Thème « travail et métier »
Pépito, l'ours, appartient à la grande famille du cirque. Depuis que son ami le clown lui a donné une guitare, Pépito s'exerce tous les jours. Mais Nestor, son papa, lui dit toujours que musicien ça n'est pas un métier d'ours : « Tu seras funambule, comme moi ! ».
La petite fille aux allumettes revisitée par Tomi Ungerer : un chef d'œuvre.
Le plus téméraire des cambrioleurs et le plus célèbre des détectives enfin réunis dans un coffret ! Deux grands classiques revisités dans des versions richement illustrées à l'encre et à l'aquarelle par Vincent Mallié.
« As-tu vu comme il est laid ? On dirait un vieux balai ! Longue et sale est sa tignasse ! C'est bien lui : Crasse-Tignasse ! Jamais, jamais il ne veut qu'on lui coupe les cheveux !... »
En 1845, en Allemagne, paraît « Der Struwwelpeter » ou « Pierre l'ébouriffé » qui deviendra un classique du livre d'images, traduit un peu partout dans le monde. Son auteur, le Docteur Heinrich Hoffmann, déçu par les livres qu'il trouve dans les librairies, écrit ces histoires en rimes pour son enfant de trois ans, des histoires cocasses et cruelles.
De l'atelier où il a été fabriqué, à sa première propriétaire, en passant par un drôle de petit monsieur à lunettes et à manteau vert, voici l'histoire d'un petit tabouret qui a failli entrer dans l'Histoire...
En Chine, pour un enfant, aller au marché est toujours une grande fête. On y rencontre une foule de gens, on y voit toutes sortes de choses, on s'y amuse et surtout on s'y régale. Bïn Bïn court de stand en stand : le vendeur de délicieuses nouilles, la troupe des chanteurs d'opéras, le monsieur qui fabrique des figurines en sucre soufflé et aussi... mais Bïn Bïn ne retrouve plus ses parents dans tout ce monde. Que faire tout seul au milieu du grand marché ?
Au Congo (ex-Zaïre), les eaux du Kasaï sont la seule école que fréquentent régulièrement Kumi et ses jeunes amis. Les cours qu'ils y reçoivent sont passionnants mais parfois dangereux : qu'il pêche du bord à la marmite ou au milieu de la rivière en pirogue, le mauvais élève risque ici beaucoup plus que cent lignes à copier. Quand rôde le terrible « ngando », la moindre inattention, la moindre faute peuvent vous coûter la vie.
Dominique Mwankumi [...] raconte avec vigueur et chaleur, un épisode de la vie en Afrique. Une démarche qui s'inscrit bien dans la ligne de la collection : des dessins réalistes et de vrais textes, pour non pas instruire les enfants mais leur donner à voir, et ainsi les faire réfléchir. (Lucie Cauwe, Le Soir, 4 mars 1998).
La femme écrivain se mit à sa table et commença son nouveau livre. C'était l'histoire d'une petite fille très malheureuse. « C'est drôle », pensa la femme écrivain en dessinant la petite fille, « j'ai l'impression qu'elle s'est retournée et m'a regardée... »
Tandis que la péniche est immobilisée par les glaces, Abel invente des histoires avec ses marionnettes. Le temps passe...
Un jour, Abel rencontre Alys, une jolie terrienne. Et pour elle, il invente l'histoire d'un jeune marin amoureux de la princesse de Neige. Amour contrarié car la vie d'un marin est sur mer. L'histoire finie, la péniche peut repartir. Abel et Alys doivent se quitter.
En annexe de cet album, un petit dossier vous en dit plus long sur les péniches et la vie des mariniers.
Au milieu de son jardin, le luthier avait un arbre sur les branches duquel venaient se poser des kyrielles d'oiseaux. Un hiver, l'arbre mourut... Du bois de cet arbre, le luthier fabriqua le plus parfait des violoncelles. Y aura-t-il un musicien capable de le faire chanter ?
L'histoire débute à Londres en 1878. Le pauvre Dr Watson revient des Indes complètement désargenté. Alors qu'il est au bord du désespoir, il fait la connaissance d'un certain Sherlock Holmes, un type fantasque lui aussi à la recherche d'un colocataire. Les deux hommes viennent de s'installer au 221 Baker Street quand l'un des meilleurs limiers de Scotland Yard fait appel aux talents du détective Sherlock Holmes pour l'aider à résoudre une sombre affaire de meurtre. Ensemble, le Dr Watson et Sherlock Holmes vont mener l'enquête. Grâce à une habile mise en abîme, Sir Arthur Conan Doyle nous transporte d'une ambiance londonienne victorienne au Nevada des années 60 ; une sorte de western avant l'heure ! Quinze illustrations et vingt-cinq croquis réalisés à l'encre et à l'aquarelle par Vincent Mallié viennent donner vie au plus célèbre des détectives.
C'est un livre où l'on apprend que les murs, les toits et les fenêtres d'une maison peuvent s'en aller, par coquetterie ou par désespoir. Que les portes peuvent s'en aller, elles aussi, mais pour des raisons plus subtiles, surtout si elles sont nos amies. C'est également un livre où l'on apprend comment les parents peuvent rétrécir et comment les maisons se construisent. On y découvre qu'il y a toutes sortes de larmes. Qu'elles peuvent être lourdes, énormes, mouillées, légères, bleues, profondes... Et qu'il peut être utile de pleurer tout aussi bien que de s'arrêter. On peut sécher en pleine mer, traverser un tunnel d'animaux tristes, décoller de la joue d'une statue géante et rester serein, parce que avec l'Eugénie des larmes, il y a toujours l'Eugénie du rire.
Vers le milieu du XIXe siècle, les besoins de charbon sont grands, en France et dans le monde. Le charbon est devenu la principale source d'énergie, c'est lui qui permet l'essor de l'industrie et des transports. Des hommes - les mineurs - descendent chaque jour à plusieurs centaines de mètres sous terre pour extraire la précieuse houille. Des hommes, mais aussi de jeunes garçons, qui quittent l'école dès l'âge de dix ans pour effectuer ce travail harassant, nocif et périlleux. Louis et Tounet, enfants de la mine et héros de ce récit, sont, hélas, quotidiennement en danger de mort. Une histoire documentaire et un dossier pour en savoir plus sur les mines de charbon et le travail des enfants illustré de photographies d'époque.