Thème « scolarité »
Ce matin, sous la tente, le p’tit cœur de Dina est inquiet. C’est son premier jour d’école dans un autre pays. La petite grenouille a peur de se perdre au milieu des gens. Il y a beaucoup de bruit en classe et Dina ne comprend pas ce que dit la maîtresse. Sur le chemin du retour, elle se perd. Le p’tit cœur de Dina est en miettes quand un garçon à vélo lui demande gentiment : « Que fais-tu là grenouillette ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette. »
Le pigeon ne veut vraiment, vraiment, vraiment pas aller à l’école. À TON avis, a-t-il raison ?
Victor Kangourou a un problème dans la vie : à l'école, il voit partout se glisser des ombres dans le préau, des requins dans le sable et des serpents gluants sur le toit. Personne ne veut le croire. Jusqu'au jour où sa maîtresse lui fabrique une cocotte en papier qui veillera sur lui. Une cocotte magique...
Pour décider ses sept petits à aller à l'école, Maman Souris a une idée formidable: Maman Souris invente une voie ferrée qui passe sous un tunnel. Tous les matins, elle se met sur les rails et fait la locomotive. Ses sept enfants et tous les amis s'accrochent à elle, comme des wagons.
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Aujourd’hui commence mal : Pascaline la petite chauve-souris a 3 ans, et doit rentrer en classe, comme tout le monde. Mais elle refuse, résiste et crie si fort… que ses parents rétrécissent, et deviennent riquiquis comme des cacahuètes. Maintenant c’est leur tour d’aller à l’école. Pascaline les glisse sous son aile. On va bien rigoler. Mais que se passera-t-il à l’heure des parents ?
Maman, la maîtresse, le médecin, le marchand : ils veulent tous que je porte des lunettes parce que je ne vois pas au tableau ! D’accord, mais je veux au moins les choisir !
Les moins pires sont en forme d’étoiles.Mais Maman me prend les rondes, les plus nulles…
Au secours, à l’école, tout le monde va me traiter de serpent à lunettes !
Ça ne rate pas, et c’est la bagarre.
Je ne vais pas me laisser faire. Crac ! Boum! Aïe ! Mes lunettes toutes neuves et moches sont cassées… On pourrait peut-être en profiter pour les changer ?
Eh oui, même les fées vont à l‘école. Bon, il n’y a pas école tous les jours pour les fées, et leur maîtresse, Sorbonette, leur apprend principalement la magie. Et ce n’est pas facile la magie, surtout quand la baguette magique n’obéit pas !
Les élèves de la classe de Mlle Nelson sont de vrais garnements. Boulettes de papier, avions qui volent, chahuts, ils sont tout simplement insupportables. Jusqu'au jour où la gentille Mlle Nelson disparaît mystérieusement. Et qu'elle est remplacée par la terrifiante Mlle Viola Bourbe…
Un grand classique de la littérature enfantine américaine, paru en 1977 et publié pour la première fois en France.
Pauvre Myriam ! Elle rougit dès qu’on lui adresse la parole – et tous ses camarades se moquent d’elle.
Mais sache-le, Myriam, TOUT LE MONDE rougit à un moment ou à un autre. La preuve…
Aujourd'hui, c'est la rentrée des classes et Maman accompagne Octave pour son premier jour. Mais aujourd'hui, allez savoir pourquoi, Octave dit NON ! NON à tout et à tout le monde : à Maman, à la maîtresse, à Jeanine et Raoul qui veulent jouer avec lui. NON, NON et NON !
Ce matin, tout le monde a eu 10/10 à l’interrogation de tables de multiplication. Tous sauf Simon. Il a dit : 3 x 2 = 4, les autres ont explosé de rire et l’affreux Ferdinand l’a traité de nul. Vexation + colère = Simon est très malheureux. Heureusement, grâce à un conseil de sa maman et à une idée géniale surgie au coeur de la nuit, Simon trouve un truc pour retenir, mais surtout pour comprendre ce qu’est une table, au juste. Et il va en profiter pour battre Ferdinand aux billes !
« Ce matin, pas de gym dehors, nous allons faire de la danse ! » dit la maîtresse. Piou Piou veut montrer à tout le monde ce qu'elle sait déjà faire, avec son tutu et sur la pointe des pieds.
« C'est nul, c'est pas comme ça qu'on danse » répliquent les autres. Pour Jules, danser c'est bouger les fesses. Pour Clotilde, c'est bouger les bras et puis les pieds. L'excitation monte et dehors l'orage gronde.
C’est le dernier jour de l’automne, un petit ours se promène dans la forêt. Au détour d’un chemin, il découvre un joli bonnet coloré.
Qu’est-ce que c’est, se demande-t-il. Puis il reprend son chemin en sautillant et sort de la forêt qu’il n’a jamais quittée.
Dans la cour de l’école, les enfants jouent. Tiens, se dit le petit ours, des copains ! La cloche sonne et une fillette le prend par la main pour entrer en classe…
Aujourd’hui, c’est jour de sortie scolaire. « Dans un musée, a dit mademoiselle Simone, on ne court pas, on ne mange pas, on ne crie pas, on ne touche pas, on REGARDE ! Et surtout, surtout, on ne lâche pas la main de son copain. » Alors Justin prend la main de Noémie et il n’a vraiment pas l’intention de la lâcher. Il ne manquerait plus qu’ils se perdent !
Quand Petit Lapin se réveille, il sait qu'aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres. C'est son premier jour d'école. Petit Lapin sort Billy Cheval de son lit. « Ce serait mieux de laisser Billy Cheval à la maison, dit Maman. Je ne pense pas que les chevaux de bois vont à l'école. »
À l’école, quand il est arrivé, tout le monde s’est moqué de lui. Parce qu’il était tout bleu et qu’il ne faisait que répéter « Pouet-Pouet ! » à tout bout de champ. Il se sentait ridicule, trop différent, mal aimé, rejeté. Même si, parfois, Mimie venait s’asseoir à côté de lui.
Mais quand le Poussinator a fait planer son ombre menaçante sur la cour de récré et que tout le monde criait et pleurait… qui lui a résisté ?