Thème « scolarité »
Jano est déçu : il vient juste de se faire opérer des végétations, c’est l’heure des câlins et des cadeaux, et qu’est-ce qu’il trouve au bout de son lit ? Une peluche ! Un gros rat gris en poils synthétiques ! Comme si c’était de son âge. Lui, il aurait rêvé d’un portable, par exemple. Ou n’importe quoi, mais pas un malheureux doudou, pas une peluche en kilt écossais ! Tant pis, Jano va essayer de l’abandonner discrètement dans sa chambre d’hôpital. Mais… il rêve ou quoi ? On dirait que le rat lui sourit. Sans doute un effet de l’anesthésie.
Un drame se joue à l'école des Mimosas. Dans quelques heures, Mme Stylianos sera en retraite. Elle a bien du mal à retenir ses larmes, au milieu de la grande fête que tous ses élèves ont organisée pour elle. Elle n'a pas la moindre envie de faire la grasse matinée ou de jouer aux boules. Depuis quarante ans sa vie tient entre les quatre murs de sa classe. Mme Stylianos ne veut pas partir. Elle a décidé de suivre le conseil que vient de lui donner Gaëlle : faites toutes les bêtises que vous n'avez jamais osé faire. La première bêtise, c'est de désobéir.
Chacun ses particularités, ses complexes, ses difficultés. On a tous nos petites ou nos grandes différences, plus ou moins gênantes. On sait pourtant tous se parler, s’écouter et s’accepter, comprendre l’autre et s’entraider. Si on inventait un monde plus gai ?
Nour doit parcourir un long chemin dans le désert pour aller à l'école. Elle a pris l'habitude de partager des miettes de son goûter avec les oiseaux qui l'escortent. Aujourd'hui, bousculé par le passage d'un gros camion, l'un des petits oiseaux s'est étourdi. Nour vole à son secours, l'emporte avec précaution et le cache contre son coeur, bien à l'abri de son foulard. Dans la cour de l'école, tout le monde remarque le comportement bizarre de Nour et vient voir. Mais elle, ce qu'elle veut avant tout, c'est sauver son oiseau...
Alexandre est moyen. Juste moyen. À l’école, à la maison, avec ses amis ou avec sa famille, il ne se distingue en rien. Et cela pourrait continuer comme ça, jusqu’à la saint-glinglin… Mais Alexandre n’est pas satisfait, il voudrait vraiment se situer un petit peu au-dessus de la moyenne.
Un jour, une « CHOSE » arrive dans son appartement, offerte par son parrain. La CHOSE a un clavier noir et blanc, pèse trois cent cinquante kilos et ne repartira plus. Grâce à elle, la vie d’Alexandre va changer…
C’est arrivé comme ça, sans prévenir. Il est vrai que, depuis toujours, Thomas rêvassait en classe. « Encore dans les nuages, lui disait la maîtresse, Thomas tête en l’air, redescends sur Terre ! » Et ce jour-là , pleine classe, il s’est envolé. Vraiment.
Sous la mer comme sur terre, il y a des écoles et des écoliers. À la demande de Mme Mérou, leur institutrice, Roger le poisson rouge, Toni le calamar et Eugénie la seiche doivent préparer un exposé sur un vaste sujet : le cœur.
Eugénie, qui craint secrètement d’être née sans cœur, souhaite interroger un docteur. Mais Toni préfère aller voir sa grand-mère, qui est, paraît-il, un vrai cœur d’artichaut. Ils vont aussi croiser une huître très fermée et un bernard-l’hermite qui n’a plus le cœur à rien.
Leur enquête progresse… Mais ce qu’ils ignoraient tous trois, c’est qu’elle pourrait soudain s’avérer dangereuse.
Pour la classe d'Olga, le voyage de fin d'année va se faire à la mer… et les déguisements sont autorisés ! L'excitation est à son comble ! Sauf qu'après avoir erré dans les rayons du Super-Market et même essayé de se fabriquer un costume toute seule, c'est l'échec. Le jour du départ, Olga se retrouve déguisée en rien du tout. La honte… Mais l'aventure ne fait que commencer !
Les aventures de Louis et Fanfan, c’est l’histoire d’une belle amitié entre un petit loup et un petit cochon. Grâce à leur connivence, ils sont plus forts pour affronter les péripéties de la vie.
Ce recueil contient : Un monde de cochons, L'école est en feu, Le trésor de Louis (texte inédit) et enfin une sélection de pages extraites des carnets de croquis de Mario Ramos.
« Toute ressemblance avec notre monde moderne est bien évidemment due à une volonté humoristique. Le but est de faire une série appelée « Un monde de cochons », c’est-à -dire une histoire complète à chaque fois. Je voulais renouer avec le plaisir de la lecture en feuilleton. Lorsque j’étais petit, pendant les vacances, ma grand-mère me lisait chaque jour un chapitre de livre et j’adorais cela ! » Mario Ramos
Ce matin, dans la classe de Victoria, les absents sont si nombreux que la maîtresse a annoncé qu'il n'y aurait pas de numération, ni de grammaire, ni rien du tout. Tout le monde a attendu, partagé entre l'inquiétude et le bonheur de ne rien faire. Que va trouver la maîtresse pour remplir ce grand vide ? C'est alors qu'elle a prononcé une phrase terrible : "Vous écrirez en quelques lignes quel métier vous souhaiteriez faire plus tard".
Cela fait cinq ans que Marianne, l'héroïne de Quand je pense à la Résistance, sait qu'elle veut devenir juge pour enfants. Elle vient d'entrer en faculté de droit, où elle n'a pas encore réussi à se faire d'amis, parce qu'elle travaille sans cesse et de toute façon n'ose parler à personne. Lorsqu'elle rentre chez ses parents pour les vacances de Noël, elle trouve dans sa chambre un article de journal que son père a découpé. Il y est question d'un jeune juge, Jacques Bidalou, qui est sur le point d'être dessaisi d'une affaire dans laquelle il lutte pour que des travailleurs immigrés expulsés en plein hiver, puissent réintégrer leurs logements. Marianne s'émeut, s'enthousiasme et écrit au juge. Contrairement à ce qu'elle pense, elle est la seule à lui avoir témoigné son admiration et proposé son aide et, à son grand étonnement, il lui répond et lui donne même rendez-vous à Paris. C'est le début d'une aventure qui n'a guère de points communs avec le droit tel que Marianne l'apprend dans les salles de cours, et qui va affermir sa vocation en lui donnant toutefois un aspect inattendu.
En classe de 3e, Mohammed-Ali est discret et populaire. Pour lui, le collège ça roule. Tranquille. En apparence du moins, car il a une vie secrète. La nuit, il sort de chez lui pour aller taguer. Et surtout, il est amoureux d’Aimée, qui ne pense à rien d’autre qu’au football. Comment faire pour qu’elle le remarque ? Par chance, Mohammed-Ali peut compter sur le soutien de Lina et Margaux. En amour comme au football, il faut un plan de jeu. Il faut avoir du style.Il va inviter Aimée à voir un match au Stade de France.
Voici la suite tant attendue de "La guerre des chocolats", roman qui a fait date par son portrait sans concession du pouvoir et de ses victimes. Robert Cormier nous emmène à présent au-delà de la guerre des chocolats aux conséquences dévastatrices, dans cette école de Trinity où le sombre drame s'achemine vers une conclusion bouleversante.
L'année scolaire s'achève. Pour les élèves, pour Frère Léon, le nouveau directeur, pour les membres de l'organisation secrète appelée les Vigiles ; la vente des chocolats n'est plus qu'un souvenir. Mais pour Jerry Renault, brutalement molesté parce qu'il a défié les Vigiles, et pour tous les autres enchaînés dans le tourbillon de la cruauté, de l'intrigue et de la fourberie, la violence et l'humiliation de ces événements passés restent encore présentes. Seul Archie Costello, qui commande les Vigiles, semble inchangé. Distant, imperturbable, machiavélique. Archie continue à manipuler sans effort la vie des autres. Mais Obie, qui en était le bras droit, commence à prendre des distances. Cherchant à mettre l'invulnérable Archie en position de faiblesse, Obie est conduit à un acte de vengeance désespéré et forcé d'affronter - et de reconnaître - le visage démasqué du mal.
"Après la guerre des chocolats", roman à suspense, provocateur et convaincant, réaffirme avec force le talent de Robert Cormier qui sait nous fasciner, nous déranger et nous surprendre.
Non, vous n'êtes pas dans un parking, vous êtes bien au département LSH, Deug mention lettres modernes. Vous avez même réussi à trouver la salle 222, bravo. " Le Deug comporte 11 à 12 modules, le poids total des modules devant impérativement être de 20, dont 8 modules obligatoires de premier et de deuxième niveau, 1 mo-dule optionnel de poids 2, ou éventuellement, 2 de poids 1... " Vous voyez, il y a même quelqu'un pour tout vous expliquer. Si vos parents sont norma-lement généreux, une fois que vous aurez payé votre loyer et votre carte orange, il vous restera, comme à Hélène, 33,333 francs par mois pour vivre. Et ne vous laissez pas envahir par la mélancolie, vous reverrez vos parents à Noël, si vous parvenez à monter dans un TGV surpeuplé. Eh oui, les grèves... C'est un fait, la vie d'étudiant ne ressemble pas toujours à l'idée qu'on s'en faisait en roulant, cheveux au vent et bac en poche, sur une petite route de cam-pagne. Pour ne pas craquer, il faut se trouver de sérieuses motivations, ou bien un genre de gourou, comme le prof de théâtre de Camille, qui aime expliquer que " La matière est excrémentielle " et qui a entrepris de révolutionner le théâtre et le monde par la même occasion. Mais attention, si vous avez choisi le théâtre, vous n'avez pas droit à l'amour, cette " illusion bourgeoise " n'étant pas compatible avec " l'exercice de communauté qu'est le théâtre ". Hélène, elle, a choisi le structuralisme et sa grande prêtresse, Olga Diamant, grammairienne divine et ô combien charismatique. Avec elle on peut facilement passer trois mois sur une strophe de Baudelaire. C'est peut-être ça, le bonheur, la vie d'adulte, la liberté. De toute façon, il est trop tard pour revenir en arrière : lorsqu'elle est rentrée chez elle pour les vacances, Hélène a exploré sa bibliothèque et a dû s'avouer qu'elle n'aimait plus Les quatre filles du Dr March.
Lorsqu’il se réveille au Village, Oliver « Boo » Dalrymple est à peine surpris. Son cœur malade, croit-il. Mais quelque temps après son arrivée dans cet au-delà réservé aux trépassés de treize ans, le jeune garçon découvre, horrifié, qu’il a été victime d’une fusillade. Pire encore : son assassin pourrait bien se trouver lui aussi au paradis. Avec l’aide de Johnny, un camarade de classe arrivé au Village peu de temps après lui, Boo se lance dans une chasse à l’homme pour retrouver le mystérieux « Gunboy » qui leur a ôté la vie. Mais dans cette antichambre de la mort où les fenêtres brisées repoussent comme par magie et où le ciel demeure éternellement gris, les apparences ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être…
« Je ne peux pas passer une année de plus dans ce costume de graisse, mais je peux terminer cette année dans une apothéose. » Il a tout essayé, rien n'y fait : Butter est malade de son poids. Et sa vie est devenu un enfer, avec les autres et avec lui-même. Alors, pour en sortir, il lance un défi désespéré sur Internet : le 31 décembre, en direct, il mangera, mangera, mangera, jusqu'à ce que tout soit terminé. Et vous, que ferez-vous ce soir-là ?















