n’a pas eu beaucoup de chance.
Mais cette drôle de rencontre est une occasion inespérée d’échapper à son destin de gamine des rues. Si Aggie suit attentivement les conseils du détective, elle pourra enfin changer de vie.
Aggie Barrie, la nouvelle héroïne de Malika Ferdjoukh, doit beaucoup aux lectures d’enfance de son auteur. Son prénom est directement inspiré d’Aggie Mack, le personnage d’une bande dessinée des années 50, et son nom est un hommage à James Matthew Barrie, le créateur de Peter Pan. Aggie pourrait d’ailleurs être la soeur jumelle de Minuit-Cinq, un autre orphelin dont Malika Ferdjoukh a raconté l’histoire dans le roman qui porte son nom.
La petite fille aux allumettes revisitée par Tomi Ungerer : un chef d'œuvre.
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
Le quartier de Belsunce, à Marseille. Ses immeubles délabrés, ses scooters, ses poubelles renversées et son City stade tout neuf. Depuis son inauguration, le mini terrain de foot est fréquenté H24 par tous les jeunes du quartier. Seul Enzo, qui habite à côté, refuse d’y mettre les pieds. Ce n’est pas qu’il déteste le foot, au contraire, mais il ne supporte pas ceux qui y jouent, ces footeux au QI d’huître qui passent leur vie à s’insulter. Le jour où Ilyes et Ali parviennent à l’entraîner au City, ça ne loupe pas, Enzo se retrouve au pire poste du monde, celui de gardien. Et là , surprise ! Il s’avère doué, très doué, pour arrêter les buts…
Ça fait des mois que les Boucans réclament un capitaine. Ou une, bien sûr. Solée a posé sa candidature, et à son avis, elle a toutes ses chances. D’ailleurs, si le coach, monsieur K, veut la voir aujourd’hui, toute seule, c’est sûrement pour lui annoncer sa nomination. Mais alors… pourquoi chausse-t-il ces lunettes qui lui font des yeux énormes ? Et pourquoi fait-il la grimace ? Son chien Zizou est encore malade, ou quoi ? Une chose est sûre : Mr K n’a pas sa tête des bons jours… Soudain, Solée a du mal à respirer.
Ali ne pense qu’au foot. Du matin au soir, il pense match, but, marquage… Et le lendemain, il recommence. Plus tard, il sera une star du foot, une sorte de croisement entre Messi et Mbappé. Mais en attendant, il a un problème, et ce problème s’appelle monsieur K. Le coach des Boucans, son équipe de foot à 5. Depuis qu’il est tombé amoureux, on dirait que le foot ne l’intéresse plus. Et au lieu d’entraîner ses joueurs, il leur cuit des beignets et des brioches… Ali a besoin d’entraînement, pas de brioches (même si elles sont délicieuses). Alors il n’a pas le choix : il va devoir secouer monsieur K. Ou le remplacer. Oui, mais comment ?
Avoir, comme Archie Brown, un père qui travaille au Bears Bazaar, le plus grand et le plus prestigieux magasin de jouets de Londres, a de quoi faire rêver n’importe quel enfant. Mais Bears Bazaar est aussi le magasin le plus cher et le père d’Archie refuse d’y acheter quoi que ce soit. Archie et ses soeurs doivent se contenter de déambuler dans les rayons en rêvant. Mais un soir de décembre, le garçon y fait une étrange découverte. Quel secret abrite le sous-sol du magasin ? Et que signifient tous ces vols à quelques jours de Noël ? Archie est bien loin d’imaginer ce qui l’attend et à quel point le sort du Bears Bazaar et celui de sa famille sont liés...
Pepicek et Aninku doivent aller à la ville chercher du lait pour leur maman malade. Mais les deux enfants n'ont pas un sou ; ils n'ont que leur seau vide. Comment faire pour gagner de l'argent quand on est un petit enfant ? Sur la grand-place, un horrible bonhomme chante une affreuse chanson en s'accompagnant à l'orgue de Barbarie. C'est Brundibar. Tous les adultes autour de lui applaudissent et lancent des pièces. Chantons, nous aussi, se disent Aninku et Pepicek, nous serons bientôt assez riches pour acheter du lait. Mais Brundibar n'est pas d'accord. Et Brundibar est un tyran. Il ne suffit pas d'être deux pour s'attaquer à un mal si grand. L'affreux bonhomme les gronde, puis les chasse. Pepicek et Aninku se réfugient dans une ruelle sombre. Ils n'ont plus d'espoir. Quand soudain, un oiseau qui parle et un chat, tout aussi bavard, leur expliquent qu'ils doivent demander de l'aide. Tous les écoliers répondent à l'appel et, ensemble, chantent une berceuse pour les passants. La chanson est si douce que tout le monde donne de l'argent. Tout le monde sauf Brundibar, évidemment ! À BAS BRUNDIBAR !
Cet album marquant est adapté d'un opéra écrit dans le ghetto de Terezin.
Les temps changent, mais les lieux restent à peu près ce qu'ils sont. Nos grandes villes se sont transformées au fil des siècles, tout en gardant certains caractères que leur ont connus toutes les générations d'habitants qui s'y sont succédées. Ainsi le Paris actuel n'est peut-être pas si différent qu'on le croit du Paris du Moyen Âge. Quelles sont les impressions de la famille Thibaut qui s'y promène aujourd'hui ? Qu'a ressenti une autre famille Thibaud venue assister, en 1389, aux cérémonies d'accueil de la reine Isabeau de Bavière par son futur époux Charles VI ? Qu'y a-t-il de semblable ? Qu'y a-t-il de différent ? Pour le voir, il suffit de tourner les pages.
Gabbin a tout vu ! Juché sur le toit, il a suivi le déroulement de la scène à travers une lucarne : le couple se chamailler, l’homme tirer un revolver de son pardessus, viser, et PAN ! PAN !, deux éclairs blancs toucher la femme qui est tombée en arrière, aussi raide qu’un bout de bois mort. Un meurtre !
En direct ! Lorsque l’assassin a levé les yeux vers Gabbin, éclairé par un rayon de lune, le garçon a compris que sa vie ne tenait plus qu’à un fil. Si ce sale individu l’attrapait, il allait y passer : trois balles dans la caboche et c’en serait terminé. Il fallait fuir, se cacher. Même si sa vie ne valait pas grand-chose, Gabbin, le monte-en-l’air, le ousititi des toits, allait défendre chèrement sa peau…
Saïd a aimé le travail bien fait, la langue française et ses richesses, les dictionnaires, la beauté sous toutes ses formes. Il a aimé être un bon élève. Mais c'était avant. Il y a longtemps. Il y a un an. Avant le collège Camille-Claudel, la foule hurlante de ses mille deux cents élèves, le racket, la fatigue, le mépris et la haine de ceux qui veulent tuer tout ce qui est beau. Au collège, Saïd a changé. Ce n'est pas qu'il ne veut plus réussir et s'en sortir. Il le veut toujours, de toutes ses forces. C'est juste que, des forces, il en a de moins en moins. Tout seul, il sait qu'il n'y arrivera pas. Alors il s'accroche à ce qu'il peut : une sortie à Paris au musée d'Orsay, un tableau qui représente des fleurs blanches sur un fond noir, son ami Antoine qui baigne dans la culture, le caractère d'un prof qui ressemble à l'acteur de Mission impossible... Sauver Saïd de l'échec et du désespoir, est-ce vraiment mission impossible ?