Thème « relation fille, garçon »
Deux petits jouent avec leurs doudous adorés, chacun de son côté. Sauront-ils partager leur plaisir ? Ce n’est pas gagné…
Est-ce que je serai un super papa ? se demande Jean-Louis qui va être papa. Un super papa joue au foot, plonge comme un poisson et sait faire des cabanes. Moi je ne sais rien de tout ça ! Mais Betty le rassure tendrement : « Toi, tu seras un papa-île ».
Toute l’organisation de la maison repose sur les épaules de madame Porchon : elle fait la cuisine pour monsieur Porchon et leurs deux fils, passe l’aspirateur, fait la vaisselle,
lave le linge, range la maison, sans que jamais personne ne lui témoigne la moindre reconnaissance.
L’ingratitude de sa famille lui devient un jour intolérable et madame Porchon n’a plus qu’une seule solution…
Isée dort tranquillement dans son lit. Un livre posé contre sa bibliothèque se met soudain à grandir tandis que l’air d’Ah, vous dirai-je, maman en sort. Alors, Isée entre dans les pages comme on passe une porte et se retrouve au beau milieu d’une forêt-ville à parcourir. Au cours de son périple, un monstre la met au défi de se transformer en « la chose la plus puissante du monde ». Sacré challenge ! Après réflexion et essais divers, Isée trouve une solution qui est à la fois une surprise, un clin d’oeil, un pied de nez et un point d’orgue…
« J’ai fait le deuxième tome des “ventures” d’Isée parce que trop de gens ne comprenaient pas le premier et que ça m’énervait, déclare Claude Ponti. Mais le deuxième réclamait une suite : comment Isée allait-elle grandir ? Alors voilà le troisième et dernier, qui a la taille des deux premiers mis l’un sur l’autre.
Isée sort de la magie pour accepter le monde tel qu’il est, dans toutes ses dimensions : l’imaginaire, le passé immensément riche – paysages, monuments, oeuvres d’art, découvertes – et l’avenir, tous les avenirs. Isée grandit parce qu’elle accepte d’être une enfant qui hérite de tout cela. »
Dagfrid n’a aucune envie de préparer le banquet des chefs. C’est peut-être un honneur, mais c’est aussi très injuste. Parce que chez les Vikings, les filles doivent cuisiner le poisson qui pue, pendant que les garçons se préparent à leur futur de guerriers ou de navigateurs. Et le frère de Dagfrid, lui, a plutôt l’air de se préparer à ne rien faire du tout. En attendant, ce banquet ne va pas se faire tout seul...
Beaucoup de choses embêtent Dagfrid. Son prénom, déjà. Et puis la vie de fille viking n'est pas franchement drôle : on a des tresses roulées en brioches sur les oreilles, on porte des robes trop longues, on fait sécher du poisson. D'ailleurs, on ne mange que ça, du poisson, et pas seulement les filles. Mais elles, en plus, elles ne peuvent même pas naviguer et découvrir l'Amérique. Enfin, jusqu'à maintenant. Parce que Dagfrid en a vraiment trop marre du poisson séché.
Ah, ces parents ! Comme ils sont touchants, avec leurs désirs d’enfants ! Monsieur et Madame Souris, par exemple. Ils en veulent deux. D’abord un garçon, ensuite une fille : le choix du roi. Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme ils l’avaient prévu. La cigogne apporte successivement 25 souriceaux mâles, qui s’entassent dans la chambre des garçons, tandis que la chambre de la fille reste désespérément vide. Madame Souris déprime et finit par aller réclamer en haut lieu : « Une fille ! Je veux UNE FILLE.» Il y a peut-être une solution ?
Quand ils ont une aile abîmée ou une patte cassée, les mouches et les scarabées ont grand besoin du Réparateur d’insectes. Il fait des merveilles avec son aiguille d’argent. Mais aujourd’hui, le Réparateur part à la retraite.
Et c’est son fils, Noc, qui doit lui succéder. Il en est toujours allé ainsi : le métier de Réparateur d’insectes se transmet de père en fils. Sauf que l’aiguille d’argent semble ne pas vouloir de sa main hésitante, et Noc a très, très peur des insectes.
Alors… qui pourra prendre soin d’eux ?
Un frère et une soeur, différents à tous égards, ne s'entendent pas. Un jour, leur mère les envoie jouer dehors et ils découvrent un tunnel mystérieux, qui changera leur relation...
Mon frère a adoré le cadeau de ma tante. « Je vais l’appeler Cindy », a-t-il dit en voyant la poupée en chiffon qu’elle lui avait fabriquée.
Quand mon frère a voulu dormir avec Cindy, mon père a dit : « Rien de grave, ça lui passera. » Mais ça n’est pas passé. Même au magasin de jouets, il a voulu une poussette !
Ce jeune prince est un poète. Son dragon ? Il ressemble à un gros nounours joueur. Sa collection ? Des lunettes de soleil de toutes les couleurs. Son rêve ? Être un tigre, mais de préférence avec des petits déjeuners humains. Sa passion ? La conversation, avec tous les sujets de son royaume, même si parfois c’est difficile. Prince Edmond est si attachant, a des idées si jolies, que même les arbres lui disent merci.
Il était une fois un prince très grand. Qu’est-ce qui était grand chez lui ? D’abord, son caractère de cochon. Sa détestation des autres. Les malédictions qu’il lançait à quiconque prétendait le déranger. Un jour, c’est une toute petite fille qui vient sonner à sa porte. Bien sûr, il commence par la chasser, le plus loin possible. Mais, rapidement, il se rend compte qu’il s’inquiète d’elle. Et qu’il est prêt à inventer les prétextes les plus invraisemblables pour la rejoindre et, surtout, pour ne plus jamais, jamais, la quitter !