Thème « sorcier, sorcière »
Il y avait une fois trois soeurs qui ne riaient jamais. Elles étaient assez laides et portaient des noms horribles dont elles étaient très satisfaites. Un jour, elles virent deux enfants si mignons qu'elles en furent écoeurées. Elles les kidnappèrent. Elles avaient un certain nombre de questions à leur poser...
La sorcière Ratatouille décida un jour de se faire une soupe magique qui la rendrait aussi belle qu'un mannequin. Elle consulta ses livres. Il n'y avait que des recettes pour transformer les princesses en crapauds...
Quand il était petit, Pierre ne voulait pas manger sa soupe. « Tu sais ce qui arrive aux petits garçons qui ne veulent pas manger leur soupe ? » lui disait son père, « Eh bien, à minuit, la sorcière Cornebidouille vient les voir dans leur chambre, et elle leur fait tellement peur que le lendemain, non seulement ils mangent leur soupe, mais ils avalent la soupière avec. »
Pierre s'en fichait. Il ne croyait pas aux sorcières. Mais il faut admettre que son père avait raison sur un point: une nuit, à minuit, dans la chambre de Pierre, la porte de l'armoire s'entrouvrit avec un grincement terrible et Cornebidouille fit son apparition. Allait-elle parvenir à faire peur à Pierre ? Ca, c'était beaucoup moins sûr.
Dans La vengeance de Cornebidouille, Pierre avait réussi à faire manger sa propre soupe à l’abominable Cornebidouille, ce qui l’avait illico transformée en potiron… Mais une sorcière se résigne-t-elle à sortir de la vie de ses victimes ? Non ! Plus tard, quand sa maman coupe en deux un potiron pour le dîner et qu’aussitôt une odeur épouvantable se répand, Pierre a une intuition : Cornebidouille est de retour… Il ne se trompe que sur un détail. À présent, elles sont deux et elles veulent se venger. Il va encore falloir ruser !
Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierre… puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de « Prout de chamois »… Oh là là , au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d’un tour dans son sac. Ce n’est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera !
« Quelle est cette horrible chose brune accrochée au mur ? » demande un jour le petit Georges. Tout d'abord, son papa refuse de lui répondre. « C'est une histoire trop effrayante », dit-il. Mais Georges insiste. Son papa finit par céder et lui raconte l'histoire, une histoire terrible, à vous faire dresser les cheveux sur la tête...
Petit Ours se promène à vélo dans le bois. Il s'approche d'un étang pour se rafraîchir lorsqu'une petite voix l'interpelle : « Bonjour ! Je suis la princesse Grenouille. »
« Grenouille, certainement, mais princesse, ça m'étonnerait vraiment ! » répond Petit Ours.
Mesdames, messieurs, prenez place et ouvrez grands les yeux ! La sorcière Crabibi participe au célèbre concours du Sorcier de l’année ! Course de balais, sortilèges et potions magiques… c’est sûr, toutes ces épreuves vont en défriser plus d’un ! Crabibi sortira-t-elle victorieuse ? À vos balais, chaudrons et baguettes, préparez-vous à en prendre plein les mirettes !
Rabounia, qui vit entre les pages 56 et 63 du Grand Recueil des histoires pour le soir, est réveillée par ces cris insupportables. Elle a beau savoir qu’il est formellement interdit de sortir de son histoire, trop, c’est trop ! Alors, elle chausse ses baskets et se dirige vers une tout autre histoire que la sienne et qu’elle n’est pas certaine de bien comprendre.
Plus que tout au monde, la sorcière Tambouille adore cuisiner. Soufflé de crapaud, langue de loup aux choux, rat en gelée... Elle prépare des mets rares, des mets raffinés. Mais elle est persuadée qu'aucun de ses invités, fantômes, squelettes, gnomes, vampires et farfadets, non, personne n'apprécie ce qu'elle fait. Il suffit de prendre quelques décisions radicales, Tambouille ! Tu verras, les gens peuvent changer...
Souvenons-nous : dans l’album Cornebidouille, Pierre avait flanqué l’affreuse sorcière dans les cabinets. Mais voilà , une Cornebidouille, ça ne disparaît pas comme ça. Elle revient et elle n’est pas contente !
Elle fait un bruit d’enfer sous la cuvette, laisse des traces et des flaques mouillées partout dans la maison… Envoyé au lit pour avoir renâclé devant sa soupe de légumes, Pierre ruse et trouve un moyen imparable pour éliminer non seulement la sorcière, mais l’horrible brouet de sa propre mère !
C’est au salon du livre de Limoges que Pierre Bertrand a fait rêver Magali Bonniol en lui racontant l’histoire de Cornebidouille, au point de lui inspirer des images sur les phrases qu’il tressait. Une amitié et une collaboration sont nées. Après le premier album, un enfant, dans une classe, avait imaginé qu’enfermée dans les toilettes, la sorcière construisait sa maison dessous. Il n’en fallait pas plus pour que naisse la suite de ses aventures, qui permet aux auteurs d’évoquer l’horreur d’être forcé à ingurgiter une nourriture immonde.
Valentin était un chat comme tous les autres chats, sauf qu’il était d’une couleur vraiment unique, originale et… différente : le rouge, qui l’obligeait à rester à l’écart des autres chats, moqueurs. Il vivait seul, il se cachait dans la forêt. Un jour, pourtant, Valentin se sentit moins seul. Ce fut le jour où il sauva la vie à une chatte complètement blanche. Il la tira des griffes du loup, puis ils se tirèrent ensemble des pattes de la sorcière. Et ensuite ? Peut-être bien qu’ils eurent plein de chatons… roses ?
Il était une fois un crapaud qui appartenait à une sorcière. Celle-ci l'obligeait régulièrement à cracher dans les potions terribles qu'elle préparait en grand secret. Mais la sorcière perdait la main. Heureusement que le crapaud était un passionné de lecture...
Martin était le facteur de la forêt. Tous les matins, très tôt, il recevait un colis de toutes les lettres à distribuer. Tout le monde aimait Martin le lapin facteur: Madame Ourse, Dina la souris et aussi Émile l'écureuil. Jusqu'au jour où il arriva quelque chose de terrible...
Selon Mina la souris, la forêt est sous l'emprise d'une terrible malédiction : une sorcière déguisée la hante jour et nuit. Le seul moyen de la faire disparaître à tout jamais est de la retrouver et... de la reconnaître sous son déguisement, avant le petit matin. Mina n'y arrivera jamais toute seule et fait appel à son ami Victor le lapin. Du coup, tout le monde s'y met : le hibou, les chauve-souris, la taupe, l'ours et même les loups vont essayer de déjouer l'affreuse sorcière. L'union fait la force !
Une nuit, c'est dans MA chambre que le Voleur de Doudous est entré !
Connaissez-vous le Voleur de Doudous ? La nuit, sans bruit, il entre dans les maisons en passant par la cheminée. Sur la pointe des pieds, il se glisse dans les chambres des enfants. Malgré l'obscurité, il repère les doudous. Il ne vole que les plus beaux, ceux que les enfants aiment du fond du coeur. Il les met dans un grand sac et les emporte au Pays des sorcières. Car vous ne le saviez peut-être pas, mais les sorcières font de la soupe de doudou.
Moi, je connais bien le Voleur de Doudous. Je suis même allée au Pays des sorcières. Car une nuit, c'est mon doudou que le Voleur a voulu voler. Et je n'avais pas l'intention de le laisser faire.