Thème « relation fille, garçon »
Vu de dos, Ardent a bien l'air d'un garçon, à cause de sa façon de se tenir à cheval, à califourchon et non en amazone. Vu de face, un garçon aussi, avec son chapeau, ses haut-de-chausse et ses bottes de cuir taillées pour l'aventure. Vu de l'extérieur, un garçon toujours, intrépide, audacieux, prêt à braver tous les dangers de cette fin de XVIe siècle en compagnie d'Oeil jaune, son épervier, et d'Arka, sa jument arabe. Mais vu de l'intérieur, c'est différent. Ardent s'appelle Ardente, et c'est une orpheline pas comme les autres, élevée par une vieille sorcière qui lui a laissé en héritage un sixième sens particulièrement développé : l'intuition. Aussi, le jour où sa route croise par hasard un cortège funèbre, Ardente est la seule à remarquer un sourire méchant et de fausses larmes sorties d'un flacon sur le visage endeuillé d'un membre de la famille. Si seulement son intuition pouvait lui faire deviner où son enquête va la mener...
Édouard est amoureux de Bella. Mais à part la taille de leurs crocs, ces deux-là n’ont pas grand-chose en commun. Édouard est un ogre terriblement grossier et malodorant, alors que Bella est une cyclope particulièrement coquette et raffinée. Elle l’a donc prévenu: s’il veut lui plaire, il doit apprendre les bonnes manières et se transformer en gentleman d’ici leur prochain rendez-vous. Sinon, tout ogre qu’il est, elle n’en fera qu’une bouchée. Édouard n’a aucune chance! À moins de tomber par le plus grand des hasards sur un expert en bonnes manières dans les Noires Forêts de l’Oural…
Sur le fleuve l’Ongoh vivent d’un côté les Oolong (qui élèvent un bébé fille en garçon), et de l’autre les Dong-Ding (qui élèvent un bébé garçon en fille). Leur vie se déroule tranquillement, comme le cours du fleuve, jusqu’au jour où un monstre terrificateur apparaît, menaçant de dévorer tous les parents s’il n’obtient pas la potion qui le rendra éternel...
Petit Vampire vient à la maison. Je devrais être content, mais à quoi on va pouvoir jouer ? Je suis un enfant gâté, parce que mes parents sont morts et que mon grand-père m’achète tous les jouets que je veux, mais chez mon ami, il y a plein de vrais monstres, c’est autre chose. Pire encore, Pépé nous emmène dans un magasin de « jeux de réflexion ». Mais quand on découvre l’univers des jeux de rôle, tout change : devenir un autre, inventer des histoires, explorer des donjons, combattre des dragons... Je vais créer un club, avec des gens de ma classe. Sauf que moi, dès qu’il y a des filles, j’ai l’impression de jouer ma vie.
Tout va bien pour Léa ! À l’école, elle aime jouer au foot dans la cour avec ses amies. Elle est naturellement douée en maths, comme le sont souvent les filles. Elle sait déjà qu’elle est promise à une brillante carrière, de chirurgienne, huissière ou, pourquoi pas, ministresse ! Quel que soit son choix, elle n’aura pas à s’occuper de ses enfants, puisque c’est leur père qui s’en chargera. Les hommes sont naturellement faits pour ça, non ? « C’est comme ça ! On n’y peut rien ! » a tendance à penser Léa. Mais son père et son frère, Tom, vont la pousser à remettre en question l’ordre établi…
Dans la sixième de Raph, tout le monde est très cool, on s’habille classe, et les garçons jouent à la balle contre le mur pendant que les filles les encouragent. La sixième, en soi, c’est bien. Mais en cinquième, ça se corse. Car, si on peut tomber éperdument amoureux à la maternelle, vivre une histoire d’amour sérieuse en CP, avoir un flirt en CM1 et rêver de boys band en sixième, en cinquième, c’est différent, tout le monde vous le dira. Ce n’est pas forcément mieux ni moins bien, mais il se passe des choses… et certaines demandent du courage et de la stratégie.