Thème « relation avec la mère »
Pascaline et sa maman vont faire des courses au supermarché du grand chêne. Sucettes à la limace, grillons-chips, vernis fluo pour les ailes, Pascaline veut tout, mais Maman dit non : trop sucré, trop gras, trop cher. À force de baver d’envie, la pipistrelle devient gluante et visqueuse et un merle la prend pour une proie… Au cours de son aventure, elle va découvrir que le top du top... c’est relatif.
Ma maman est un vrai bébé ! Elle a peur de tout, elle veut tout savoir, si j'ai faim, si j'ai chaud... Il faut tout le temps jouer avec elle et lui faire des calins. Heureusement, entre bébés, on s'entend bien !
Soixante-treize, c'est le nombre d'enfants dans la famille Quichon. Il y a Gaëtan Quichon, qui a des démêlés avec un cauchemar, et Philippe Quichon qui désire voler. Il y a aussi Diane Quichon, Paolo Quichon, la petite Cléo Quichon etc... ne vous inquiétez pas, bientôt vous les connaîtrez tous. Évidemment, soixante-treize enfants, c'est parfois un peu compliqué pour les parents. Il arrive que Maman Quichon ait du mal à les coucher, par exemple. Il arrive même qu'elle soit obligée de se fâcher. Mais quand vos soixante-treize petits cochons vous font un bisou tous en même temps, vous ne regrettez sûrement pas d'être mère.
Aujourd’hui Simon et son petit frère Gaspard vont faire les courses avec leur mère au supermarché. Maman a été très claire : on achète à manger, et rien d’autre.
Les deux lapins font quelques tentatives devant les bonbons, les cartes Kikojun et les peluches Bloubiga : « Moi veux ça ! » Inflexible, Maman emplit son caddie de bons légumes, quand, tout à coup, elle aussi se met à hurler comme une folle…
Titou vit seul avec sa maman, Brigitte, et il est très heureux comme ça. Mais Brigitte se met en tête que Titou a besoin d’un père, et elle part à sa recherche. Un peu n’importe comment, il faut le reconnaître… Elle se demande si un asticot, un cheval ou un vieux grigou de hibou feraient l’affaire… Non ! Pourtant, un jour, Brigitte tombe sous le charme d’un oiseau, comme elle. Il est grand, il est beau, il sent bon le maïs chaud, et là, finies les questions : c’est lui !
Il neige. Petit Ours a froid et il n'a, dit-il, rien à se mettre. Sa maman lui donne un chapeau, un manteau, un pantalon bien chaud, mais ce que voudrait Petit Ours, c'est un manteau... de fourrure ! Voici la première histoire de Petit Ours, l'ami des enfants auxquels il ressemble tant.
Ce matin, Salomé n'est pas encore coiffée. Sa maman voudrait bien lui faire une jolie coiffure. Mais laquelle ? Salomé devra choisir : petits choux, pompons ou bête à mille pattes. Comment arranger ses cheveux ?
Tous les matins c'est la même chose, et Maman rouspète : « Rosalie, réveille-toi ! » « Rosalie, bois ton lait ! » « Rosalie, habille-toi ! »
Maman en a assez de rouspéter. Ce matin, elle est partie en laissant là sa fille chérie. Pas de panique, se dit Rosalie : un t-shirt, des chaussettes, des chaussures, une jupe... Et la voilà qui court vite, très vite, à l'école. Mais en s'habillant, elle a juste oublié un petit quelque chose. Maman aussi a oublié un petit quelque chose, un petit quelque chose de très important. Alors elle court, elle aussi, vite, très vite, à l'école.
Demain, sûrement, tout ira mieux : Maman n'oubliera pas d'embrasser sa fille chérie. Rosalie pensera à mettre une culotte. Et puis demain, il y aura vraiment école. Parce qu'aujourd'hui, c'est mercredi !
Pour convaincre Antoine d’aller dormir, maman doit trouver des arguments imparables !
Pourquoi aller au lit ? Parce que tout le monde le fait.
Et brosser les dents, mettre son pyjama, écouter une histoire ? Oui, ça aussi, tout le monde y passe. Même le soleil et la lune ? Oui !
Antoine multiplie les questions pour retarder le moment de fermer l’oeil, tant et si bien que sa maman commence à fatiguer…
Rien ne va, ce matin, dans la vie de Tristan Quichon. Tout l’ennuie. Faire son lit ? Bof, ce soir il faudra le défaire. Se lever ? Bof, il faudra bien se recoucher tôt ou tard. Se laver les mains ? Bof, tout ça pour qu’elles se resalissent aussitôt. Il va falloir des trésors de persuasion et de tendresse à Maman Quichon pour consoler ce pauvre petit Tristan et le convaincre d’avaler une crêpe au sucre, comme ses 72 soixante-douze frères et soeurs…
Par cette belle nuit de lune, voici trois petits chatons qui ont envie de tout... sauf de dormir. Envie de sortir, de ramasser des bâtons dans la forêt, de monter dans une barque, de prendre la mer, d’escalader le Piton-Pointu de l’île déserte, de braver tous les dangers ! Et leur maman, que dit-elle de tout cela ? Rien. Elle veille. De l’autre côté de la porte de la chambre, elle se tient prête à bondir. En cas de besoin.
Ce n'est pas facile d'être le grand frère d'un petit phoque curieux, surtout quand on est chargé de veiller sur lui. Yek Yek veut absolument aller au bord de la banquise et Wak Wak a bien du mal à l'en empêcher. C'est pourtant une chose que Maman a formellement défendue. Au bord de la banquise, on peut voir les bœufs musqués avec leurs énormes manteaux, on peut écouter les baleines chanter et admirer leurs puissants geysers. On peut aussi se faire dévorer par un orque. Pour eux, les petits phoques sont de véritables friandises...
Capitaine Maman est la plus célèbre archéologue du monde… Et, un jour, alors qu’elle explore le fond de la mer, voilà qu’elle trouve la tête perdue de l’antique Reine de Pierre. Quelle découverte ! Maintenant, il va falloir la remonter à la surface. Et justement, ce jour-là, les trois petits de Capitaine Maman ont séché l’école pour venir jouer les passagers clandestins sur le bateau. Quand Capitaine Maman s’en aperçoit, elle est très fâchée… Elle a tort. Car certains jours, même les plus admirables des mamans ont besoin d’aide, quand, par exemple, elles se retrouvent en difficulté à cause de l’explosion sous-marine d’un aspirateur à sable !
Avec tout son équipage, Capitaine Maman part tester un nouveau sous-marin dans un pays lointain, au fond du lac le plus profond du monde. À l’heure du goûter, le chiot rapporte un bel os. Il l’a trouvé en déterrant un squelette… et un trésor. Vite ! L’archéologue en chef Capitaine Maman installe un chantier de fouilles dans les règles de l’art. Et elle va de découverte en découverte…
Parents compliqués, parents lourds, parents fatigants, parents radins, parents collants, parents grognonnants, dégoulibavants, bavardissants, crottedenazants, mangepropremants, pas marrants… Qui n’a pas rêvé un jour d’échanger ses parents ? Avec ce catalogue, tout est possible ! Nouveaux parents garantis, options multiples. Il suffit de feuilleter, de compulser, de choisir, de remplir le bon de commande et hop ! En moins de quarante Tuiteures, des parents neufs sont livrés chez toi, et les anciens emportés !
Claude Ponti vous propose d’échanger vos parents contre ceux de ce catalogue, mais, point important, pendant ce temps vos parents d’origine sont soignés, entretenus, et rendus en état dès que vous êtes lassés des nouveaux parents.
Nota bene : les parents n’ont pas de prix. Ni de nombre immuable. On peut échanger un ou deux parents contre un, deux, cinq, voire trente parents…
Au supermarché L’Enfant Roi, on trouve un très vaste choix. Un choix de quoi ? De vêtements, de friandises, de jouets pour enfants ?
Pas du tout. Un choix d’enfants pour parents exigeants. Tailles, caractères, dons variés, on trouve de tout. Même des enfants parfaits. Et, effectivement, au fil des jours, l’enfant acheté par M. et Mme Dupré se révèle sage, raisonnable, poli, propre et calme, souriant, intelligent. Parfait, c’est le mot. Le seul problème, c’est qu’il se met à exiger des parents… comme lui.