Thème « transmission du savoir »
Eh oui, même les fées vont à l‘école. Bon, il n’y a pas école tous les jours pour les fées, et leur maîtresse, Sorbonette, leur apprend principalement la magie. Et ce n’est pas facile la magie, surtout quand la baguette magique n’obéit pas !
Un fantôme qui préfère les fleurs, les gazouillis des oiseaux et les câlins aux arbres plutôt que les oubliettes et les grimoires effrayants… est-ce que ça existe ? Oui ! Son nom est Wolfgang et il vient d'être désigné par le célèbre Hubert le Puissant pour être son successeur dans le Château Lugubre. Le doux et bucolique Wolfgang va-t-il pouvoir changer de vie?
Quand les petits escargots ont la folie des grandeurs, heureusement qu’il se trouve quelquefois des papas escargots pour remettre les pendules à l’heure. Une maison époustouflante, gigantesque, plus belle qu’un palais, plus grandiose qu’une cathédrale ? Pourquoi pas… mais réfléchis, petit escargot. Avec une maison pareille sur le dos, pourras-tu encore bouger, manger, aller de chou frisé en chou pommelé ? Et pour mieux convaincre son petit, papa raconte une histoire exemplaire…
Pourquoi les tigres ne savent-ils pas grimper aux arbres ? Pourquoi les tigres et les chats ne s’aiment-ils pas ? Pourquoi les chats préfèrent-ils vivre parmi les hommes plutôt qu’au fin fond des forêts ? Tout cela, et bien d’autres choses encore, vous l’apprendrez dans ce conte traditionnel venu de Chine.
Il était une fois, dans la montagne, un grand tigre bêta et maladroit qui ne savait pas chasser et un petit chat agile, habile, qui capturait beaucoup de gibier. Un beau jour, le tigre alla trouver le chat…
C'est à Moussa que Grand-père a confié ses herbes et son pipeau magiques. Ce sont des armes puissantes et Moussa saura s'en servir, s'il le faut. Si, par exemple, l'affreux Gloupic Dévortou vient à menacer sa famille...
Le jour où Péric apprit à lire, cela lui plut tellement qu'il eut envie de faire partager son savoir à ses amies les chèvres. Pac, la plus vieille chèvre du troupeau, se montra très intéressée...
Les kakis, c'est si bon que, dès l'automne venu au Japon, les corbeaux et les enfants rivalisent pour déguster les plus mûrs. Mais un corbeau, ça vole, sacré avantage ! Heureusement, les grands-parents de Ken-tchan sont là, avec leurs trucs et astuces, pour permettre au petit garçon de se régaler avec ses amis. Car ils savent bien que les kakis, c'est très bon aussi pour passer l'hiver en bonne santé.
Le poème de Goethe n’a cessé d’inspirer d’autres artistes : Paul Dukas pour une musique, Walt Disney pour un dessin animé, Tomi Ungerer et aujourd’hui Gerda Muller pour un livre illustré. Un jeune garçon est recruté par un maître sorcier décidé à lui transmettre son savoir, à condition qu’il soit patient et discret. Et l’enfant immature désobéit… À cette histoire universelle, Gerda offre sa minutie et son humanisme.
Comment s’y connaître en légumes quand on est un enfant des villes ? En allant en vacances chez ses grands-parents à la campagne, comme Sophie, l’héroïne de l’histoire, qui apprend à manier les outils, à semer, récolter ou biner. On découvre comment les petits pois arrivent à maturité, et que les légumes se groupent par familles.
Ce beau livre aux dessins à la fois clairs et poétiques, comme la simple splendeur d’un plant de fenouil au clair de lune, n’est pas un manuel, mais parle de la vie dans un potager tout au long d’une année. Il montre aussi que l’on peut cultiver des légumes sur les balcons et devant les fenêtres des grandes villes.
C’est en pensant aux enfants des villes qu’elle a fait ce livre, pour leur faire oublier les légumes formatés des supermarchés, et découvrir la patiente progression des plantules dans un vrai potager. Pour pouvoir montrer des détails précis, Gerda a changé de technique, et même un peu de style : formes cernées d’un trait fin, à la manière des estampes. Ce renouvellement l’a comblée, car il ressemble à celui de cette chère nature, toujours en mouvement, qu’elle aime tant.
Guillaume était l'apprenti d'un puissant sorcier. Il travaillait au château en échange de leçons de magie. Autant il aimait les leçons, autant il détestait les corvées...
La semaine où Marc a eu une grosse fièvre, Oncle Edouard lui a envoyé une petite boîte. Quand Marc l'a ouverte, un nuage d'éphémères s'en est échappé et s'est envolé par la fenêtre. Marc s'est alors aperçu que le quartier tout entier avait disparu. À la place de la rue coulait une rivière.
Sur le fleuve l’Ongoh vivent d’un côté les Oolong (qui élèvent un bébé fille en garçon), et de l’autre les Dong-Ding (qui élèvent un bébé garçon en fille). Leur vie se déroule tranquillement, comme le cours du fleuve, jusqu’au jour où un monstre terrificateur apparaît, menaçant de dévorer tous les parents s’il n’obtient pas la potion qui le rendra éternel...
Georges Lebanc, le héros du livre Georges Lebanc, est en panne. Il ne bouge plus. Et les choses ne vont pas mieux chez les souris archivistes du square où vit Georges.
Les précieux textes qui relatent la vie passionnante de Georges et de son square disparaissent. Les lettres des mots des phrases des paragraphes des textes sont remplacées par des pattes de mouches… Mais, quand on les accuse, les mouches se fâchent : « Allez plutôt demander aux bourdons ! » pestent-elles.
Alors, quel est ce mystère ? Que se passe-t-il ? Et à qui demander conseil ?
Son père le lui avait bien dit : « Il ne faut pas sortir en mer quand le ciel est noir. » Mais comme il n’est plus là pour le lui interdire, le petit garçon part pêcher sous les nuages. Soudain, quelque chose se prend dans son filet. Alors qu’il tire, la tempête se déchaîne. Et voilà que sa prise apparaît. Horreur ! C’est un squelette qui se dresse devant lui. Il a beau fuir, pagayer de toutes ses forces, puis s’évanouir, le petit garçon ne se débarrassera pas du squelette avant d’avoir compris ce que celui-ci est venu lui enseigner…
Il y a huit ans que Chen Jiang Hong a eu l’idée de cet album, intrigué par un dessin traditionnel chinois du VIIe siècle sur lequel un squelette manipule une marionnette d’enfant-squelette devant un petit garçon qui les regarde paisiblement, tandis que, derrière lui, sa mère est terrifiée. Peu à peu, nourri aussi par des contes, il a trouvé son histoire qui illustre de façon profonde cette grande vérité de la philosophie chinoise : la vie et la mort sont comme les deux côtés de la même main. Les enfants, qui sont de grands sages, acceptent bien plus volontiers cette idée que les adultes…
Cette histoire se passe en Chine, il y a très, très longtemps. Un soir d'hiver, Maître Yang, un grand sage, rentre chez lui en serrant dans son manteau un petit garçon à demi mort de froid. Ce garçon est orphelin. Maître Yang prend soin de lui et se charge de son éducation. Une nuit, le garçon découvre que Maître Yang connaît la boxe de l'Aigle et qu'il la pratique à la perfection. Dès lors, chaque nuit, il se cache pour observer Maître Yang, et répète tous les mouvements qu'il voit jusqu'à les savoir par coeur. Quand Maître Yang s'en aperçoit, sa première réaction est la colère. Mais l'enfant est si doué qu'il décide de faire de lui son disciple. C'est le début d'un apprentissage terriblement long et difficile, qui permet d'acquérir des capacités exceptionnelles...