Thème « relation avec la mère »
Où il est question de Pétronille, la souris qui n'est pas verte, de ses 120 petits, de leur papa qui est loin et qui s'appelle Everest, de la Forêt Touffue qui est si belle dans la lumière de l'été, de Cafouillon qui est si bête qu'il mélange toujours tout, du monstre Sagoinfre qui tente de manger les 120 petits et qui ne sait pas ce qu'il va lui en coûter !
La reine Irène ressemble à une sorcière. Elle est toujours en colère et elle a un coeur de pierre. Toutefois, elle adore son fils, le Prince Arthur, et veut trouver pour lui l'épouse parfaite. De l'autre côté du monde, la Princesse Leïla sanglote sous son voile doré. Son père lui a choisit un époux et elle ne veut pas épouser cet homme qu'elle n'a jamais vu...
Un jour, Olivia passe la récréation au coin, près des poubelles. Mais ce n’est pas la maîtresse qui l’a punie, c’est Coralie, sa meilleure amie. Olivia est terrifiée. Si elle en parle à sa mère, celle-ci voudra savoir exactement ce qui s’est passé. C’est trop difficile. Comment lui expliquer le secret qui la lie à Coralie, comment lui faire admettre que les objets se transforment en monstres et que, la nuit, le lampadaire et la poupée complotent dans son dos ? Comment lui dire que, depuis qu’elle a deux maisons, rien n’est plus comme avant ?
Les punitions, les colères, les cauchemars, les soucis, je les mets dans un tiroir qui s’appelle « Renvoyé pour toujours ». Après ça, je n’y pense plus. Je me sens légère.
La journée est plus belle.
De plus en plus d'enfants font partie de familles dites « recomposées » ou ont des amis et amies qui sont dans ce cas. Ce n'est pas toujours facile de s'y retrouver avec les papas, les mamans, les frères et soeurs, demi-frères, demi-soeurs, etc. Cet album nous fait découvrir sous forme de jeu comment ça fonctionne dans la famille d'Aladin.
Un kangourou peut être un jour obligé de sortir de la poche chaude et rassurante de sa maman. C'est ce qui arrive à Taxi, quand sa maman tombe dans un piège tendu par les chasseurs. Malheureux et perdu, Taxi part à la recherche d'un animal plus grand et plus fort que lui, capable de l'aider. Mais quelle espèce pourrait s'attaquer aux hommes ? Sûrement pas ce ridicule lézard à collerette ! N'existe-t-il pas, quelque part dans les pires cauchemars des hommes, une créature monstrueuse qui puisse les vaincre ?
Le collège, la maison, les copines : à treize ans, la vie d’Élise est trop banale à son goût. Elle a beau se rêver photographe, elle se contente de prendre des photos avec son petit téléphone.Jusqu’à ce jour où sa mère lui propose, pour premier voyage, de l’emmener aux Bahamas avec Léa, son amie d’enfance.Les Bahamas, un paradis, comme le vantent les brochures touristiques ? On en est loin : sa mère n’est jamais disponible, Léa est l’amie trop parfaite. Pour comble de malchance, un cyclone tropical s’approche...Mais là, au bord de la piscine, Élise trouve un appareil photo. Pas n’importe lequel : un Leica mythique. Jusqu’où ira Élise pour imiter les « chasseurs de cyclones », ces photographes risque-tout qu’elle admire ?
À la suite d’un accident, la maman de Larida est hospitalisée. Larida, sa petite fille, n’en sait rien. On la confie à des voisins, les Danielli. Ils sont très gentils avec elle. Pour la consoler, M. Danielli lui raconte l’histoire de l’Oiseau bleu. Il croit l’apaiser, mais Larida, au début, ne veut rien entendre et déteste cet homme qui bredouille chaque soir ce conte cruel. Pourtant, peu à peu, elle puise dans son imaginaire la force d’entrer en contact avec sa mère et avec un autre enfant, étrange, qui tous les jours lui parle. Jusqu’à quel point leurs histoires finissent-elles par se confondre ?
Victor découvre, un jour, au cimetière, un petit garçon caché au fond d'un trou. Il a dix ans, il est battu par sa mère et il veut mourir. Victor le convainc de sortir et le baptise Debout. Plus tard, il l'emmène au cimetière des Gitans où, par une porte, on accède à un lieu où l'on peut rencontrer d'autres mères. Debout fera ce long voyage, seul. Des mères, il en verra de toutes sortes : Reine Verticale, Mère Jardin, Mère Araignée, Mère Porte, Mère Bijoux... Mais pourra-t-il en choisir une ?
C’est la nuit. Elliot n’arrive pas à dormir, alors il s’en va. Il part loin de la ville, en train, pour aller voir les étoiles, et il reviendra avant le matin.
Voir les étoiles, c’est ce qu’Elliot aime le plus au monde. Autour de lui, personne ne comprend vraiment cette passion. Avant, il observait le ciel avec son père, qui lui apprenait les constellations et les galaxies. Maintenant que ses parents sont séparés, ce n’est plus possible. Il doit y aller seul, en espérant que sa mère ne se rendra compte de rien.
Le ciel le console, le ciel le rassure, et il le connaît mieux que personne. Mais, cette fois, il est témoin d’un phénomène inexplicable : des lumières orange et vertes qui semblent danser dans le ciel. Avec qui pourra-t-il partager cela ? Où l’écoutera t-on ? Il lui faudra peut-être partir plus loin encore, et braver l’inconnu.
La Tiotte et la Grande sont jumelles. Tiotte, née quelques minutes après sa soeur, souffre du désintérêt de sa mère et de la liberté dont bénéficie son aînée. Elle ne sait quoi inventer pour attirer l'attention de sa mère. Lui parler ne sert à rien, imiter sa soeur non plus. Elle s'enferme dans des souvenirs lointains où elle essaie de retrouver des signes de bonheur. Un jour, grâce à la rencontre avec un jardinier, elle a une idée, une idée lumineuse pour exister, enfin.
Il porte le nom d’un héros de légende, Cùchulainn, l’Hercule celte. Il pèse plus d’une tonne. Il est noir, géant, puissant, splendide. Si Mary et Conrad McConnally ont pu se payer à la foire ce cheval de race, c’est parce qu’il est borgne.
Une folie, à l’image de leur amour. Car Cùchulainn ne sert à rien. Il refuse de travailler. Il règne sur les pâturages de leur petite île en mer d’Irlande, comme un seigneur tranquille.
Pourtant, quand Conrad le pêcheur disparaît dans une tempête en laissant Mary enceinte, il semble que Cùchulainn trouve enfin sa mission sur la terre : sentinelle. Ange gardien en forme de cheval.
Mary a donné le jour à des jumelles, Esther et Rebecca, qui grandissent en s’inventant un langage que personne ne comprend. Sur l’île, on les déclare simplettes. Mais entre elles et Cùchulainn, une mystérieuse complicité se tisse, un lien secret qui fait peur à Mary. C’est pourtant ce qui va lui sauver la vie.
C’est lors d’un séjour dans la Manche, il y a quelques années, que Jean-François Chabas a éprouvé l’émotion qui devait donner naissance à ce livre. Dans un pré, des chevaux de trait immenses, rugueux, semblant surgir du fond des âges, se disputaient ses caresses, jusqu’à se battre, poitrail contre poitrail. Baôm ! Baôôômm ! Pour retrouver ce bruit, Jean-François s’est mis au travail.
Les pêcheurs l’ont surnommée Claire de l’eau. Quand ils l’ont arrachée aux flots et ramenée au village, la jeune naufragée ne se souvenait de rien, sauf de son prénom.
Personne ne sait qu’elle a grandi dans la communauté, une société où les couleurs n’existent pas et où les émotions sont interdites. Personne ne peut imaginer qu’elle a été programmée pour être mère porteuse, qu’elle a été inséminée à l’âge de quatorze ans, qu’elle a eu un fils, qu’on le lui a arraché.
Depuis, Claire n’a plus jamais été la même, obsédée par cet enfant qu’elle a tenu une seule fois dans ses bras, hantée par ses boucles blondes et ses yeux clairs. Elle fera tout pour retrouver son fils, jusqu’à accepter un terrible sacrifice…
Avec Le fils, Lois Lowry clôt le cycle du Passeur entamé en 1993 et publié avec un immense succès dans le monde entier. Elle a fait la une du New York Times Book Review lors de la sortie du Fils en octobre 2012 aux États-Unis. C’était la première fois qu’une auteure jeunesse faisait la une depuis J. K. Rowling.
Comment ouvrir un magnifique carnet pour commencer à écrire dedans, quand on n'a pas la moindre idée de ce qu'on pense ? Je n'étais même pas sûre de ce que je ressentais. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, assise devant la fenêtre. En tout cas, j'avais la main toute moite à force de tenir mon stylo à pointe fine au-dessus de l'épais papier blanc crème de la première page. J'aurais pu commencer par des phrases qui sonnaient plutôt bien, comme "Ma mère est la personne la plus égoïste du monde." ou "Ma mère est une imbécile."ou encore "Ma mère a gâché ma vie, celle de mon père et - j'espère, oh vraiment oui, j'espère - la sienne." Mais aucune de ces phrases n'était tout à fait juste.
Émilien déteste les mioches qui pleurnichent. Il s'est juré de ne jamais devenir père. Un père, d'ailleurs, il ne sait pas ce que c'est. À quatorze ans, il vit seul avec sa mère depuis toujours. Alors, pourquoi jouer les baby-sitters ? Par appât du gain, bien sûr. À 15 euros de l'heure, il pourra bientôt se payer le PC de ses rêves... Mais voilà, à force de mentir en se faisant passer pour un as du baby-sitting et de potasser « Comprendre et aimer son enfant », Émilien se prend au jeu. Et il s'intéresse si bien au petit Anthony, six mois, le bébé qui ne sourit jamais, qu'il finit par s'y attacher. Hélas, c'est au moment où il prend vraiment goût à la garde d'enfants que sa mère l'empêche de continuer. Études obligent. Émilien trouve un compromis : donner des cours de français à une dyslexique. Lui qui cherchait à parfaire sa connaissance du coeur humain, il va être servi...
Et revoici Émilien, le héros de « Baby-sitter blues » ! Sa mère pense qu'il manque cruellement d'un modèle identificatoire masculin. D'un homme, quoi. D'un père. Lui qui n'a même pas une photo du sien. Aussi, tandis qu'elle essaie en douce de refaire sa vie, elle envoie Émilien en vacances chez son oncle Marc, beau gosse, sportif, tellement dans le coup qu'il en est fatigant pour un adolescent. Mais, quand Émilien commence tout juste à le supporter, sa mère le rappelle d'urgence : Martial, le père inconnu, vient de mourir en laissant un tas de pièces d'or, sesterces, écus... accumulés en écumant les bords de Loire. Martial était joueur : Émilien doit se montrer digne de son héritage en traversant un véritable jeu de piste pour le retrouver, avec messages codés, pièges et rebondissements. Escorté de Valentin, l'énigmatique frère de Martial, Émilien va croiser sur sa route des vieilles dames qui font tourner les tables, un curé pendule et un moulin fantôme ! Alors, ce trésor, on va le chercher ?















