Thème « travail et métier »
Cher journal, Demain, c'est les vacances ! Après beaucoup d'hésitations, avec les copains, on a décidé d'aller à la découverte de la jungle. On va faire de l'exploration, observer les tigres et les grands singes, je suis sûr que ça va être super !
Après « Pirateries », Nico repart en colo et il n'est pas au bout de ses surprises...
Quand un gentil p’tit lapin tombe sur une alléchante carotte, qui se frotte les mains ? Le grand méchant loup qui était caché dans le coin. P’tit lapin finira-t-il en pâté ou en civet ? Non, son avenir est encore pire ! Mais attention, le loup, méfie-toi... Un gentil p’tit lapin peut devenir extrêmement malin, au besoin !
Amos travaille au zoo.
Malgré des journées bien remplies, il trouve toujours le temps de passer voir ses vieux amis.
Mais, ce matin, atchoum ! Amos se réveille enrhumé, et il doit rester au lit.
Que vont faire ses amis sans lui ?
Ah, Varsovie… ou de l’importance d’avoir un rêve dans la vie…
Dans ce conte yiddish un tantinet philosophique, un petit tailleur qui n’a jamais quitté son village réalise son grand rêve (“Ah, Varsovie !”) – du moins, c’est ce qu’il croit…
Mais qui dit qu’une fois le rêve d’une vie réalisé, on ne peut pas continuer à rêver ?
Émile le boucher avait tout pour être heureux, un métier qu’il aimait, une jolie clientèle, mais il lui manquait l’essentiel... Attention, Émile ! un ami peut RADICALEMENT changer la vie !
Un as de la mécanique, deux frères bêtes et méchants, un concours de chant, un soulier qui glisse, une course-poursuite… C’est la version très rock and roll que Geoffroy de Pennart nous offre de Cendrillon, à découvrir sur les chapeaux de roues.
« Mon illustre réputation me conduit aujourd'hui en Afrique. Ma mission est de capturer un gorille et de le ramener vivant. »
Ainsi démarre ce journal d’un explorateur légèrement prétentieux et insupportable. Mais ô combien drôle dans le ridicule…
Il arrive qu’un auteur se trouve en panne d’idées. Ou en panne d’histoires. Ou en panne de personnages.
Alors, quand il se nomme Michaël Escoffier, il placarde quelques affiches à l’orée du bois et le tour est joué. Du moins, c’est ce qu’il espère…
Falgu le fermier se rend au marché pour vendre les produits de sa ferme, mais rien ne se passe comme prévu…
J'ai crié son nom... Je me suis installé sur un banc... J'étais impressionné... J'étais vraiment vraiment heureuse... Ce pourrait n'être que le récit à quatre voix d'une promenade au parc, mais la plume et le trait d'Anthony Browne ont transformé cette histoire simple en un fascinant exercice de style.
Un cochon part en voyage, l’illustratrice travaille derrière sa table.
Je dessine un long train, un train avec beaucoup de voyageurs.
Est-ce déjà une histoire ? Tourne la page, tu en sauras davantage.
Amos le gardien de zoo n’a pas fermé l’œil de la nuit, trop occupé à organiser une sortie surprise pour ses protégés. Le lendemain matin, il est si fatigué qu’il rate son bus et arrive en retard au travail. Quelle déception de devoir renoncer à ses projets ! Mais c’est compter sans le soutien indéfectible de ses précieux amis.
"Il doit exister une meilleure école que l'école ", pensaient Frédéric et Albert. Il doit y avoir d'autres personnes à qui parler anglais que professeur d'anglais. Il y a un autre univers à explorer que la salle de classe et ses quatre murs. Alors hop! Faisons une fugue pour apprendre l'anglais, ce qui sert d'alibi pour tenter l'aventure. Gill Rosner est anglaise. Susie Morgenstern est américaine. Elles ont eu tant de plaisir à travailler ensemble en mangeant du chocolat pour innover et inventer des cours d'anglais à la Faculté des Sciences de Nice qu'elles ont continué à être complices pour écrire ce roman anglo-américain en français... et en anglais! Vous retrouverez Frédéric et Albert Papillon dans "New York Alibi" et "Europe Alibi"
Pour Léo, les mauvaises nouvelles s’accumulent : papa a perdu son travail, maman a l’air « déboussolée » et, pire que tout, ils divorcent ! Quant à son meilleur ami… il est tout simplement devenu fou ! Heureusement, Léo hérite d’une boussole pas comme les autres qui a appartenu à son grand-père espagnol. Quand, dans les moments de doute, Léo l’interroge, c’est magique ! L’objet semble lui indiquer les bonnes réponses et la direction à suivre. Voilà de quoi remettre un peu d’ordre dans sa vie !
Lili ne peut pas aller en colo avec ses frères. Elle passera ses vacances à Saint Denis chez tata Denise, l'oncle Jo, et ses sept cousins. C'est une grande famille qui fait beaucoup de bruit. Mais l'oncle Jo est silencieux et il passe ses journées à regarder par la fenêtre un terrain vague. « Ma pauvre Denise », disent les voisines. « Dieu nous protège », répond tata Denise. Un jour, l'oncle Jo disparaît. Lili attend son retour et voit sur le terrain vague une porte qui avance toute seule.
Ils sont cireurs de chaussures, vendeurs de journaux, laveurs de voitures, nettoyeurs de tombes, chiffonniers... Des enfants laissés pour compte dans un pays où les plus pauvres ne peuvent que survivre. Survivre, Saturnino tente de le faire. Dans la rue, il lutte depuis la disparition de ses parents, pour gagner quelques pièces, pour protéger Luzia sa petite soeur, pour se souvenir des mots et des chansons que fredonnait leur mère. Un jour, Saturnino rencontre un vieil homme hors du commun qui se dit chef d'orchestre. Il invite les gamins des rues à venir chez lui. La musique a-t-elle le pouvoir d'effacer la peur et la solitude ?
« Maestro » est né d'un article de journal : « Il était question d'un chef d'orchestre bolivien qui avait réussi l'exploit de monter un orchestre avec des gamins des rues. Lors des émeutes de février 2003 à La Paz, les bâtiments de l'école de musique avaient pris feu et les enfants avaient sauvé les instruments et accueilli leur professeur en jouant... »















