Thème « rivalité, bagarre, dispute »
Tristan est en CE2. Dans la cour, il a décidé de faire une bande avec Andrès et Karine. Attention ! Pas une bande comme celle d’Olivier qui tape sur les petits, ni comme celle de Jujube qui est ceinture rouge de judo. Dans la bande à Tristan, il y a des grades de commandant ou de colonel pour tout le monde et aussi un secret à défendre.
Surtout, elle est ouverte aux CP et aux filles… C’est exprès, car la bande à Tristan, elle ne ressemble à aucune autre.
À la ferme, presque tous les animaux s'entendaient bien. Seules Germaine et Lulu se disputaient souvent. Personne ne parvenait à les réconcilier. Lulu était une belle poule, dodue et coquette. Germaine était moche et toujours de mauvaise humeur. Et les choses ne s'arrangèrent pas avec le temps...
Voici un oeuf. Monsieur Loup voit l'oeuf. Il s'en lèche déjà les babines. Mais Madame Fouine a aussi vu l'oeuf. « C'est mon oeuf », dit le loup. « Ah bon ? Parce que vous couvez maintenant ? » demande la fouine...
Le Petit Chaperon Vert est une fille très sympathique, et courageuse. Elle n'a qu'une ennemie, cette sale menteuse de Petit Chaperon Rouge. La voici en chemin, elle traverse la forêt pour aller voir sa grand-mère, lui porter à manger et des médicaments. Tout se passe admirablement bien sauf que la grand-mère a un gros rhume. Oui, tout irait pour le mieux, même avec le loup qui rôde, s'il n'y avait pas cette andouille de vantarde de Chaperon Rouge.
Chaque fois que Guillaume et Gaspard se mettent à table, ça se termine par une dispute. Les frères veulent TOUS LES DEUX s’asseoir en face du jaguar accroché au mur. Comme c’est impossible, il y en a toujours un qui fait des histoires. Alors Maman s’agace, gronde, et finit par sauter sur la table au milieu des coquillettes en poussant de terribles rugissements. Il faut dire que Maman s’énerve souvent ces temps-ci ; Guillaume et Gaspard se demandent bien pourquoi…
Delphine Bournay a mis beaucoup d’elle-même dans ses histoires. La maman qui joue au bébé et réclame des frites, c’est elle ! La mère de famille excédée par ses deux garçons qui se battent pour s’asseoir à la même place à table, c’est encore elle !
« Ce livre est tellement fabriqué avec ma vie que je n’ai jamais imaginé l’illustrer différemment qu’avec une maman et ses deux garçons. » Au point qu’elle leur a donné les prénoms de ses deux fils, Guillaume et Gaspard…
À 1 h 30 du matin, sur la ligne 12 du métro, les souris de Montparnasse-Bienvenüe se réveillent et découvrent avec horreur que des bandits ont volé leurs provisions et entièrement dévasté le magasin de monsieur Trou des Halles. Les pillards ont laissé des traces... C'est Minie qui organise le plan de bataille contre les pires ennemis des souris du métro. Pires que le mégot qui brûle et le chewing-gum qui colle... LES RATS !
Lola a eu du mal à convaincre sa mère de lui acheter un tomatchou. Qu'est-ce que c'est que ce jouet au juste ? Et voilà qu'en plus il empêche Lola de dormir la nuit. Car le tomatchou complique la vie de tout le monde. Certes, il est mignon, surtout quand son coeur clignote de bonheur. Mais il est aussi très exigeant. Il a toujours envie de quelque chose. Et, à l'école, il provoque des bagarres dans la cour. Pas étonnant que la maîtresse le confisque...
Depuis qu’elle a été nommée chef des Pozzis, Léonce a mal à la tête. Sa mémoire est en désordre. Au moment de la transmission, Capone a parlé trop vite. Avant de disparaître, il a prononcé des mots que Léonce ne connaissait pas. Alors elle doute. Est-elle vraiment faite pour être chef des Pozzis ?
D’ailleurs, Ignace n’attend qu’un faux pas pour prendre sa place. Heureusement, Léonce peut compter sur l’aide d’Abel l’extralucideur et sur un curieux nuage rose en forme de Capone qui flotte dans le ciel. Forte de leur soutien, Léonce parviendra-t-elle à protéger les siens de la Spirale venue du Lailleurs qui menace le pays des Pozzis ?
Brigitte Smadja pense que nous sommes tous des Pozzis et des Lailleuriens. C’est que, depuis une balade en Corse, elle a changé d’univers pour créer un nouveau monde. Le sien. D’ailleurs elle le dit elle-même : Les Pozzis est son premier récit vraiment autobiographique. Elle raconte son histoire mais a pris un autre chemin qui grimpe, qui descend, et qui arrive à un paysage sous la forme d’un puzzle.
Un jour, Olivia passe la récréation au coin, près des poubelles. Mais ce n’est pas la maîtresse qui l’a punie, c’est Coralie, sa meilleure amie. Olivia est terrifiée. Si elle en parle à sa mère, celle-ci voudra savoir exactement ce qui s’est passé. C’est trop difficile. Comment lui expliquer le secret qui la lie à Coralie, comment lui faire admettre que les objets se transforment en monstres et que, la nuit, le lampadaire et la poupée complotent dans son dos ? Comment lui dire que, depuis qu’elle a deux maisons, rien n’est plus comme avant ?
Louise a neuf ans. Ses parents sont les gardiens d'une grande propriété entourée d'un parc. Louise n'a aucun ami mais elle a un ennemi, Lucien, le fils des propriétaires. Et un véritable ennemi, ça occupe autant qu'un meilleur ami. Lucien n'est là que pendant l'été et alors, pendant trois mois, c'est la guerre. L'été dernier, il est parti sur un coup d'éclat. Louise a eu toute l'année pour ruminer sa vengeance.
Elles s'appellent toutes les deux Astrid. Elles sont assises côte à côte en classe. L'une a l'air d'un ange avec ses cheveux parfaitement lisses et son cartable vernis rose. L'autre est timide, émotive et maladroite. L'une collectionne les bonnes notes, l'autre serait sans doute première si la maîtresse ne la rabrouait pas sans cesse. L'une semble parfaite, mais elle est capable d'une méchanceté inouïe. L'autre a désespérément envie d'avoir une amie. Dès le premier instant, un lien terrible se tisse entre elles.
Alima et Sidonie n'ont presque rien en commun. L'une est fille unique et vit dans une grande maison, l'autre habite dans un deux pièces avec neuf frères et soeurs. C'est peut-être parce qu'elles sont si différentes qu'elles s'adorent. Depuis le jour de la rentrée, elles ne se quittent plus. Mais parfois, ce sont de petites choses bêtes qui mettent en péril les grandes amitiés. De toutes petites choses ridicules, un cornet de frites, par exemple...
Rouge, Jaune, Noire et Blanche ont une cabane dans un arbre. Mais un jour, Rouge s'exclame : « Dorénavant, l'arbre est à moi, la cabane est à moi et tous les jouets aussi ! » Jaune, Noire et Blanche se regardent, incrédules. Et Noire sent monter en elle une terrible colère...