Thème « relation avec le père »
Depuis que Maman est parti vendre des crêpes au Japon, Papa est tout le temps très fatigué et Rebecca doit jouer toute seule. Mais Caillou le chat lui parle du tilleul immense, là-bas, de l’autre côté de la Colline-aux-Renards-Bleus et de ses fleurs magiques. Si Papa en boit une tisane, alors il ne sera plus jamais fatigué ! Alors Rebecca et Caillou s’élancent sur le chemin et partent à l’aventure.
Comment devient-on une princesse ? En général, il suffit de naître dans une famille royale. Comme son père n'est pas roi, Prune n'a que peu de chances de devenir un jour une princesse, et cela la met très en colère. Elle trouve que c'est une injustice grave. Heureusement, son père pense comme elle, il trouve que c'est vraiment trop moche et décide de combattre l'injustice. Il s'engage à faire de Prune la première princesse de Monaco née à Créteil. Il établit pour elle un programme très sérieux, en cinq points. Premièrement : pour devenir une princesse, Prune doit absolument jouer au tennis, même si elle ne dispose pour cela que d'une poêle à crêpes...
Un jour, Olivia passe la récréation au coin, près des poubelles. Mais ce n’est pas la maîtresse qui l’a punie, c’est Coralie, sa meilleure amie. Olivia est terrifiée. Si elle en parle à sa mère, celle-ci voudra savoir exactement ce qui s’est passé. C’est trop difficile. Comment lui expliquer le secret qui la lie à Coralie, comment lui faire admettre que les objets se transforment en monstres et que, la nuit, le lampadaire et la poupée complotent dans son dos ? Comment lui dire que, depuis qu’elle a deux maisons, rien n’est plus comme avant ?
Lorsque le roi Gustave Premier décide qu'il est temps de prendre un successeur, il pense tout naturellement à son fils Gustave bébé. Or Gustave bébé ne veut pas devenir roi. La reine a alors une merveilleuse idée : organiser un concours pour trouver le futur roi. Chaque homme du royaume a le droit de tenter sa chance. Mais attention, les concours de roi ne sont pas si faciles, et Gustave bébé adore les concours...
Manon aime regarder le grand sourire d'Anton et ses yeux de diable. Mais elle trouve aussi Fabien vraiment joli avec ses cheveux coupés trop courts et son épi dans la nuque. Et puis surtout Fabien est le seul garçon qui se laisse embrasser sur la bouche. Entre Anton et Fabien, Manon pourrait passer de bonnes vacances. Seulement un jour, Anton demande à Manon de choisir entre lui et Fabien. Une demande égoïste et difficile, pense Manon. Une demande qui prouve surtout qu'on ne comprend jamais les autres et vice versa !
Retrouvez Anton dans « Zéro de lecture » et « M'aimer ».
Dunne passe les grandes vacances avec sa meilleure amie Ella Frida, sur une île. Elles construisent des cabanes, se baignent, pêchent, observent les animaux sauvages, se baignent encore... Son papa n’est pas là, obligé de rester à l’hôpital à cause de son accident. Il l’appelle tous les jours, alors ça va. Un soir pourtant, le téléphone ne sonne pas. Dunne est inquiète. Heureusement, Ella Frida a toujours de bonnes idées. En plus, elles découvrent qu’une surprise les attend. Mais les surprises, il y en a qui font plaisir et d’autres pas du tout.
Au rayon peluches du grand magasin, il y a des piles de girafes, des centaines d’ours blancs ou bruns, des lions, des phoques, et un mogwaï aux yeux tendres, brillants, un mogwaï irrésistible.
Marion passe la main dans la fourrure du mogwaï.
Elle pourrait revenir lundi, pour l’acheter avec son argent du mois. Mais elle est sûre que quelqu’un va venir dans les cinq minutes et l’emporter. Elle ramasse le sac avec la jupe et y fourre le mogwaï. Elle en a presque un arrêt cardiaque mais il n’y a aucun problème. Aucun problème jusqu’au retour à la maison…
« Céline cherche un gardien des yeux. Mais il n’y a que des montagnes de peluches. Des girafes, des lions, des marsupilamis, des chats, des lamas, des chiens. Et, entre deux ours bruns, un mogwaï. De longs poils blancs retombent sur son petit nez retroussé. Il a de gros yeux tendres et brillants. Deux grandes oreilles roses s’échappent de sa fourrure comme des antennes. Marion est certaine que jamais, jamais, il n’a existé de peluche plus adorable. Ce mogwaï est unique et il est là pour elle. »
Jingo attend depuis sept ans que son père vienne le chercher dans cet horrible Orphelinat de Bienfaisance de Brooklyn où il l'a laissé après la mort de sa mère. Il se souvient encore de lui. Son père a les dents gâtées et il est unijambiste. Mais Jingo l'aime quand même et il est prêt à tout pour le retrouver. Aussi, quand un gentleman étrange du nom de Peacock se présente à l'orphelinat et demande à l'emmener au motif qu'il est son père, Jingo n'est pas dupe mais il est heureux. Heureux d'échapper à l'esclavage du ramonage pour le compte de l'horrible général Gueule-Noire. Cette grande carcasse de Peacock a les mèches tombantes et l'air chiffonné, mais ses dents sont blanches et ses jambes sont deux. C'est un drôle de bonhomme, grand seigneur et fauché, fantasque et réfléchi, qui peint des portraits sans visage et laisse sur la route, derrière sa carriole déglinguée, des signes mystérieux à l'intention des Tsiganes. D'ailleurs il rebaptise dorénavant Jingo d'un nom tsigane : Django. Lui-même a une demi-douzaine de noms en réserve : Mr Peacock, Mr Hemlock, Mr Jones, artiste extraordinaire, Mr Portos d'Épinglas... Qui est-il ? Que cache-t-il ? Pourquoi recherche-t-il lui aussi le père de Jingo ? Pourquoi garde-t-il le silence quand on lui pose certaines questions ? Au bout de quelques jours de route en sa compagnie, Jingo Django est séduit et impressionné au point de confier à son bizarre ami son propre secret : il ne sait pas où est son père, contrairement à ce qu'il lui a dit au début. Et s'il l'a entraîné à la frontière du Mexique, c'est à la recherche d'un trésor. Un trésor que la patronne de l'orphelinat et son complice, le général Gueule-Noire, convoitent aussi...
Un livre palpitant où l'amitié entre un jeune garçon et un adulte mystérieux est aussi passionnante que les péripéties les plus rocambolesques.
Mon père dit qu’on va saluer Grand-Père Charles. Ça veut dire qu’on va au cimetière. Il est mort avant ma naissance, je ne l’ai jamais connu. Quand même, j’aime bien discuter avec lui, mentalement. Sur sa tombe, il y a ce chat trop mignon, un peu bizarre aussi. À 8 ans, on ne croit plus aux fantômes. En tout cas moi, je n’y crois pas. Alors quand je découvre mon grand-père dans ma chambre, au milieu de la nuit, je n’ai pas peur, je suis surtout très curieuse...
Jusqu'à hier 17h00, j'étais une fée du logis. Pas évident pour un garçon, mais quand on a un papa qui perd régulièrement ses boutons et qui serait du genre à faire cuire des pâtes sans eau, il faut bien faire un effort. Seulement, il y a des limites. Si vous voulez tout savoir, j'en ai assez de vivre seul avec un savant fou, qui est capable de mettre le feu à la cuisine, tout en oubliant d'éteindre le robinet de la baignoire. Heureusement, ma copine Elsa a eu une idée géniale. « C'est une femme qu'il lui faut ! » m'a-t-elle dit. Elle a raison, mais comment savoir quelle femme pourra tomber amoureuse de mon père ? Elsa a réponse à tout : « Si une femme attrape les joues roses à cause de ton père, c'est qu'elle est prête à l'épouser, » m'a-t-elle répondu. Il paraît que l'amour fait rougir. Il ne nous reste donc plus qu'à trouver les joues roses et la dame qui va avec.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué...
Parce que son père vétérinaire a accepté un poste dans une réserve naturelle, Romain quitte ses amis, le bitume, les trottoirs parisiens sur lesquelles il aime tant slalomer en rollers. À peine débarqué dans le parc de la Vanoise, il ne pense qu'à repartir. Mais une série d'incidents le détourne de son projet. On a retrouvé des bêtes égorgées dans le parc et les éleveurs accusent les loups. Seule Mia, la fille d'un voisin, est convaincue que les loups n'y sont pour rien. Elle est végétarienne, passionnée d'animaux et dotée d'un sale caractère. Bizarrement, depuis qu'il l'a rencontrée, Romain a moins envie de retourner vivre à Paris…
Souvenez-vous. Nous avions laissé Verte, l’apprentie sorcière rebelle, rayonnante. Entourée de femmes, comme depuis toujours : sa mère Ursule et sa grand-mère Anastabotte. Mais aussi, c’était nouveau pour elle, d’hommes : Soufi, le garçon de sa classe grâce à qui elle avait retrouvé son père, et celui-ci, Gérard, l’entraîneur de foot.
Les choses pourraient être simples désormais.
Et bien sûr, elles ne le seront pas. Car Soufi déménage et Gérard a un père, lui aussi : Raymond, un ancien commissaire de police. Verte pleure, Verte rit, Verte est très entourée soudain et pourtant elle se sent seule. Heureusement, une fille vient d’emménager avec sa mère dans le bâtiment B. C’est Pome.
Verte se dit que c’est un nom parfait pour une alter ego, une future meilleure amie, une pareille en tout. En tout ? Même en sorcellerie ?
À onze ans, la petite Verte ne montre toujours aucun talent pour la sorcellerie. Pire que cela, elle dit qu'elle veut être quelqu'un de normal et se marier. Elle semble aussi s'intéresser aux garçons de sa classe et ne cache pas son dégoût lorsqu'elle voit mijoter un brouet destiné à empoisonner le chien des voisins. Sa mère, Ursule, est consternée. C'est si important pour une sorcière de transmettre le métier à sa fille. En dernier ressort, elle décide de confier Verte une journée par semaine à sa grand-mère, Anastabotte, puisqu'elles ont l'air de si bien s'entendre. Dès la première séance, les résultats sont excellents. On peut même dire qu'ils dépassent les espérances d'Ursule. Un peu trop, peut-être.
Lorsque la Grande Dépression lui prend presque tout ce qu’elle possède, la famille d’Ellie est contrainte de quitter sa maison en ville et de recommencer à zéro, au coeur des forêts sauvages de la toute proche montagne aux échos. Là-bas, Ellie se découvre un profond amour pour la nature. Surtout, elle y retrouve une force et une liberté plus que bienvenues, après qu’un accident a laissé son père dans le coma. Déterminée à ramener son père parmi les vivants, la jeune fille se lance dans une expédition pour rejoindre le sommet de la montagne. Une femme y vivrait. Surnommée « la sorcière », elle posséderait d’extraordinaires secrets de guérison. Mais la sorcière et la montagne ont encore beaucoup d’histoires à révéler à Ellie. Et, avec elles, une nouvelle chance de bonheur.
Cette année, Miranda Hilliard a besoin de quelqu'un pour s'occuper de ses trois enfants, Lydia, Christopher et Natalie, et de la maison. Pourquoi pas moi ? propose Daniel, son ex-mari, un acteur au chômage. Pas question, réplique Miranda. Elle veut une personne de confiance, quelqu'un de solide, avec des principes et sans aucune fantaisie. Tout le contraire, pense-t-elle, de Daniel. Alors arrive Madame Doubtfire. Une vraie perle. Du moins en apparence. Car un père acteur peut être prêt à tout, et même à se déguiser en gouvernante poudrée pour être avec ses enfants. Mais comment va-t-il faire pour n'éveiller les soupçons ni de ses enfants ni de Miranda ?
On comprend que le projet mirifique de Daniel Hilliard ait enthousiasmé Robin Williams, sa femme Marsha et leurs enfants et que Madame Doubtfire soit devenu un film de Chris Columbus.















