Thème « religion »
Dans l'arche de Noé, il y a deux pingouins, deux léopards, deux koalas, deux petits singes, deux serpents, deux jolies girafes, deux gros éléphants...
Un livre de bain en accordéon, qui peut se transformer en petit paysage de baignoire... et qui ne parle pas que d'eau !
Une belle histoire de complicité entre un savant et un chat dans la quiétude d’un monastère…
La Bible pour les tout-petits, on en a rêvé ! Soledad Bravi l’a fait ! Une approche nouvelle très ludique, pleine d’humour et de simplicité.
Par une froide nuit d'hiver, sous un ciel étoilé, Gentil Boeuf accueille dans la chaleur de son étable un vieux chien, un chat errant, une souris grise, et même un âne fourbu avec son précieux chargement...
L'histoire de la nativité, revue et racontée par l'auteur de Bébés Chouettes, avec de sublimes illustrations de Jason Cockcroft.
Adam et Ève sont les meilleurs amis du monde. Dans leur jardin extraordinaire, en mangeant leur pomme chaque jour, pour le goûter, ils font des projets: quand il sera grand, Adam sera pâtissier. Ève dégustera toutes ses créations. Hélas, quelqu’un espionne leur conversation. C’est Nahash le serpent. Personne ne l’aime, il n’a pas d’amis. Il est jaloux d’Adam et Ève. Il a décidé de les séparer. Un jour, le voilà qui offre à Ève un gâteau rien que pour filles. Pour l’empêcher de le partager avec Adam…
Amoila vit avec sa maman près d’un village du Haut-Pays. Et pendant que sa maman tisse, tisse, tisse, Amoila s’ennuie. Un matin, sa mère l’envoie au village, mais soudain, une ombre arrive. Deux ailes géantes… C’est le grand calao. « Debout, paresseux ! Il paraît que tu t’ennuies. Va au marché me chercher la Douceur, et rapporte-la-moi avant ce soir. Sinon, je t’envoie Yagana la hyène. »
En Lorraine, il existe une fête qui ressemble à Halloween et s’appelle la Nuit des sorcières. Ce soir-là, les enfants sortent pour jouer des (mauvais) tours et faire des (sales) blagues à leurs familles, proches et voisins. Cette année, Mathilde et sa bande sont inscrits au catéchisme pour préparer leur première communion avec Cathy la catho, une dame spéciale, marrante et enthousiaste. Elle leur lit la Bible, belle comme un poème. Elle les emmène en forêt parler aux arbres plutôt qu’à la messe. Et surtout, elle leur enseigne que toutes les religions, toutes les croyances ont une devise en commun : « Ne fais pas à autrui ce que tu n’aimerais pas qu’il te fasse. » Alors, la Nuit des sorcières et ce conseil sont-ils compatibles ? Non. Il va falloir trouver une solution…
Le petit homme et Dieu marchent côte à côte sur le chemin : « Vous êtes Dieu ! Le Dieu ? Je ne vous imaginais pas du tout comme ça ! »
« Tu imaginais Dieu comment ? » demande Dieu.
« Grand, vieux, avec une longue barbe blanche, un air sévère, une tunique bleue, mais les mains derrière le dos tout comme toi ! »
Et Dieu part d’un grand éclat de rire, ho ho ho ! Le petit homme propose à Dieu de venir manger une omelette chez lui. Mais Dieu ne sait pas ce que c’est…
Dans le monastère de l'Himalaya où vit Nima, c'est la catastrophe. La grande fontaine, seul point d'eau des moines, est à sec ! Que faire ? Le Grand Lama lui confie une mission. Avec Jumpa le yack, il doit se rendre à la source de la Roche Percée et y remplir des outres. Nima se met en route, muni des bénédictions de son supérieur et d'une parole de Bouddha : "Celui qui est maître de lui-même est plus grand que celui qui est maître du monde."
Le jour où Sann est né, son village a été enseveli sous les éboulis : la montagne s’est écroulée. Tous les habitants ont fui. Tous, sauf sa famille. La mère de Sann l’emmène souvent quand elle va travailler dur dans les petits champs restés cultivables. Que de souffrance ! Sann décide de l’aider en débarrassant son village des grosses pierres, l’une après l’autre. Un jour, Sann rencontre un vieil ermite et lui confie son projet. Sa détermination est si grande que, sans ricaner, sans se moquer, l’ermite décide de l’aider.
Asha parle hindi avec ses parents. Mais depuis toujours, les animaux parlent à Asha et elle leur répond. Un jour, une étrange maladie envahit la ville de Chandigarh. Elle vient d’une race inconnue de moustiques. Rien ne peut guérir de ce poison. Le maharadjah s’est fait piquer. Et voilà que vient le tour du père d’Asha. « Je le jure : je te guérirai, Papa. Je trouverai ce remède, les animaux m’aideront. »
Sept enfants, au moins, se rendent aux funérailles d’un petit oiseau. Ils sont graves. Pour lui, ils ont inventé une cérémonie. Lorsqu’elle s’achève, assis près de la tombe, ils ne disent rien encore, le silence s’installe, et avec lui, le grand mystère. Comment parler de ce que l’on ignore, de ce que l’on ne voit pas, de ce que l’on n’entend pas, de ce qui n’a même pas de nom ? Un enfant se lance, il ose. Puis un autre. Chacun a son avis. Chacun respecte l’avis de l’autre. Enfin, presque.
Uno — PAS D’YEUX.
Gus — Pas d’yeux ?
Acar — On dit pas d’oeil.
Uno — Le mien c’est : pas d’yeux. Pas d’yeux et pas d’paupières.
Gus — Il est aveugle ?
Uno — L’a pas besoin d’yeux. Y voit sans. Y voit tout.
Siran — Mais comment y fait pour dormir ?
Uno — Y fait semblant.
Deux auteurs nous racontent la Bible : Philippe Dumas avec ses illustrations poétiques, André Roux avec des mots simples et justes.
Un hiver, le père de Philippe Dumas est mort. Il n'est pas parti en voyage, il ne nous a pas quittés, il n'a pas disparu. Il est mort. Et sa mort n'est pas un accident à taire, à passer sous silence, à étouffer, parce qu'en parler c'est tout simplement pouvoir mieux vivre et trouver des réponses à nos questions : Qu'est-ce que ça veut dire mourir ? Comment cela se passe-t-il ? Y a-t-il quelque chose après ? En parler, c'est aussi accepter que sa mort fasse partie de sa vie même et de ses tourbillons, exactement comme l'avait été sa naissance dans une fratrie nombreuse et la saveur des dragées d'alors. Ou ses bêtises d'enfants, ses récompenses d'adolescent, l'horreur de la Grande Guerre mais aussi la douceur des sentiments. Ou la saveur des dragées à la naissance de ses enfants et de ses petits-enfants. Ou sa maladie et les pansements des souvenirs. En parler, c'est faire fuir la peur qui se nourrit de silence et d'omissions. Comprendre que chacun doit trouver ses réponses, ne rien attendre ou tout espérer de l'après et, surtout, vivre intensément.
Au cours de ces quatorze petites histoires, vous êtes chaque fois conviés à rivaliser d’intelligence avec le héros ou l’héroïne. Vous pouvez être pris au piège… Rappelez-vous que vous devez être vifs et vives, et prendre des décisions rapides et sages, « debout sur un pied » !
Salah a des copains, des frères et soeurs, des camarades, de la famille en Algérie, mais pas d'amis. Il a le téléphone, mais personne à appeler. Il a un annuaire, mais tous ces noms d'inconnus rangés par villes et par ordre alphabétique lui donnent le vertige. Pourtant il meurt d'envie de décrocher le combiné, de faire tourner le cadran avec ses doigts, de dire « Allô ? » et d'entendre une voix lui répondre. Ce sera son premier coup de fil. Et peut-être son premier ami. Quand enfin il se jette à l'eau et compose un numéro pris au hasard dans l'annuaire, c'est une fille qui lui répond. Elle est en CM2 comme lui. Elle s'appelle Sarah. Elle est juive. Une seule lettre de différence entre leurs deux prénoms. Des siècles d'histoire, de culture et de religion de différence entre leurs deux peuples. Et si la solution, c'était de se parler ? Se raconter des secrets, se conseiller des lectures, se confier ses passions, ses questions, ses soucis ? « Le téléphone vous accepte tel que vous êtes. » Il n'y a pas que lui. L'amitié aussi.