Thème « retour à la nature »
Voici Pippa dans les sous-bois où il aime observer les petites bêtes.
« Oh, c’est toi ! Bonjour libellule », s’exclame Pippa.
« Bonjour Pippa », répond libellule.
L’instant d’après, la voici partie.
« Au revoir ! » ou plutôt bonne nuit, car voici Pippa dans son lit. Après une histoire, il s’endort quand soudain : Crick crack, Crick crack.
Six enfants sur une île attendent sagement le retour de leurs parents qui sont partis faire les courses en bateau. La faim les titille et ils décident de trouver le meilleur endroit de l’île pour pêcher. Maxime sera le chef. Les autres suivent plus ou moins... Puis, tout le monde se retrouve pour écouter le bruit du vent et regarder passer les nuages… avant les bonnes crêpes du soir !
Loula a construit sa cabane tout au fond du verger, dans les bras d'un vieux pommier. Son petit nid terminé, elle dresse la table pour le goûter. Mais qui sera son premier invité ? « A quoi sert une cabane sans personne pour la partager ? » songe Loula en regardant les nuages passer.
C’est bientôt l’été. Killiok se lève et pense à la journée qui s’étend devant lui. Il fait beau, il boit son café dehors. Une terrasse devant la maison serait vraiment bien. Pendant de longues heures, Killiok trace des plans. Puis le Chat Mystère arrive en barque et ils discutent. À l’heure du coucher, Killiok se glisse sous sa couette, heureux et tranquille.
Chaque jour, la famille Vasylenko brave la nature sauvage à la recherche d’aventure. Et chaque jour, Oktobre préfère se plonger dans les livres. À la différence de ses onze frères et soeurs, il a une peur terrible de la nature sauvage. Ses parents lui expliquent qu’elle n’est pas un monstre : c’est une expression, un endroit, une émotion. Pour Oktobre, ça sera une rencontre.
Des petits poèmes ou autant de lieux de rendez-vous avec nous-mêmes et le monde. Des poèmes pour nager vers le fond des choses, pour goûter la vie comme un goûter, pour arrêter de râler, pour voyager dans un millimètre ou pour ralentir, car « un poème, à la fois, ce n’est pas grand-chose et tout l’univers. »