Thème « rue »
Un grand-père et son petit garçon se promènent dans les rues de New York un soir de décembre. Tandis que le soleil se couche, la nuit allume une à une les lumières de la ville et nimbe de magie ces instants partagés.
Il aimerait tant faire le beau pour quelqu’un. Il s’appelle Chien Pourri. Il sent la sardine, il est couvert de puces, et son pelage ressemble à une vieille moquette râpée. Pour ne rien arranger, il est aussi bête qu’il est moche. Un jour, il décide de courir le vaste monde à la recherche d’un maître. Hélas, les gentils maîtres ne courent pas les rues, et le vaste monde se révèle truffé de pièges...
Monsieur Henri vivait à l’arrêt de bus Flore depuis si longtemps que plus personne, ou presque, ne le regardait.
En rentrant chez elle, Nina trouve un vieil arrosoir abandonné sur le trottoir. Un machin sans intérêt, lui assure sa voisine. Mais cet objet auquel personne ne prête attention pourrait bien se révéler… magique !
Le bonheur ne vaut que s’il est partagé… Moi, c’est Berlioz. Mon maître, c’est un gars de la cloche, Jeannot. Il m’a recueilli quand j’étais mioche, Du moins c’est ce que je croyais…
« Je sais ce que c’est, de se sentir perdu dans une grande ville. Mais je te connais. Tout ira bien. » Un petit garçon déambule dans les rues. À qui parle-t-il ainsi ? Et qui cherche-t-il ?
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
Je suis un ours. Je sais, ça n’existe pas, un ours qui vit dans la rue, au milieu des hommes.
J’ai mis du temps à l’admettre, moi aussi. J’ai d’abord pensé que j’étais comme tout le monde : j’allais rentrer chez moi le soir pour le dîner et m’endormir paisiblement dans un lit bien douillet. Mais on m’a vite fait comprendre que cette vie-là n’était pas pour nous, les ours. C‘est pourquoi je dors ici, sur ces cartons, dans la rue.
Un matou bien nourri et soigné dédaigne les douceurs du foyer et ne rêve que d’aller rejoindre les chats de gouttière qu’il aperçoit par la fenêtre. Mais la liberté se paye cher, il l’apprendra à ses dépens. Une nouvelle méconnue du grand Émile Zola, dans un album jeunesse superbement illustré par Timothée Le Véel.