Thème « relation avec la mère »
Un petit prince est né. Quel bonheur ! Pour Théophile, rien n'est trop beau. On l'installe dans la plus jolie chambre du palais. On engage pour lui les meilleurs serviteurs. On lui offre tous les jouets dont il peut rêver... Pourtant, Théophile n'a pas l'air content. Il dit toujours non et ne sourit jamais...
Il fait froid dehors. Près du feu, Maman berce doucement Bébé. Mais la neige se met à tomber et c'est un vent de magie qui souffle sur la paisible soirée.
Ce matin, Salomé n'est pas encore coiffée. Sa maman voudrait bien lui faire une jolie coiffure. Mais laquelle ? Salomé devra choisir : petits choux, pompons ou bête à mille pattes. Comment arranger ses cheveux ?
Maman Ourse et ses deux petits profitent du parc, quand Alfie Ours interroge sa maman: «Est-ce qu’il y a d’autres ours comme moi ?» «Pas comme toi, non. Il y a toi, il y a moi, avec ta sœur, ça fait trois, mais il n’y a pas deux ours comme toi. De la pointe de ton museau à l’extrémité de tes pattes, il n’y a pas deux ours comme toi. C’est la vérité, crois-moi !»
Tous les matins c'est la même chose, et Maman rouspète : « Rosalie, réveille-toi ! » « Rosalie, bois ton lait ! » « Rosalie, habille-toi ! »
Maman en a assez de rouspéter. Ce matin, elle est partie en laissant là sa fille chérie. Pas de panique, se dit Rosalie : un t-shirt, des chaussettes, des chaussures, une jupe... Et la voilà qui court vite, très vite, à l'école. Mais en s'habillant, elle a juste oublié un petit quelque chose. Maman aussi a oublié un petit quelque chose, un petit quelque chose de très important. Alors elle court, elle aussi, vite, très vite, à l'école.
Demain, sûrement, tout ira mieux : Maman n'oubliera pas d'embrasser sa fille chérie. Rosalie pensera à mettre une culotte. Et puis demain, il y aura vraiment école. Parce qu'aujourd'hui, c'est mercredi !
Maman a beau dire qu'elle ne sait pas inventer des histoires, Salomé insiste tant et tant que sa maman finira par céder... pour le bonheur de qui ?
« C’est quoi, l’amour ? », demande Alfie à Maman Ourse. « L’amour c’est plein de choses. Il est ici et il est là-bas. On le trouve partout. » Alfie va découvrir avec son petit frère que l’amour c’est le bonheur et le partage, qu’il peut faire peur ou rendre triste mais qu’il peut aussi résonner dans le rire des amis et dans la nature. L’amour c’est tellement de choses.
Pour convaincre Antoine d’aller dormir, maman doit trouver des arguments imparables !
Pourquoi aller au lit ? Parce que tout le monde le fait.
Et brosser les dents, mettre son pyjama, écouter une histoire ? Oui, ça aussi, tout le monde y passe. Même le soleil et la lune ? Oui !
Antoine multiplie les questions pour retarder le moment de fermer l’oeil, tant et si bien que sa maman commence à fatiguer…
Rien ne va, ce matin, dans la vie de Tristan Quichon. Tout l’ennuie. Faire son lit ? Bof, ce soir il faudra le défaire. Se lever ? Bof, il faudra bien se recoucher tôt ou tard. Se laver les mains ? Bof, tout ça pour qu’elles se resalissent aussitôt. Il va falloir des trésors de persuasion et de tendresse à Maman Quichon pour consoler ce pauvre petit Tristan et le convaincre d’avaler une crêpe au sucre, comme ses 72 soixante-douze frères et soeurs…
Par cette belle nuit de lune, voici trois petits chatons qui ont envie de tout... sauf de dormir. Envie de sortir, de ramasser des bâtons dans la forêt, de monter dans une barque, de prendre la mer, d’escalader le Piton-Pointu de l’île déserte, de braver tous les dangers ! Et leur maman, que dit-elle de tout cela ? Rien. Elle veille. De l’autre côté de la porte de la chambre, elle se tient prête à bondir. En cas de besoin.
Tout juste arrivés dans leur nouveau logement, un jeune garçon et sa maman échangent des souvenirs d’« avant », radieux, drôles ou saugrenus : un pique-nique avec papa, un plongeon dans une meule de foin, une terrible nuit d’orage... À présent, les voilà seuls. Mais qui sait si, un jour, cette toute première nuit dans une ville inconnue ne sera pas à son tour un souvenir aimé ?
Achille habite au bord de la mer avec sa maman. Il aime bien rester près de sa maman. Toujours ! Mais Achille a aussi envie de sortir dans le jardin. Il a envie de sentir le vent dans ses oreilles.
« Va, mon Achille, va !» dit Maman.
« Pas sans toi ! répond Achille. Si je m’envolais. » Et si Achille lâchait finalement la main de Maman ?
« Vous êtes les plus merveilleux oursons du monde ! » répétaient chaque soir Papa Ours et Maman Ourse à leurs trois oursons.
Mais un soir, les trois oursons se mirent à se poser des questions : « Lequel de nous trois Papa et Maman aiment-ils le plus ? »
Ce n'est pas facile d'être le grand frère d'un petit phoque curieux, surtout quand on est chargé de veiller sur lui. Yek Yek veut absolument aller au bord de la banquise et Wak Wak a bien du mal à l'en empêcher. C'est pourtant une chose que Maman a formellement défendue. Au bord de la banquise, on peut voir les bœufs musqués avec leurs énormes manteaux, on peut écouter les baleines chanter et admirer leurs puissants geysers. On peut aussi se faire dévorer par un orque. Pour eux, les petits phoques sont de véritables friandises...













