Thème « sorcier, sorcière »
Il y avait une fois trois soeurs qui ne riaient jamais. Elles étaient assez laides et portaient des noms horribles dont elles étaient très satisfaites. Un jour, elles virent deux enfants si mignons qu'elles en furent écoeurées. Elles les kidnappèrent. Elles avaient un certain nombre de questions à leur poser...
La sorcière Ratatouille décida un jour de se faire une soupe magique qui la rendrait aussi belle qu'un mannequin. Elle consulta ses livres. Il n'y avait que des recettes pour transformer les princesses en crapauds...
Le problème quand on est protecteurs de monstres, c’est qu’il faut sortir la nuit en cachette des parents. Et depuis que maman est rentrée de voyage, c’était de-venu carrément compliqué. Alors avec Romy (c’est ma petite soeur), on a dû trouver à un plan. Sauf que tout est parti en cacahuète. Ça a été la catastrophe. Il y a eu l’accident d’huile de fri-teuse, le méchant zombie, le rondin de bois et les croquettes pour chat… mais il faut que je vous raconte dans l’ordre, sinon vous n’allez rien comprendre. Je vous préviens, c’est complètement fou.
Quand il était petit, Pierre ne voulait pas manger sa soupe. « Tu sais ce qui arrive aux petits garçons qui ne veulent pas manger leur soupe ? » lui disait son père, « Eh bien, à minuit, la sorcière Cornebidouille vient les voir dans leur chambre, et elle leur fait tellement peur que le lendemain, non seulement ils mangent leur soupe, mais ils avalent la soupière avec. »
Pierre s'en fichait. Il ne croyait pas aux sorcières. Mais il faut admettre que son père avait raison sur un point: une nuit, à minuit, dans la chambre de Pierre, la porte de l'armoire s'entrouvrit avec un grincement terrible et Cornebidouille fit son apparition. Allait-elle parvenir à faire peur à Pierre ? Ca, c'était beaucoup moins sûr.
Dans La vengeance de Cornebidouille, Pierre avait réussi à faire manger sa propre soupe à l’abominable Cornebidouille, ce qui l’avait illico transformée en potiron… Mais une sorcière se résigne-t-elle à sortir de la vie de ses victimes ? Non ! Plus tard, quand sa maman coupe en deux un potiron pour le dîner et qu’aussitôt une odeur épouvantable se répand, Pierre a une intuition : Cornebidouille est de retour… Il ne se trompe que sur un détail. À présent, elles sont deux et elles veulent se venger. Il va encore falloir ruser !
Lune est invitée à l’anniversaire de sa grande amie Victoire ; sur le carton il est écrit de venir déguisé. Avec la robe noire de maman, une vieille cape de Zorro, un chapeau en carton et le balai de la voisine, elle se bricole un super costume de sorcière. Lorsqu’elle se présente chez Victoire… Surprise ! Toutes les autres petites filles sont de rose vêtues, déguisées en princesses, en reines ou en fées. Lune la sorcière fait son petit effet. Mais que va penser Alexandre, lui aussi invité ?
Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierre… puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de « Prout de chamois »… Oh là là , au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d’un tour dans son sac. Ce n’est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera !
Tout commence le jour où Élisa gagne un lot sur le stand de tir à la carabine de la fête foraine et choisit une peluche étrange, tout en longueur et pas très belle, qui ressemble à une grande saucisse. Ce sera sa peluche préférée. Mais, à la maison, sa mère trouve Grande Saucisse tellement moche qu'elle ordonne à Élisa de la jeter à la poubelle. Élisa essaie d'obéir, seulement Grande Saucisse est têtue, on ne se débarrasse pas d'elle si facilement. La peluche résiste aux éboueurs et au chien du voisin. Elle est même décidée à survivre dans la grande forêt. De plus, Élisa n'a pas dit son dernier mot.
« Quelle est cette horrible chose brune accrochée au mur ? » demande un jour le petit Georges. Tout d'abord, son papa refuse de lui répondre. « C'est une histoire trop effrayante », dit-il. Mais Georges insiste. Son papa finit par céder et lui raconte l'histoire, une histoire terrible, à vous faire dresser les cheveux sur la tête...
Petit Ours se promène à vélo dans le bois. Il s'approche d'un étang pour se rafraîchir lorsqu'une petite voix l'interpelle : « Bonjour ! Je suis la princesse Grenouille. »
« Grenouille, certainement, mais princesse, ça m'étonnerait vraiment ! » répond Petit Ours.
Mesdames, messieurs, prenez place et ouvrez grands les yeux ! La sorcière Crabibi participe au célèbre concours du Sorcier de l’année ! Course de balais, sortilèges et potions magiques… c’est sûr, toutes ces épreuves vont en défriser plus d’un ! Crabibi sortira-t-elle victorieuse ? À vos balais, chaudrons et baguettes, préparez-vous à en prendre plein les mirettes !
Rabounia, qui vit entre les pages 56 et 63 du Grand Recueil des histoires pour le soir, est réveillée par ces cris insupportables. Elle a beau savoir qu’il est formellement interdit de sortir de son histoire, trop, c’est trop ! Alors, elle chausse ses baskets et se dirige vers une tout autre histoire que la sienne et qu’elle n’est pas certaine de bien comprendre.
Plus que tout au monde, la sorcière Tambouille adore cuisiner. Soufflé de crapaud, langue de loup aux choux, rat en gelée... Elle prépare des mets rares, des mets raffinés. Mais elle est persuadée qu'aucun de ses invités, fantômes, squelettes, gnomes, vampires et farfadets, non, personne n'apprécie ce qu'elle fait. Il suffit de prendre quelques décisions radicales, Tambouille ! Tu verras, les gens peuvent changer...
C’est l’histoire d’une vieille sorcière qui n’aime rien ni personne. Un jour, alors qu’elle se promène dans la forêt avec sa fille, elle rencontre un vieux loup solitaire, ancienne terreur de la forêt.
En échange de la vie sauve, la sorcière accepte de préparer chaque jour un repas pour le loup. Pendant qu’elle cuisine, sa petite fille se passionne pour les histoires du loup vieillissant… au point de rendre la sorcière jalouse et d’émouvoir l’animal !
Souvenons-nous : dans l’album Cornebidouille, Pierre avait flanqué l’affreuse sorcière dans les cabinets. Mais voilà , une Cornebidouille, ça ne disparaît pas comme ça. Elle revient et elle n’est pas contente !
Elle fait un bruit d’enfer sous la cuvette, laisse des traces et des flaques mouillées partout dans la maison… Envoyé au lit pour avoir renâclé devant sa soupe de légumes, Pierre ruse et trouve un moyen imparable pour éliminer non seulement la sorcière, mais l’horrible brouet de sa propre mère !
C’est au salon du livre de Limoges que Pierre Bertrand a fait rêver Magali Bonniol en lui racontant l’histoire de Cornebidouille, au point de lui inspirer des images sur les phrases qu’il tressait. Une amitié et une collaboration sont nées. Après le premier album, un enfant, dans une classe, avait imaginé qu’enfermée dans les toilettes, la sorcière construisait sa maison dessous. Il n’en fallait pas plus pour que naisse la suite de ses aventures, qui permet aux auteurs d’évoquer l’horreur d’être forcé à ingurgiter une nourriture immonde.
Valentin était un chat comme tous les autres chats, sauf qu’il était d’une couleur vraiment unique, originale et… différente : le rouge, qui l’obligeait à rester à l’écart des autres chats, moqueurs. Il vivait seul, il se cachait dans la forêt. Un jour, pourtant, Valentin se sentit moins seul. Ce fut le jour où il sauva la vie à une chatte complètement blanche. Il la tira des griffes du loup, puis ils se tirèrent ensemble des pattes de la sorcière. Et ensuite ? Peut-être bien qu’ils eurent plein de chatons… roses ?