Thème « statut de la femme »
À treize ans, Anastasia se sent prête pour vivre une histoire d'amour avec un homme. Plus précisément un JHC, ou Jeune Homme Célibataire, déniché dans les petites annonces de la New York Review of Books. Elle-même signe ses lettres JEFICAS, qui signifie selon les jours « Jeune, Enthousiaste, Féminine, Intelligente, Célibataire, Ambitieuse, Sociable » ou bien « Jalouse, Éblouissante, Fabuleuse, Impatiente, Chaleureuse, Amicale, Sociable ».Dans le même temps, Anastasia se prépare fiévreusement à l'événement de l'année : le mariage de la soeur de son amie Meredith. Elle a été choisie pour être sa demoiselle d'honneur junior, en robe bleue, bouquet et chignon. Et si Anastasia a renoncé au mariage, elle n'a pas renoncé à aller au mariage des autres...
La saga d'ANASTASIA dans l'ordre : « Anastasia Krupnick », « C'est encore Anastasia », « Anastasia à votre service », « Anastasia, demande à ton psy ! », « Anastasia connaît la réponse », « Le nom de code d'Anastasia », « Anastasia avec conviction ».
Talma vit avec sa fille, Camille, au bord de la mer. Le père, lui, sillonne les océans. Quand Talma rentre le soir, épuisée, elle ne prend guère le temps de s’occuper de sa fille, expédie le repas, s’énerve contre elle. Cela ne plaît pas du tout à Camille, qui aime grimper sur les armoires pour observer le monde, s’inventer des histoires, parler à sa grenouille, surveiller ses plantations, commander aux éléments. Mais ce qu’elle aimerait par-dessus tout, c’est réussir à calmer sa mère, plus indomptable que les plus fortes tempêtes. Y parviendra-t-elle ?
Amouksan est la doyenne de l’humanité. Elle vit en Sibérie, au bord du monde, près du domaine des esprits. À présent, il ne lui reste que ses souvenirs, et trois objets précieux qu’on lui a offerts : un talisman en cuir, une pochette de photos, et une magnifique robe qu’elle a portée une seule fois, il y a très, très, très longtemps. Son père trappeur aurait voulu un garçon, pour lui apprendre à chasser le renne l’hiver, et le saumon l’été. Alors, il a élevé Amouksan comme un garçon. Mais cette année-là, c’est un géant revenu du fond des âges qu’ils vont découvrir ensemble. Un mammouth. Il allait leur offrir la plus incroyable aventure de leur vie.
Maman est spationaute, membre de l'équipage de la SW11ST, mission scientifique qui ne pourrait pas se dérouler sans la précieuse collaboration de Louise. Louise est une araignée aux pattes velues. Il paraît qu'elle n'est pas dangereuse. Maman l'a installée dans sa mallette pressurisée en vue d'étudier son comportement là-haut, à bord de la station spatiale. Kim est fier d'avoir une maman astronaute. mais parfois il aimerait mieux qu'elle soit institutrice. Il ne passerait pas toutes ses vacances au Centre de lancement.
On a rarement intérêt à ce que sa mère décide brusquement de retravailler. Le défilé de baby-sitters commence et on n'est jamais sûr de bien tomber. La maman de Monelle a porté son choix sur Mme Turpin aux principes très sains et très stricts...
L’histoire de Meg, Jo, Beth et Amy a traversé le siècle sous des titres divers, Les Quatre Filles du docteur March étant le plus célèbre et sans doute le moins exact, puisque leur père n’est pas médecin, mais bien pasteur… Cette chronique d’une année dans la vie d’une famille américaine pendant la guerre de Sécession est bien autobiographique, mais, à l’image de la famille de l’auteur, celle des March n’est ni aussi conventionnelle ni aussi ordinaire qu’on a bien voulu le faire croire au lecteur.
Car, de ce livre, ressort la figure forte de Josephine, dite Jo : alter ego affiché de Louisa May Alcott, elle est la rebelle en conflit avec le modèle féminin en vigueur dans la société puritaine de l’Amérique du XIXe siècle. Elle dit qu’on peut être mal dans la peau d’une fille dans le Boston des années 1860, avoir envie de prendre des airs de garçon et nourrir de farouches ambitions littéraires, être pieuse sans être soumise – bref, qu’on peut vivre en 1868 et être progressiste.
Alors, ces Quatre Filles, roman mièvre, féminin et bien pensant ? Rien n’est moins sûr. C’est ce que cette nouvelle traduction, abrégée par l’auteur d’autres soeurs inoubliables, s’efforce de montrer.
L’histoire de Meg, Jo, Beth et Amy a traversé le siècle sous des titres divers, Les Quatre Filles du docteur March étant le plus célèbre et sans doute le moins exact, puisque leur père n’est pas médecin, mais bien pasteur… Cette chronique d’une année dans la vie d’une famille américaine pendant la guerre de Sécession est bien autobiographique, mais, à l’image de la famille de l’auteur, celle des March n’est ni aussi conventionnelle ni aussi ordinaire qu’on a bien voulu le faire croire au lecteur.
Car, de ce livre, ressort la figure forte de Josephine, dite Jo : alter ego affiché de Louisa May Alcott, elle est la rebelle en conflit avec le modèle féminin en vigueur dans la société puritaine de l’Amérique du XIXe siècle. Elle dit qu’on peut être mal dans la peau d’une fille dans le Boston des années 1860, avoir envie de prendre des airs de garçon et nourrir de farouches ambitions littéraires, être pieuse sans être soumise – bref, qu’on peut vivre en 1868 et être progressiste.
Alors, ces Quatre Filles, roman mièvre, féminin et bien pensant ? Rien n’est moins sûr. C’est ce que cette nouvelle traduction, abrégée par l’auteur d’autres soeurs inoubliables, s’efforce de montrer.
Tout va bien pour Léa ! À l’école, elle aime jouer au foot dans la cour avec ses amies. Elle est naturellement douée en maths, comme le sont souvent les filles. Elle sait déjà qu’elle est promise à une brillante carrière, de chirurgienne, huissière ou, pourquoi pas, ministresse ! Quel que soit son choix, elle n’aura pas à s’occuper de ses enfants, puisque c’est leur père qui s’en chargera. Les hommes sont naturellement faits pour ça, non ? « C’est comme ça ! On n’y peut rien ! » a tendance à penser Léa. Mais son père et son frère, Tom, vont la pousser à remettre en question l’ordre établi…
Jane Goodall, Diane Fossey, et Biruté Galdikas sont encore de très jeunes femmes inexpérimentées quand le célèbre archéologue et paléontologue Louis Leakey les recrute. Il leur donne leur chance en les envoyant étudier sur le terrain, respectivement les chimpanzés en Tanzanie, les gorilles au Rwanda et les orangs-outangs à Bornéo. Par leurs observations minutieuses, leur intuition, leur courage et leur empathie, les trois femmes vont révolutionner notre vision des grands singes, nos frères non humains…
Ce matin, devant tout le monde, la maîtresse a dit : " Les enfants, je voudrais attirer votre attention sur le courage de Madame Fey, la maman de Gabrielle. Raconte-nous. Où est-elle partie et que fait-elle ? " Gabrielle n'a rien répondu. Parce qu'elle n'avait aucune envie de répondre. Il paraît que c'est formidable les gens qui partent bénévolement dans des pays lointains pour aider les victimes de la guerre. Mais Gabrielle ne comprend pas pourquoi sa maman tient absolument à s'occuper d'enfants du Kosovo alors qu'elle a déjà une fille à la maison. À quoi ça rime? Gabrielle fait chaque jour des voeux secrets pour que sa maman revienne. Elle se sent prête à tout pour ça. Y compris à faire elle-même quelque chose de formidable.









