Thème « rue »
Ce matin, Tom le fermier emmène Miglou au marché. Que d’odeurs alléchantes : les saucisses de Suki, les oranges de Molly… Avec ses amis de Topville, Miglou le petit chien vit plein d’aventures. Il est toujours prêt à donner un coup de main. Au marché, sur la place, à l’usine de plastiques, chez les pompiers, à l’école, au garage et au parc, les images fourmillent de détails et de liens entre les personnages. Et puis, il y a aussi un tas d’énigmes à résoudre…
Samedi matin. Miglou s’est levé de bonne heure pour prendre son petit-déjeuner. Ce week-end, il va voir tous ses amis et faire plein d’activités : cinéma, musée, course automobile, fête foraine. Il y a même une star de ciné ! Et toujours un tas de surprises et de détails cachés. Allons-y !
Ce matin, un chat errant vole un beau poisson frais sur l’étal du poissonnier. - Reviens ici ! s’écrie-t-il en essayant d’attraper le chat.À chaque fois que le poissonnier croit voir le voleur, il se trompe. Et quand il va enfin trouver la cachette du chat… une très belle surprise l’attend ! Grâce à un ingénieux système de découpes et de flaps, le lecteur cherche le chat à travers les rues de la ville !
La lune ne quitte pas des yeux l’adorable petit chat blanc perdu dans un décor de nuit entre ciel et étoiles. « Pauvre petit chat. Tu as peur de tout, tu ne sens pas bon, tu as mal et en plus tu as honte ! » À qui la faute ? À personne bien sûr ! Mais lorsque le petit chat est finalement consolé, cajolé et bichonné, c’est grâce à qui ? À tout le monde, bien sûr !
Le battement d’ailes d’un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ? s’interrogeait jadis un météorologue.
Et le jet d’une peau de banane sur un trottoir par un petit garçon peut-il provoquer des catastrophes en chaîne dans toute la ville ? C’est ce que voudrait faire croire sa grande soeur à Hubert.
Imagine un peu si tu fais ça ! prend-t-elle un malin plaisir à lui répéter.
Et il obéit. Il imagine : chutes, bris, coups et blessures, crac, boum, badaboum, panique générale !
Un album politiquement incorrect !
En ville, il y a plein de camions : le camion élévateur, le camion des pompiers, le camion remorqueur et le camion poubelle qui ramasse les ordures. Mais lorsque la ville est paralysée par la tempête de neige, le camion poubelle se faufile jusqu’au garage et se transforme en…Supercamion !
Un grand-père et son petit garçon se promènent dans les rues de New York un soir de décembre. Tandis que le soleil se couche, la nuit allume une à une les lumières de la ville et nimbe de magie ces instants partagés.
Le jour se lève sur la ville. Debout tout le monde ! C’est l’heure d’aller à l’école ! Pour Bonhomme aussi, il est temps de se réveiller. La nuit a été glaciale. Et Bonhomme vit dans la rue. Son nom ? Il ne sait plus…
Olga travaille dans un kiosque à journaux. Ce kiosque, c’est toute sa vie. Elle connaît les désirs de ses clients par coeur. Elle y dort, elle y mange et, le soir, elle lit des magazines de voyage en rêvant de couchers de soleil fabuleux. Mais en vérité, elle est coincée. Jusqu’au matin où elle découvre qu’elle peut déplacer son kiosque et même voguer avec lui !
Monsieur Henri vivait à l’arrêt de bus Flore depuis si longtemps que plus personne, ou presque, ne le regardait.
En rentrant chez elle, Nina trouve un vieil arrosoir abandonné sur le trottoir. Un machin sans intérêt, lui assure sa voisine. Mais cet objet auquel personne ne prête attention pourrait bien se révéler… magique !
Le bonheur ne vaut que s’il est partagé… Moi, c’est Berlioz. Mon maître, c’est un gars de la cloche, Jeannot. Il m’a recueilli quand j’étais mioche, Du moins c’est ce que je croyais…
« Je sais ce que c’est, de se sentir perdu dans une grande ville. Mais je te connais. Tout ira bien. » Un petit garçon déambule dans les rues. À qui parle-t-il ainsi ? Et qui cherche-t-il ?
Socrate est seul au monde : ses parents ont été emmenés à la fourrière peu après sa naissance; les chiens du quartier ne lui laissent que des déchets et personne ne veut l'adopter. Un jour qu'il erre dans les rues à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent, Socrate découvre un drôle d'objet qui s'adapte parfaitement à son museau. Des lunettes... Elles vont changer la vie de Socrate.
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
Pepicek et Aninku doivent aller à la ville chercher du lait pour leur maman malade. Mais les deux enfants n'ont pas un sou ; ils n'ont que leur seau vide. Comment faire pour gagner de l'argent quand on est un petit enfant ? Sur la grand-place, un horrible bonhomme chante une affreuse chanson en s'accompagnant à l'orgue de Barbarie. C'est Brundibar. Tous les adultes autour de lui applaudissent et lancent des pièces. Chantons, nous aussi, se disent Aninku et Pepicek, nous serons bientôt assez riches pour acheter du lait. Mais Brundibar n'est pas d'accord. Et Brundibar est un tyran. Il ne suffit pas d'être deux pour s'attaquer à un mal si grand. L'affreux bonhomme les gronde, puis les chasse. Pepicek et Aninku se réfugient dans une ruelle sombre. Ils n'ont plus d'espoir. Quand soudain, un oiseau qui parle et un chat, tout aussi bavard, leur expliquent qu'ils doivent demander de l'aide. Tous les écoliers répondent à l'appel et, ensemble, chantent une berceuse pour les passants. La chanson est si douce que tout le monde donne de l'argent. Tout le monde sauf Brundibar, évidemment ! À BAS BRUNDIBAR !
Cet album marquant est adapté d'un opéra écrit dans le ghetto de Terezin.