Thème « transmission du savoir »
Eh oui, même les fées vont à l‘école. Bon, il n’y a pas école tous les jours pour les fées, et leur maîtresse, Sorbonette, leur apprend principalement la magie. Et ce n’est pas facile la magie, surtout quand la baguette magique n’obéit pas !
De mémoire de flamant rose, Bibi a toujours fait partie de la colonie. C’est elle qui enseigne aux plus jeunes tout ce qu’ils doivent savoir : tenir debout sur une patte, nettoyer leurs plumes... Mais lorsque le lac qui les nourrit s’assèche, les flamants roses doivent partir. C’est un voyage éprouvant qui commence pour les tout-petits. Heureusement, Bibi veille sur eux…
Le jour où Kumaï l’orang-outang recueille un oisillon blessé, sa vie est chamboulée. Comment une si petite chose peut provoquer en elle une si grande émotion ?
« Ce livre a été écrit pendant les deux premiers mois de ta vie alors que je cherchais un moyen pour tout t'expliquer. Voici les choses que je pense que tu dois savoir… »
Tandis que Nuno et son père redescendent vers la plaine, un rocher déboule du versant montagneux et vient s'écraser sur la tête du roi des animaux qui s'écroule, face contre terre. Alors, Nuno prend la couronne et la pose délicatement sur sa petite tête.
Dès que la lune se lève sur la forêt, Ours chante ! Ours chante doucement pour endormir ses amis Lapin, Poulette et ses poussins, et son ami Merle. C’est Merle qui lui a appris toutes les chansons. Avant, Merle chantait pour toute la forêt, maintenant Merle est vieux. Alors depuis, Ours est sa voix.
Petit Ours adorait son petit bateau. Chaque jour, il faisait le tour du lac en ramant. Mais ce qui devait arriver arriva : Petit Ours se mit à grandir. Il devenait un grand ours et ne rentrait plus dans son petit bateau. Grand Ours était triste : il ne pouvait pas laisser son petit bateau sans un petit ours pour le faire naviguer...
C’est la fin de l’été. Dans le parc, il fait chaud. Soudain, zouim, une fillette glisse sur un chapeau. Qui l’a oublié ? Un grand-père ? Une musicienne ? Un gondolier ? Elle lui invente plusieurs vies, fini l’ennui ! Elle le respire, et là , magie… Mais l’orage éclate ! Que va devenir le chapeau sous la pluie ?
« Comme mon père me l’a appris, je me suis levé tôt et j’ai réveillé la lampe assoupie.
Comme mon père me l’a appris, je me suis habillé et j’ai choisi mes armes avec soin.
Comme mon père me l’a appris, j’ai attelé les chiens au traîneau et je suis parti en direction du vieil inukshuk. »
Au grand désespoir de son grand-père, Zaou passe ses journées à inventer des grimaces et à faire des bêtises. Jusqu'au jour où le jeune singe est réveillé par une main de lumière qui lui tend un bâton de bambou...
Le grand-père de Renardeau n'a plus qu'une dent. Mais autrefois, on le surnommait Dents d'acier ! Il raconte sa longue vie à son petit-fils.
Les enfants connaissent l’histoire de la terrible catastrophe, ils ont grandi dans le silence d’après. Mais ils n’ont pas peur, et dans le petit matin, tout seuls, ils avancent vers le grand lac gelé. Malgré le danger, depuis longtemps ils savent qu’un jour ils visiteront la ville engloutie.
Le papa de Charlotte n’a qu’un gros regret dans sa vie : il aurait aimé être contrebassiste. Alors, quoi de plus naturel pour lui que de vouloir partager - mieux - transmettre son ambition à sa fille ? Mais de la transmission à la projection, il n’y a qu’un pas.
Et si Charlotte avait d’autres envies, elle ?
Nous ne nous sommes jamais rencontrés, toi et moi. Mais ton histoire est liée à la mienne. Car tu as encore le pouvoir de me transmettre… une couronne toute différente.
Quand les petits escargots ont la folie des grandeurs, heureusement qu’il se trouve quelquefois des papas escargots pour remettre les pendules à l’heure. Une maison époustouflante, gigantesque, plus belle qu’un palais, plus grandiose qu’une cathédrale ? Pourquoi pas… mais réfléchis, petit escargot. Avec une maison pareille sur le dos, pourras-tu encore bouger, manger, aller de chou frisé en chou pommelé ? Et pour mieux convaincre son petit, papa raconte une histoire exemplaire…
Ce matin, Apik le jeune Inuit, se réveille avec une question bien précise dans la tête : « Comment faire pour être plus fort avec mon esprit qu’avec mes deux bras ? » En courant sur la banquise et au gré des rencontres, il découvrira que le chemin est plus important que la réponse elle-même.