Thème « statut de la femme »
Plus que tout au monde, la sorcière Tambouille adore cuisiner. Soufflé de crapaud, langue de loup aux choux, rat en gelée... Elle prépare des mets rares, des mets raffinés. Mais elle est persuadée qu'aucun de ses invités, fantômes, squelettes, gnomes, vampires et farfadets, non, personne n'apprécie ce qu'elle fait. Il suffit de prendre quelques décisions radicales, Tambouille ! Tu verras, les gens peuvent changer...
Dans le tome un de sa vie (Mô- Namour), Isée se laissait faire par des ventures qu’elle n’avait pas choisies, comme un accident de voiture. Elle a beaucoup appris, et maintenant, dans le tome deux de sa vie, Isée décide de partir vivre des ventures qu’elle décide elle-même. C’est mieux. La preuve : au lieu de subir, elle délivre. Au lieu de souffrir, elle guérit. Au lieu d’être seule, elle rencontre. Sa venture est variée. Une seule constante : Tadoramour, son doudou dodu, qui reste avec elle, à ses côtés, et ne la quitte pas, quoi qu’il arrive.
Amalia rêve de prendre la mer, mais comment faire lorsque l'on possède, pour seule embarcation, un bateau de papier ? Au café du port, les habitants se moquent de cette jeune fille fantaisiste. Son frêle esquif ? Tout juste bon à faire des confettis ! Ignorant les railleries, un matin, Amalia embarque, portée par son courage et sa témérité.
Que fait-il, ce petit pion, au milieu de l'échiquier ? On vient de lui ordonner d'avancer et il ne bouge pas. Il rêve ou quoi ? Eh bien oui, il rêve. Il rêve à la reine. Il est amoureux d'elle. Normalement, il ne devrait pas, il n'a pas le droit. Mais il s'en fiche, il l'aime quand même. Et si par malheur elle était vaincue, il serait prêt à traverser tout seul les lignes ennemies pour aller la sauver. C'est le roi qui ferait une drôle de tête. Et ne parlons pas des lignes ennemies ! Ce serait bien la première fois de leur vie qu'elles verraient une chose pareille. Mais la reine, elle, que dirait-elle ?
En cette belle nuit, le ciel est sombre comme de l’encre. Des étoiles brillent, qui sont autant de pierres précieuses. Dans une maison des montagnes du pays de l’Est dort une enfant nommée Nisnoura. Tout semble normal, mais les apparences sont trompeuses…
D'un coup de baguette magique, les fées savent faire surgir d'une bouche des cascades de bijoux ou des torrents de crapauds, mais certains de leurs actes sont aussi très injustes. Pourquoi toujours accabler les sœurs laides et méchantes ? Est-ce qu'épouser le prince charmant est vraiment un miracle féerique ? Il existe une catégorie de fées capable de répondre à ces questions, les Sur-Fées. Leur mission consiste à contrôler le travail des autres fées. Elles portent des lunettes noires. Elles sont souvent en colère. Et elles vont tout faire pour changer le monde.
La reine Irène ressemble à une sorcière. Elle est toujours en colère et elle a un coeur de pierre. Toutefois, elle adore son fils, le Prince Arthur, et veut trouver pour lui l'épouse parfaite. De l'autre côté du monde, la Princesse Leïla sanglote sous son voile doré. Son père lui a choisit un époux et elle ne veut pas épouser cet homme qu'elle n'a jamais vu...
La princesse Harmonie est heureuse, elle a réussi son diplôme de Sciences Royales, elle n’a plus honte de ses grands pieds et, surtout, elle va bientôt devenir reine et remplacer son père, le roi Ferdinand Ier. Mais, hélas ! Tout à coup, rien ne va plus. Car la princesse est une fille et une fille ne peut pas gouverner, pensent le Grand Ordonnateur et les conseillers. Harmonie est si choquée qu’elle ne trouve plus ses mots. Pourtant, elle est bien décidée à se battre pour réparer cette injustice.
Les trois vœux de la princesse est la suite de trois autres contes parus dans la collection Mouche : Le fils du roi m'a déçue, La princesse aux grands pieds, La mort du Grand Pupu.
Lectrice insatiable, éternelle amoureuse de la connaissance, Elisabeth Motsch fut une militante active du MLF. Sans doute cette période de sa vie lui a-t-elle inspiré Les trois vœux de la princesse.
Colette, du haut de son donjon, guette le prince charmant. Et quand Bernie surgit, appâté par un sushi, elle se dit que c’est lui. Vite, il faut lui courir après à travers la forêt ! Mais sur le chemin de l’amour, n’y a-t-il pas quelque détour ?
La semaine de Noël, la semaine préférée de Violette, est enfin arrivée. Il neige. La rue est blanche, tout illuminée. Violette regarde par la fenêtre. Les gens font des glissades et lancent des boules de neige. Violette ne pense qu'à Noël, aux guirlandes et au Père Noël. Peu à peu, une question prend toute la place dans sa tête. Une question qu'étrangement Violette semble être la seule à se poser : pourquoi ne parle-t-on jamais de la Mère Noël ?
Mon nom est Sunny Nwazue, et ceci est mon histoire. Je suis nigériane de sang, américaine de naissance et albinos de peau. Il y a tout juste un an, j’ai sauvé le monde de sa destruction. Depuis, je mène une double vie : collégienne le jour, agent libre de la société des Léopards le soir et le week-end. En rentrant vivre au Nigeria, je savais que ma vie allait changer du tout au tout. Je n’aurais pourtant jamais pu imaginer ce que j’ai entraperçu dans la flamme d’une bougie : de violents incendies, des océans en ébullition, des gratte-ciel effondrés, des terres éventrées, des morts et des mourants par milliers. J’ignorais alors que cet événement était lié à mon destin. J’ignorais surtout qu’il me confronterait à un mal plus ancien que le verbe, que l’univers lui-même ou que le commencement absolu…
Mon nom est Sunny Nwazue et le temps m'est compté. Je suis nigériane de sang, américaine de naissance et albinos de peau. Avec mes amis de la société des Léopards et la magie dont je dispose, je peux survivre à la nuit et aux créatures qui la peuplent. Sauf que mes pouvoirs m'obligent. Et quand Udide, la Grande Araignée artiste, me convoque pour récupérer son plus grand poème mystique qui lui a été dérobé, je n'ai pas le choix. Pour elle, il faut que je m'enfonce plus loin encore dans la nuit, aux confins de la terre et même au-delà , sur la Route, où les femmes féroces de la tribu Nimm à laquelle j'appartiens l'ont dissimulé. Il en va de l'équilibre du monde visible et invisible.
De retour à la Maison des enfants de Sèvres, Catherine se lance dans le monde. Poussée par Goéland et Pingouin, elle commence une carrière de photographe-reporter. Mais, au début des années 50, il ne fait pas bon être une femme dans ce milieu exclusivement masculin. Et si la guerre est finie, les combats, eux, ne manquent pas. À commencer par le féminisme, que Catherine découvre avec Simone de Beauvoir. Sa rencontre avec Mavis, chanteuse noire américaine qui a fui les États-Unis pour s’installer en France, la pousse à réaliser un vieux rêve. La voilà embarquée pour trois mois dans cette Amérique de l’après-guerre, où le meilleur côtoie le pire. À sa façon, Catherine lutte. Et peut-être que cette lutte lui permettra de faire la paix avec celle qu’elle était avant la guerre, cette jeune adolescente qu’on appelait « Rachel Cohen ».
Echo vit dans l'East Side, où les appartements sont petits et où les parents sont accros aux pierres blanches. Pourtant la magie est partout. Chaque jour, Echo va à l'école dans le West Side. Elle voyage entre deux mondes, laissant derrière elle ses frères, ses amis et une partie d'elle-même. Laisser derrière soi l'endroit qui vous a fait naître comporte des dangers…
Printemps 1949. Pour les jeunes filles de la pension Giboulée, c’est l’heure des choix, de ceux qui engagent une vie. Grâce à son prof de l’Actors Studio, Page est propulsée finaliste pour un rôle au théâtre où sa seule rivale est Grace Kelly. Les destins amoureux de Hadley et de Chic vont enfin se rencontrer, se nouer, s’affronter. Qui l’emportera ? Uli Styner est pris dans les pièges de la chasse aux sorcières. Au pied du mur, Manhattan lui dévoilera-t-elle sa véritable identité ? Jocelyn est lui aussi à la croisée des chemins, lorsqu’une figure de son passé en France resurgit…
Novembre 1620 : les passagers du Mayflower atteignent l'Amérique. À son bord, Constance regrette déjà Londres. Dans son journal, elle raconte la famine, les ravages du scorbut, la peur des Indiens et la brutalité des premiers bâtisseurs de la Nouvelle-Angleterre.















