Thème « vie rurale »
César le coq du village habite tout en haut du clocher, à cause de son travail qui consiste à indiquer d'ou vient le vent. Un jour, se sentant un peu seul, il décide de voir le monde. Mais il semble que les villageois dès qu'ils le voient n'aient qu'une idée en tête : le faire cuire !
Ici, dans les hautes montagnes des Andes, pas un arbre ne pousse. Il n’y a ni gaz ni électricité. Chaque jour, on allume un feu avec des crottes d’alpaga séchées, et on fait cuire dessus toutes sortes de pommes de terre. Une fois, dans une fête en ville, Lucho a goûté une friandise succulente : de la crème glacée ! Et comme, aujourd’hui, il a aidé ses parents à sauver Pocoyo, un bébé alpaga coincé dans une crevasse, Lucho a bien mérité de manger de la glace !
Au chenil où Pouët est né, les autres chiens, costauds et optimistes, ont vite trouvé preneurs. Mais lui a dû attendre longtemps qu’un maître vienne le chercher. C’est le fermier Martin. Pouët, éperdu de reconnaissance, cherche comment lui plaire, comment le servir. Comme le fermier n’exige rien, Pouët essaie tout. Courir après les vaches ? Ramener les poules entre ses dents ? Embêter le Vieux Cheval ? Et si ce qu’attendait le fermier Martin était bien plus simple et moins fatigant ?
C’est une histoire drôle, une sorte de pendant à leur précédent album, Le métier de chat, qu’ont voulu réaliser Daniel Hénon et Fabienne Mounier, mais aussi un hommage aux paysages, à la terre et aux hommes qui la cultivent dans leur région, la Nièvre. Ces types rudes, secs, taiseux, filmés par Raymond Depardon, ignorés par le reste du monde, qui continuent de nourrir l’humanité, sans commentaires inutiles. Et si le métier de chien, comme le métier de paysan, c’était tout simplement d’être soi-même ?
Gamoussa ? Cela signifie bufflonne en égyptien. Un animal indispensable pour aider les paysans à cultiver la terre fertile des bords du Nil. Mais celle que le père d’Aziz a achetée au marché n’est pas comme les autres. Elle refuse de marcher dans la boue, de travailler. Un jour, même, elle s’évade pour courir vers les Pyramides. Heureusement, Aziz la rattrape et assiste à une scène extraordinaire qui va changer sa vie.
Il existe encore, de par le monde, en Inde, au Brésil, en Afrique, des fermes traditionnelles où humains et animaux vivent en bonne intelligence, où les rythmes de la nature sont respectés, où les gestes essentiels sont faits à la main. Il en existe aussi pas si loin de chez nous.
Philippe Dumas a été le voisin de la ferme de Cogges, près d’Oxford, en Angleterre. Dans cet album qui rend hommage à l’harmonie d’une certaine vie campagnarde, jamais l’expression « sur le vif » n’avait été plus juste.
Des pêcheurs en barque, des chevaux, des cerisiers en fleur, des champs à taille humaine cultivés à la main, des rizières, des jeux, des courses, des fêtes, un train à vapeur, des vélos, des charrettes, des défilés, des fanfares, des moissons, des récoltes, des moulins, des toits de chaume. Dans ce Japon encore rural, celui de l’enfance de l’auteur, l’électricité est peut-être plus rare qu’aujourd’hui, mais la vie est là, en abondance, simple et tranquille. Et si le progrès, le vrai, consistait à retrouver la douceur de vivre mieux avec moins ?
Finn et Clara habitent un village de pêcheurs, sur une île en mer d’Irlande. Leur père leur a fait une belle surprise : il a construit pour eux un curragh, une petite barque traditionnelle. Ils peuvent y naviguer, à condition de se tenir à distance de l’Île aux Brumes, un endroit maudit dont personne n’est jamais revenu… Ce n’est pas qu’ils veulent désobéir… mais, un jour d’épais brouillard, Finn et Clara sont entraînés à la dérive et échouent sur l’Île aux Brumes. Que faire ? L’explorer, bien sûr !
Rejeté par sa mère, Mistral le poulain est devenu le frère de lait d'Engane, le taurillon. Pierrot les a nourris patiemment au biberon, dans la grange. Depuis, ils sont inséparables. À présent, ils ont grandi. La tempête d'équinoxe d'automne fait rage sur les paysages splendides de la Camargue. Excités, affolés par le tonnerre, les deux amis s'enfuient, de l'étang de Vacarès au phare de la Gachole... Pierrot est chargé par son père de les retrouver.
Pierrot, le fils du manadier, a grandi, et ses amis Mistral, le poulain qu'il a nourri au biberon, et Engane, le taureau qu'il a sauvé de la noyade, ont grandi eux aussi. Pierrot s'est mis en tête de dresser Mistral, devenu un beau cheval fougueux, pour la prochaine course camarguaise du village dont Engane sera la vedette. Il s'agit d'être patient, persévérant, de ne pas brûler les étapes. Heureusement que Fannette, sa cousine, prodigue de précieux conseils à Pierrot.
Les flamants roses ne vivent pas seulement en Afrique. Il y en a en France, sur les étangs salins de Camargue. En allant passer quelques jours chez sa cousine Fannette, Pierrot, l’ami de Mistral le cheval et d’Engane le taureau, découvre un paysage de toute beauté : des îlots roses de flamants ! C’est le printemps, et de nombreux petits bébés sont nés. Pour l’instant, ils sont encore tout gris ! Ce qui ne les empêche pas d’être très appétissants pour les renards… Heureusement, Pierrot veille. Avec Fannette, il va réussir à sortir un poussin des griffes du prédateur.