Thème « religions »

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Médium / 9782211072250 / 7.10 € / Disponible

"Pourquoi la beauté ne fait-elle pas partie des droits de l'homme ?" se demande Hoch, ainsi surnommée à cause de sa taille imposante. Et comment faire pour supporter les journées qui se ressemblent toutes, quand on ne rêve que d'amour absolu et de feux d'artifice ? Hoch, la narratrice de cette histoire presque vraie, est une guerrière douce, émotive, convaincue du triomphe ultime de la vérité et de la raison dans un monde violent, masculin et injuste. Ce livre raconte ses combats et ses amours, l'entrée dans le jazz-band du lycée, une fugue, des déboires et des merveilles, avec une émotion communicative et pudique, une inlassable passion de vivre.

Médium / 9782211064569 / 10.50 € / Disponible

Un mazal, dans la tradition juive, c'est un ange gardien chargé de plaider la cause de son protégé auprès de l'Éternel. Tout le monde en possède un. Sauf les animaux. Même les filles. Même Elvina la rebelle. Qui pense qu'elle en a besoin, plus qu'une autre. Car Elvina adore lire, écrire et étudier comme les garçons. Et déteste « couver » les œufs et obéir comme les filles. Elle serait tout à fait à son aise au début du XXIe siècle. Le problème, c'est que nous sommes à la fin du XIe, époque guère féministe où Pierre l'Ermite prend la tête de la première Croisade et sillonne la campagne française avec ses troupes à la recherche de nourriture. Il paraît qu'il hait les Juifs. La famille d'Elvina est sur le qui-vive. Un jour qu'elle est seule à la maison, trois étrangers frappent à la porte, et Elvina qui ne doit pas ouvrir leur ouvre...
Retrouvez Elvina dans Le Miroir d'Elvina (épisode 2) et Elvina et la fille du roi Salomon (épisode 3). Au secours, Mazal !

M + / 9782211230476 / 15.00 € / Disponible

Papi Sergeï, un ancien soldat devenu aujourd'hui un vieil homme aveugle, et Janek, un garçon juif placé sous sa protection, effectuent un long voyage. En toile de fond, la Seconde Guerre mondiale qui fait rage. Les deux compagnons vont de village en village pour mendier et luttent pour leur survie.

« Ce couple de héros peut faire penser, bien sûr, à une variation sur le thème “Le vieil homme et l'enfant”. On pense beaucoup aussi à La Route, de Cormac McCarthy, pour la profondeur et la simplicité du texte, des dialogues, pour sa situation apocalyptique, pour ce lien de confiance entre un homme et un enfant, dans un monde barbare. » Valérie Zenatti, traductrice des romans d'Aharon Appelfeld

M + / 9782211324069 / Disponible

À la fin de sa seconde, Zako est réorienté en section professionnelle et se retrouve dans un lycée du Jura en menuiserie. Dégoûté, loin de chez lui, il a d’abord du mal à trouver sa place et doit affronter des blagues sur son accent de banlieue, sa couleur de peau. Mais il va peu à peu prendre goût au travail du bois et s’y épanouir. Aimée descend à Marseille pour passer les détections dans un centre d’entrainement de foot féminin. La maladie de sa mère va contrarier ses plans. Va-t-elle devoir sacrifier sa carrière pour s’occuper de sa petite sœur ?

M+ poche / 9782211222419 / 7.00 € / Disponible

Prix Nobel de littérature en 1978 « pour son art de conteur enthousiaste qui prend racine dans la culture et les traditions judéo-polonaises et ressuscite l’universalité de la condition humaine ».
 

M + / 9782211087650 / 10.00 € / Disponible

« - Non... souffla mon père. Non, monsieur Lagneau. Je ne veux pas de supplément. Je... je ne veux pas d'argent du tout.
M. Lagneau lui jeta un regard vif et curieux. Leurs yeux se croisèrent. Dans ceux de M. Lagneau, mon père ne vit rien qui pouvait lui faciliter les choses. Mais il ne vit rien qui pouvait lui nuire non plus. Il toussa pour gagner du temps. La petite alarme restait muette. Eugène nota seulement que, devant la cheminée éteinte, le mannequin était légèrement tordu en avant sur son socle, comme sur le point de prendre ses jambes à son cou. Il jeta son premier dé. Histoire de tâter Dame Chance par le pouls :
- J'aurais besoin, dit-il très lentement, de refaire mes papiers. Les miens et ceux de ma famille.
M. Lagneau se tourna vers le mannequin, le dévisagea, l'air de vouloir s'assurer que ce n'était vraiment personne. Il revint à mon père et demanda tout bas :
- Vous êtes français, monsieur Eugène ?
- Français, oui. J'ai mon décret de naturalisation.
Le secrétaire de mairie se pencha, et, toujours chuchotant :
- Eh bien, donc ? Pourquoi les refaire, ces papiers ? Vous n'êtes pas en règle avec les actuels ?
- Si, si. Il nous faudrait la même chose, les mêmes papiers. Exactement. La même carte d'identité pour ma femme. La même pour ma fille Madeleine. Et pour mon fils André. Et le petit Charly. Oui, tout, tout pareil... Mais sans le tampon.
M. Lagneau tapota le sol du bout du pied. Mon père glissa le pouce dans sa bretelle et, à cet homme dont il ignorait tout, hormis son tour de taille, son air aimable, et qu'il travaillait pour un maire désigné par Pétain, il répéta :
- Les mêmes. Sans le tampon « Juif » dessus.
Il leva la tête et chercha anxieusement quelque chose dans le regard du secrétaire de mairie. Quelque chose qui lui dirait qu'il ne venait pas de précipiter sa famille et lui-même droit sur la route du camp de concentration ou du peloton d'exécution. »

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