Thème « travail et métier »
Olga travaille dans un kiosque à journaux. Ce kiosque, c’est toute sa vie. Elle connaît les désirs de ses clients par coeur. Elle y dort, elle y mange et, le soir, elle lit des magazines de voyage en rêvant de couchers de soleil fabuleux. Mais en vérité, elle est coincée. Jusqu’au matin où elle découvre qu’elle peut déplacer son kiosque et même voguer avec lui !
Le métier de ma mère consiste à faire traverser les écoliers au passage clouté. Les enfants l'adorent parce qu'elle est toujours gentille avec eux et parce qu'elle met des vêtements extravagants. Ce serait bien si elle avait un métier qui rapporte un peu plus d'argent, mais surtout si elle travaillait ailleurs que devant MON école !
Benjamine Bijoux est une petite fille comme les autres. Pourtant lorsque, pour consoler son petit frère, elle crache sur un grillon complètement mort, il se passe une chose incroyable. Comme par miracle, l'insecte revient à la vie. Désormais, le petit frère de Benjamine pense qu'en crachant, sa grande soeur peut guérir toutes les blessures. Et s'il avait raison ? Si la salive de Benjamine avait des pouvoirs magiques ? Si la petite fille était une sorte de fée des temps modernes ?
Pivoine est une princesse, une vraie. Comme en plus elle travaille bien en classe, on l’imagine entrer dans une de ces écoles d’élite pour devenir quelqu’un de très important, qui parle d’« évaluation » et de « croissance ».
Mais les mots qui font rêver Pivoine sont très différents : il s’agit d’« aspirateur » ou de « fer à repasser ». Ce qu’elle adore, c’est ranger la chambre de ses amies, faire son lit ou vider le lave-vaisselle… Une princesse qui fait le ménage ! Inutile de dire que ses royaux parents ne sont pas du tout d’accord…
Le maître d'école a cassé sa tirelire pour aider ses élèves à acheter un cheval. C'est lui qui a eu cette idée. C'est un maître d'école très gentil et spécialement têtu, et heureusement qu'il y a un maître d'école gentil et têtu dans cette histoire. Le cheval s'appelle Bir-Hakeim. Il est sorti de son box et il a souri aux enfants. Les enfants étaient ravis. Ils ne pouvaient pas savoir qu'un cheval qui sourit est un cheval gravement malade. Le maître a appelé le vétérinaire, et heureusement qu'il y a un vétérinaire dans cette histoire.
Nous sommes cinq dans la salle d'attente du docteur des jouets. Il y a l'oiseau mécanique, l'oiseau à roulettes, l'ours, la grenouille et moi. Nous avons tous un petit quelque chose qui cloche.
Ce livre, conçu à partir d'un poème d'Ernst Jandl, a reçu le Prix BolognaRagazzi 1998 et a été sélectionné pour le Prix Allemand de la littérature de jeunesse.
Si Monsieur et Madame Bolkodaz étaient vieux et s’ils écrivaient un livre sur leur vie, ils pourraient raconter le jour où Madame Bolkodaz cuisina trois perdrix et commença à grignoter dans le plat. Ou encore leur partie de pêche quand une terrible tempête s’abattit sur la mer. Ou bien la panne de leur voiture sur une route de campagne… Autant d’histoires à lire, à chanter ou à cuisiner !
Fabienne Mounier et Daniel Hénon ont fondé ensemble la compagnie Faction Mauricette aux Oeillets, qui leur a permis, notamment, de créer le spectacle adapté de leur Histoire du petit tabouret, premier album publié à l’école des loisirs. Pour Le grand livre des Bolkodaz, ils mettent enscène les mêmes personnages que dans La forêt des grands et Bon chien.
John Chatterton, le grand détective, est de nouveau sur la brèche. On l'a chargé de surveiller une jeune fille qui risque, paraît-il, de se piquer le doigt au fuseau d'un rouet et de plonger dans « Le Grand Sommeil ». Chatterton n'est pas très inquiet, toutefois, ces éléments lui rappellent une affaire célèbre...
Martin était le facteur de la forêt. Tous les matins, très tôt, il recevait un colis de toutes les lettres à distribuer. Tout le monde aimait Martin le lapin facteur: Madame Ourse, Dina la souris et aussi Émile l'écureuil. Jusqu'au jour où il arriva quelque chose de terrible...
Salvatore est cordonnier. Il vit dans la ville la plus mystérieuse du monde : Venise.
Un beau soir, noir comme tous les soirs depuis que la lune a disparu, Salvatore finit de recoudre les bottes d’un pirate anglais, lorsqu’une gondole chargée d’une énorme chaussure accoste juste devant l’atelier du petit cordonnier…
Noël ! Etienne était très impatient de découvrir son cadeau. Une console, des baskets ? Non, une petite boîte de peinture. Très déçu, il l’a vite rangée sous son lit. Un jour où il s’ennuie, il la ressort. Il dessine ce qui lui passe par la tête : la mer, un bateau, des pirates… Et voilà qu’un grand vent souffle dans sa chambre. Il ferme les yeux un instant. Quand il les ouvre à nouveau, il est là, au milieu des pirates ! Est-ce qu’il est devenu fou ?
Juan habite avec sa grand-mère à San Pablo, dans les montagnes du Guatemala. Il a sept ans, il est cireur de chaussures. Il est fier de gagner sa vie, mais il a le coeur gros chaque fois qu'il voit passer des enfants avec des cartables...
Chez les Dumordu, on est fermier de père en fils. C’est ce qu’Archibald Dumordu a déclaré à son fils Douglas, juste avant de mourir. Malheureusement, il n’a rien eu le temps de lui dire d’autre. Douglas veut bien devenir fermier, mais il ne sait pas traire les vaches, il croit que les carottes poussent dans les arbres, et ne peut conduire le tracteur qu’en marche arrière. Les fermiers des alentours se moquent tous de lui. Le père Tropenjus, c’est certain, ne voudra jamais qu’il épouse sa fille, la charmante Miranda.
Heureusement, il y a une chose que Douglas sait faire, c’est parler aux animaux. C’est une chance, car dans son poulailler, il y a un poulet qui s’appelle Ernest, un poulet merveilleux, qui peut transformer sa vie.
Dans le monde de Chien pourri, vous avez sûrement croisé le caniche à frange toujours snob et odieux envers les moins bien lotis. Mais le jour où Pépète une chienne très mignonne croise son chemin sans s'intéresser à lui, il décide de tout faire pour lui plaire, même changer de coiffure ou plus encore !
« Monsieur Chatterton, ma belle-fille a disparu. Ses cheveux sont noirs comme l'ébène, ses lèvres rouges comme le sang, sa peau blanche comme le lilas. Retrouvez-là ! »
Les enquêtes du grand John Chatterton ne sont jamais sans rappeler quelque célèbre affaire criminelle !
Le 12 septembre 1920, le premier appareil d’exploration capable de descendre à 2000 mètres de profondeur, plonge dans la mer des Bermudes. À son bord, les époux Bullitt, savants réputés, espèrent prouver l’existence de la vie animale dans les abysses. Leurs enfants, Théo et Lilly, font partie de l’expédition. Lilly Bullitt ne quitte pas le hublot. Que voit-elle donc que les autres ne voient pas ?















