Thème « vie rurale »
César le coq du village habite tout en haut du clocher, à cause de son travail qui consiste à indiquer d'ou vient le vent. Un jour, se sentant un peu seul, il décide de voir le monde. Mais il semble que les villageois dès qu'ils le voient n'aient qu'une idée en tête : le faire cuire !
Ici, dans les hautes montagnes des Andes, pas un arbre ne pousse. Il n’y a ni gaz ni électricité. Chaque jour, on allume un feu avec des crottes d’alpaga séchées, et on fait cuire dessus toutes sortes de pommes de terre. Une fois, dans une fête en ville, Lucho a goûté une friandise succulente : de la crème glacée ! Et comme, aujourd’hui, il a aidé ses parents à sauver Pocoyo, un bébé alpaga coincé dans une crevasse, Lucho a bien mérité de manger de la glace !
Au chenil où Pouët est né, les autres chiens, costauds et optimistes, ont vite trouvé preneurs. Mais lui a dû attendre longtemps qu’un maître vienne le chercher. C’est le fermier Martin. Pouët, éperdu de reconnaissance, cherche comment lui plaire, comment le servir. Comme le fermier n’exige rien, Pouët essaie tout. Courir après les vaches ? Ramener les poules entre ses dents ? Embêter le Vieux Cheval ? Et si ce qu’attendait le fermier Martin était bien plus simple et moins fatigant ?
C’est une histoire drôle, une sorte de pendant à leur précédent album, Le métier de chat, qu’ont voulu réaliser Daniel Hénon et Fabienne Mounier, mais aussi un hommage aux paysages, à la terre et aux hommes qui la cultivent dans leur région, la Nièvre. Ces types rudes, secs, taiseux, filmés par Raymond Depardon, ignorés par le reste du monde, qui continuent de nourrir l’humanité, sans commentaires inutiles. Et si le métier de chien, comme le métier de paysan, c’était tout simplement d’être soi-même ?
Le maître d'école a cassé sa tirelire pour aider ses élèves à acheter un cheval. C'est lui qui a eu cette idée. C'est un maître d'école très gentil et spécialement têtu, et heureusement qu'il y a un maître d'école gentil et têtu dans cette histoire. Le cheval s'appelle Bir-Hakeim. Il est sorti de son box et il a souri aux enfants. Les enfants étaient ravis. Ils ne pouvaient pas savoir qu'un cheval qui sourit est un cheval gravement malade. Le maître a appelé le vétérinaire, et heureusement qu'il y a un vétérinaire dans cette histoire.
« Ce n'est pas que Louis fût d'humeur toujours aussi massacrante. Il aimait tous les animaux en général et en particulier tous les animaux petits ou grands, seulement il avait en horreur tout ce qui était piquant et on peut le comprendre. Il était obligé de se piquer lui-même avant chaque repas, de se donner une injection d'insuline avant sa maladie, sinon le sucre circulait dans son sang en trop grande abondance, mettant en danger sa santé. »
Aujourd'hui, en plein coeur de l'été, Louis va rendre visite aux deux poneys qui paissent dans le pré puis il passera voir Tonnerre, le vieux cheval à moitié aveugle...
Gamoussa ? Cela signifie bufflonne en égyptien. Un animal indispensable pour aider les paysans à cultiver la terre fertile des bords du Nil. Mais celle que le père d’Aziz a achetée au marché n’est pas comme les autres. Elle refuse de marcher dans la boue, de travailler. Un jour, même, elle s’évade pour courir vers les Pyramides. Heureusement, Aziz la rattrape et assiste à une scène extraordinaire qui va changer sa vie.
« Quelles sont ces graines ? » demande Léo à Papi.
« C'est du blé », répond Papi, « tu en manges tous les jours. »
« Mais non, je n'ai jamais mangé de ça, moi ! » s'écrie Léo.
Une histoire pleine d'humour et de tendresse pour raconter ce merveilleux mystère : comment un grain de blé devient pain.