Thème « vacances »
Lou sait très bien de quoi on a besoin en vacances. Il fait sa valise et c’est parti ! À chaque page de l’album, une animation différente : toucher, tourner, tirer, faire glisser…
Un livret de jeux accompagne l’album dans un petit sac, pour jouer avec Mouf pendant les vacances. Pour dessiner, colorier des pochoirs, coller et décoller des étiquettes repositionnables,
observer, raconter, inventer…
Un souriceau passe une partie de ses vacances chez ses grand-parents. Chaque jour, son papa et sa maman lui envoient une lettre. Mais un jour, pas de lettre. Et si on pensait à autre fort en passant du temps tous ensemble ?
Papa a acheté une belle caravane pour partir à la mer. Le voyage est plein d’embûches mais, heureusement, ils rencontrent des amis qui les aident, et qui se joignent à eux car Papa avait tout prévu : la caravane peut accueillir beaucoup de monde !
Pop propose à ses amis d'aller à la plage en montgolfière. Vue d'en haut, la plage est si belle ! Vite, à l'eau !… Mais la mer est trop agitée, et ce n'est pas agréable du tout. La troupe remonte dans la montgolfière et, cette fois, ils atterrissent au bord d'un lac, mais l'eau est glacée ! De retour dans la montgolfière, c'est la catastrophe : ils sont pris dans un orage. Vont-ils s'en sortir et enfin pouvoir se baigner agréablement ?
La gourde, la tente, le matelas à gonfler, la pétanque et le barbecue. Lou et Mouf aiment-ils faire du camping ? Les petites aventures de Lou et son doudou, à se raconter au jour le jour. Des imagiers sans texte mettant en scène les deux héros des tout-petits et leurs premières expériences de vie pour échanger joyeusement et librement dans toutes les langues !
Des images pour se parler.
Quand on regarde ensemble un livre illustré, on peut fixer le regard sur la même image. L'enfant aime pointer du doigt ce qui l'intéresse. De joyeux échanges langagiers s'installenet avec l'adulte.
Et l'enfant s'approprie la langue.
Ces moments de lecture partagée favorisent le développement de son langage et de sa pensée.
La famille escargot change de coquille quand vient l’été pour partir en vacances. Tout le monde profite des beaux jours au bord de la mer. Certains ont beaucoup d’activités, d’autres ne font rien parce que c’est les vacances. Chacun fait ce qui lui plaît !
Il est suisse. Il s'appelle Léonardo. Il a un chien qui s'appelle Bichette, un camping-car qui s'appelle Bichette et il avait une femme qui s'appelait Bichette. Il est très déprimé, très déprimant, et surtout, il est poursuivi par une malchance phénoménale. Les accidents les plus invraisemblables fondent sur lui comme une nuée de mouettes sur un reste d'anchois. Grâce à lui, Martin et ses parents vont passer des vacances inoubliables.
Tout commence un beau jour d'été, sur le bateau qui relie Marseille à Calvi.
Mémé et pépé ont tout organisé, ma valise est prête. Il est cinq heures trente du matin quand le camping-car du Capitaine des Morts arrive chez moi. Ils bondissent tous hors du véhicule : Petit Vampire, tartiné de crème solaire avec son bob jaune sur la tête et son ciré, le chien Fantomate qui pète chaque fois qu’il fait un pas, Marguerite, Claude et Ophtalmo, les trois monstres. Direction un château en Bretagne. La route est longue avec un tel équipage ! Et dire qu’il faut rendre une rédaction à ce sujet à la rentrée ! Je vais devoir me tenir debout devant toute la classe et raconter mes vacances… Mais je ne révélerai rien de ce que nous avons vécu. Je leur raconterai un séjour sans meurtres, sans fantômes et sans rien de magique.
Scarlatine et parents absents : Maurice se retrouve en partance pour Trouville-Deauville, chez sa grand-tante Willa. Pour qu’elle veille sur lui.
Elle a une réputation, dans la famille : 60 % mauvais poil, 40 % sale caractère.
Maurice s’attend à une semaine de cauchemar, il découvre un décor de film, et les dialogues qui vont avec.
Tante Willa n’est pas le monstre redouté, mais une tante désopilante, pince-sans-rire, et championne de poker en plus ! Quant à l’endroit qu’elle habite, il est extraordinaire.
C’est un ancien hôtel de luxe, le Trouville Palace, qui ressemble à celui de Shining, avec ses couloirs interminables et ses lustres prêts à s’écrouler. Maurice l’explore en se disant que les portes numérotées doivent cacher des secrets et des habitants bizarres. Et voilà justement qu’une jeune fille, coiffée et vêtue à l’ancienne mode, empêchée de sortir par son père, demande à Maurice de l’aider...