Thème « relation fille, garçon »
Deux petits jouent avec leurs doudous adorés, chacun de son côté. Sauront-ils partager leur plaisir ? Ce n’est pas gagné…
Attirer l'attention des filles, ce n'est pas du gâteau. Anton est prêt à tout. Il a des accessoires, des idées et de grands projets. Mais les filles ne le regardent pas. Les filles ne le regardent jamais. Anton a du courage, Anton est persévérant, il prend des risques, fait tout comme un grand, veut croire à l'impossible jusqu'à... LA CATASTROPHE ! Mais cette fois, c'est gagné, les filles n'ont d'yeux que pour lui !
Cousa n’aime pas trop raconter. Aussi, quand sa grand-mère, au repas du soir, lui demande si elle a passé une bonne journée, elle répond seulement : « Oui, grand-mère, très bonne. »
En fait, c’est une première journée de vacances extraordinaire que Cousa vient de vivre. Ses frères ne voulaient pas jouer avec elle ? Tant pis. Elle est sortie, elle est allée jusqu’à la rivière, elle s’est baignée et, là, un ours géant est arrivé, et il s’est approché tout près… Mais ça, c’est son secret.
Castor-Têtu est à la recherche de la squaw idéale. Se pourrait-il que la bien-nommée Fleur-de-Cactus fasse l'affaire, elle qui ne correspond à aucun des critères indispensables ?
La Princesse Rosebonbon a une chambre de princesse, un lit de princesse, des chaussures de princesse, et une robe de princesse. Elle a même des cheveux de princesse. Mais elle n’a pas de prince charmant.
Au fait, est-ce réellement l’ingrédient qui manque à son bonheur d’enfant ?
" Le skate, c’est pas pour les filles ! " a décrété Ferdinand en se jetant sur celui de Simon, que Lou voulait emprunter poliment. Quel culot ! Bientôt les deux garçons se lancent dans un duel acharné, et tombent, et se moquent, et se disputent... Mais pendant ce temps, qui récupéré le skate calmement et donne à cette brute de Ferdinand une leçon de style avant de lui clouer le bec ? SuperLou bien sûr !
Toute l’organisation de la maison repose sur les épaules de madame Porchon : elle fait la cuisine pour monsieur Porchon et leurs deux fils, passe l’aspirateur, fait la vaisselle,
lave le linge, range la maison, sans que jamais personne ne lui témoigne la moindre reconnaissance.
L’ingratitude de sa famille lui devient un jour intolérable et madame Porchon n’a plus qu’une seule solution…
Isée dort tranquillement dans son lit. Un livre posé contre sa bibliothèque se met soudain à grandir tandis que l’air d’Ah, vous dirai-je, maman en sort. Alors, Isée entre dans les pages comme on passe une porte et se retrouve au beau milieu d’une forêt-ville à parcourir. Au cours de son périple, un monstre la met au défi de se transformer en « la chose la plus puissante du monde ». Sacré challenge ! Après réflexion et essais divers, Isée trouve une solution qui est à la fois une surprise, un clin d’oeil, un pied de nez et un point d’orgue…
« J’ai fait le deuxième tome des “ventures” d’Isée parce que trop de gens ne comprenaient pas le premier et que ça m’énervait, déclare Claude Ponti. Mais le deuxième réclamait une suite : comment Isée allait-elle grandir ? Alors voilà le troisième et dernier, qui a la taille des deux premiers mis l’un sur l’autre.
Isée sort de la magie pour accepter le monde tel qu’il est, dans toutes ses dimensions : l’imaginaire, le passé immensément riche – paysages, monuments, oeuvres d’art, découvertes – et l’avenir, tous les avenirs. Isée grandit parce qu’elle accepte d’être une enfant qui hérite de tout cela. »
Ah, ces parents ! Comme ils sont touchants, avec leurs désirs d’enfants ! Monsieur et Madame Souris, par exemple. Ils en veulent deux. D’abord un garçon, ensuite une fille : le choix du roi. Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme ils l’avaient prévu. La cigogne apporte successivement 25 souriceaux mâles, qui s’entassent dans la chambre des garçons, tandis que la chambre de la fille reste désespérément vide. Madame Souris déprime et finit par aller réclamer en haut lieu : « Une fille ! Je veux UNE FILLE.» Il y a peut-être une solution ?
Un frère et une soeur, différents à tous égards, ne s'entendent pas. Un jour, leur mère les envoie jouer dehors et ils découvrent un tunnel mystérieux, qui changera leur relation...
Ce jeune prince est un poète. Son dragon ? Il ressemble à un gros nounours joueur. Sa collection ? Des lunettes de soleil de toutes les couleurs. Son rêve ? Être un tigre, mais de préférence avec des petits déjeuners humains. Sa passion ? La conversation, avec tous les sujets de son royaume, même si parfois c’est difficile. Prince Edmond est si attachant, a des idées si jolies, que même les arbres lui disent merci.
Il était une fois un prince très grand. Qu’est-ce qui était grand chez lui ? D’abord, son caractère de cochon. Sa détestation des autres. Les malédictions qu’il lançait à quiconque prétendait le déranger. Un jour, c’est une toute petite fille qui vient sonner à sa porte. Bien sûr, il commence par la chasser, le plus loin possible. Mais, rapidement, il se rend compte qu’il s’inquiète d’elle. Et qu’il est prêt à inventer les prétextes les plus invraisemblables pour la rejoindre et, surtout, pour ne plus jamais, jamais, la quitter !
Sur le fleuve l’Ongoh vivent d’un côté les Oolong (qui élèvent un bébé fille en garçon), et de l’autre les Dong-Ding (qui élèvent un bébé garçon en fille). Leur vie se déroule tranquillement, comme le cours du fleuve, jusqu’au jour où un monstre terrificateur apparaît, menaçant de dévorer tous les parents s’il n’obtient pas la potion qui le rendra éternel...