Thème « vacances »
Lou sait très bien de quoi on a besoin en vacances. Il fait sa valise et c’est parti ! À chaque page de l’album, une animation différente : toucher, tourner, tirer, faire glisser…
Un livret de jeux accompagne l’album dans un petit sac, pour jouer avec Mouf pendant les vacances. Pour dessiner, colorier des pochoirs, coller et décoller des étiquettes repositionnables,
observer, raconter, inventer…
La gourde, la tente, le matelas à gonfler, la pétanque et le barbecue. Lou et Mouf aiment-ils faire du camping ? Les petites aventures de Lou et son doudou, à se raconter au jour le jour. Des imagiers sans texte mettant en scène les deux héros des tout-petits et leurs premières expériences de vie pour échanger joyeusement et librement dans toutes les langues !
Des images pour se parler.
Quand on regarde ensemble un livre illustré, on peut fixer le regard sur la même image. L'enfant aime pointer du doigt ce qui l'intéresse. De joyeux échanges langagiers s'installenet avec l'adulte.
Et l'enfant s'approprie la langue.
Ces moments de lecture partagée favorisent le développement de son langage et de sa pensée.
« En vacances, il y a du temps pour rêver. Des baobabs à escalader. Des villes entières à fabriquer. Des territoires à explorer... »
Papa, Maman et moi, on est allés prendre Bob et Dom, les parents de Papa, en voiture. On ne leur a pas dit où on allait, Papa voulait leur faire la surprise. Après des millions de kilomètres, on est arrivés sur une plage toute longue. Mais Bob et Dom n’ont pas reconnu la plage de leurs vacances. Au retour, la voiture était pleine de trésors.
Demain, nous irons à la mer ! dit Grand Chien. Et pourquoi pas à la montagne ? demande Petit Chat. Parce qu’il n’y a pas la mer ! répond Grand Chien le plus simplement du monde. Blotti dans son petit lit, Petit Chat se dit qu’il construira sur la plage une gigantesque montagne de sable. Ainsi, ce sera la montagne à la mer !
Il est suisse. Il s'appelle Léonardo. Il a un chien qui s'appelle Bichette, un camping-car qui s'appelle Bichette et il avait une femme qui s'appelait Bichette. Il est très déprimé, très déprimant, et surtout, il est poursuivi par une malchance phénoménale. Les accidents les plus invraisemblables fondent sur lui comme une nuée de mouettes sur un reste d'anchois. Grâce à lui, Martin et ses parents vont passer des vacances inoubliables.
Tout commence un beau jour d'été, sur le bateau qui relie Marseille à Calvi.
Mémé et pépé ont tout organisé, ma valise est prête. Il est cinq heures trente du matin quand le camping-car du Capitaine des Morts arrive chez moi. Ils bondissent tous hors du véhicule : Petit Vampire, tartiné de crème solaire avec son bob jaune sur la tête et son ciré, le chien Fantomate qui pète chaque fois qu’il fait un pas, Marguerite, Claude et Ophtalmo, les trois monstres. Direction un château en Bretagne. La route est longue avec un tel équipage ! Et dire qu’il faut rendre une rédaction à ce sujet à la rentrée ! Je vais devoir me tenir debout devant toute la classe et raconter mes vacances… Mais je ne révélerai rien de ce que nous avons vécu. Je leur raconterai un séjour sans meurtres, sans fantômes et sans rien de magique.
C'est un dimanche de juillet. Le bus s'arrête juste devant la maison de ma grand-mère, aux murs en chaux blanche et aux volets en bois. Ma grand-mère prépare les meilleurs beignets du monde. Mais avec les plantes, elle ne s'en sort pas. La menthe ne fleurit toujours pas. Alors, je suis passée à la jardinerie. Pendant qu'elle fait la sieste, je repique des petits plants à la main.







