Thème « recueil d'histoires »
Papa Souris raconte une histoire pour chacun de ses sept enfants pour qu'ils s'endorment tranquillement avec de belles images. Toutes sont en effet des histoires farfelues et tendres, propices au rêve. On y rencontre un souriceau qui change de pieds, un autre qui parle avec le vent...
Dans ce livre vous trouverez : des épées, des plumes, des bijoux, des missives, des calèches, un roi, une reine, un cardinal, du danger, des complots, de la chance, de la bravoure et du panache, de la loyauté, de l’humour et des moustaches… Bref, des mousquetaires, et même leur école ! Vous noterez que ces trois histoires sont quatre, ce qui n’est pas le moindre hommage de ce recueil au brio d’Alexandre Dumas.
Saviez-vous que le Père Noël avait un frère jumeau qui n’était pas vraiment un cadeau ?
Connaissez-vous le voleur de jouets, qui sévit la nuit dans les chambres d’enfants, et kidnappe des souriceaux pour les obliger à faire son affreuse besogne ?
Savez-vous qu’un chien peut se mettre à parler si on le traite avec injustice ?
Si vous voulez connaître en détail ces histoires secrètes – et véridiques –, il ne vous reste plus qu’à ouvrir ce livre !
Ce volume contient : Le père Noël et son jumeau ; Le voleur de jouets ; Le chien qui disait non
Les aventures de Louis et Fanfan, c’est l’histoire d’une belle amitié entre un petit loup et un petit cochon. Grâce à leur connivence, ils sont plus forts pour affronter les péripéties de la vie.
Ce recueil contient : Un monde de cochons, L'école est en feu, Le trésor de Louis (texte inédit) et enfin une sélection de pages extraites des carnets de croquis de Mario Ramos.
« Toute ressemblance avec notre monde moderne est bien évidemment due à une volonté humoristique. Le but est de faire une série appelée « Un monde de cochons », c’est-à -dire une histoire complète à chaque fois. Je voulais renouer avec le plaisir de la lecture en feuilleton. Lorsque j’étais petit, pendant les vacances, ma grand-mère me lisait chaque jour un chapitre de livre et j’adorais cela ! » Mario Ramos
Le père de Pierre l'a menacé : s'il ne mange pas sa soupe, à minuit, la sorcière Cornebidouille viendra lui faire peur dans sa chambre ! C'est ce qui arrive et voilà le début des aventures de la célèbre sorcière. Une édition collector regroupant 3 histoires de Cornebidouille, et une interview inédite des auteurs.
L’Afrique de Zigomar ? Déjà un classique. Patatras !? Encore un chef-d’œuvre. Papa !, Tête à claques et N’oublie pas de te laver les dents !? Autant d’albums immortels qui figurent dans toutes les bibliothèques dignes de ce nom. Alors, les réunir tous les cinq sous une même couverture, n’est-ce pas trop de bonheur pour un lecteur encore jeune ? La modestie légendaire de Philippe Corentin dût-elle en souffrir, l’école des loisirs assume. Il est temps de faire monter l’un des piliers de la maison sur le podium de la gloire anthologique ! Dont acte.
Dans le genre fantastique, l’irréel, surgi dans le quotidien, fait naître l’angoisse. Dans celui de l’épouvante, la frontière entre les deux mondes est si ténue que la mort la franchit. En lisant les quatorze nouvelles qui composent ce recueil, on voit intervenir des fantômes (chez Alexandre Dumas ou Selma Lagerlöf), des défunts revenus d’entre les morts (chez Maupassant ou Edith Wharton), des animaux et végétaux redoutables (chez Bram Stoker, Saki, Mildred Johnson), un portrait maléfique (Edgar Poe), une musique surnaturelle censée repousser l’au-delà (Lovecraft). Bref, partout rôde la Canarde. C’est alors la terreur qui s’empare des personnages… comme du lecteur.
« La maison du lac », de Charles Nodier ; « Le portrait ovale », d’Edgar Poe ; « Le chat, l’huissier et le squelette », d’Alexandre Dumas ; « La diligence fantôme », d’Amelia B. Edwards ; « Frritt-Flacc », de Jules Verne ; « Le tic », de Guy de Maupassant ; « La squaw », de Bram Stoker ; « Le violoniste », de Selma Lagerlöf ; « Sredni Vashtar », de Saki ; « La musique d’Erich Zann », de Lovecraft ; « Mademoiselle Mary Pask », d’Edith Wharton ; « Le papillon de la mort », de Maurice Renard ; « Le cactus », de Mildred Johnson
Après Au fil de l'eau et autres histoires, voici la seconde partie du Vent dans les saules, le grand classique de la littérature anglaise pour enfants. Ces aventures de Crapaud ont été abrégées avec soin et illustrées avec talent, tout comme celles de Taupe et de ses amis, par Inga Moore.
C'est un hiver comme on n'en a jamais connu aux confins de l'Arabie. Dans le pays de Kannema-kanne où vit Sélim, le magicien au coeur généreux, même l'eau du lac a gelé. Mounir le pêcheur part à Bagdad chercher du travail car sa famille meurt de faim. Aux abords du palais, il s'arrête, épuisé, devant une belle demeure. Une délicieuse odeur de poulet farci vient lui chatouiller les narines. Hélas, la maîtresse de maison est une harpie. Quand elle s'aperçoit de la présence de Mounir, elle l'accuse d'avoir volé l'odeur de son poulet. Elle est décidée à la faire condamner par le calife. Seul Sélim le sage peut secourir Mounir.
Voici un conte micmac, un conte memomini, un conte tlinglit, un conte sioux et un conte salish. Cinq histoires pour découvrir que certains oiseaux peuvent créer de terribles tempêtes rien qu'en battant des ailes, que la distance qui nous sépare de la lune n'est pas si grande, et qu'il n'y a pas d'âge pour être un héros. Cinq contes où l'on apprend, entre autres, à jouer un sacré tour au soleil et à confondre les mauvais esprits, où l'on apprend aussi à se méfier de la susceptibilité de la lune, et bien sûr, à se servir correctement d'un arc et de flèches !
Munie d'un tuyau d'arrosage pour pouvoir respirer sous l'eau, une petite fille décide courageusement d'aller pendant la nuit rendre visite au roi des poissons pour le prier de ne plus envoyer ses sujets se faire manger chez elle. Un grand professeur de savoir-vivre, Monsieur Paul Hitaisse lui-même, dispense un merveilleux cours sur les bonnes manières à respecter à table, et en profite pour répertorier toutes les mauvaises. Odette, un oisillon tombé du nid échoue sur le chapeau d'un vieux monsieur. Ils deviennent inséparables jusqu'au jour où Odette doit partir avec les siens passer l'hiver en Afrique. Un jeune soldat, qui a vraiment existé, revient de la guerre alors que toute sa famille le croyait mort.
Ce sont les histoires que raconte Philippe Dumas, en texte et en images. Elles sont profondément émouvantes, ou fofolles, ou délicieusement drôles. Comme les « Comptines coquines », dont nous ne pouvons parler ici parce qu'elles sont strictement réservées aux enfants. Philippe Dumas n'est pas seulement l'auteur qui a eu l'idée de faire passer une folle soirée de poésie à Victor Hugo, au milieu d'une familles d'ânes, extrêmements polis et un peu trop émotifs (cf « Victor Hugo s'est égaré »). Il est le grand dessinateur qui a illustré « Les Fées », ou « Le temps des cerises ». C'est un auteur dont le sens de la retenue fait souvent la puissance d'évocation. Et qui a toujours allié à sa très grande délicatesse une véritable liberté d'écriture et de dessin, un réel anticonformisme.
Une cinquantaine de défis de lecture portés par des histoires courtes, afin d'aiguiser le travail de l'oeil, de l'oreille, la liaison oeil-oreille, l'oralité, le rythme, la traduction simultanée entre segments oraux et syntaxe et quelques approches ludiques des catégories grammaticales et formes littéraires. Chaque défi entraîne le lecteur à mieux sélectionner tels ou tels points de repère sur des territoires souvent insuffisamment explorés.
Deux oies qui vont chaque matin prendre leur bain à la mare et qui parfois se demandent si elles font bien de s'y rendre par leur chemin habituel ou si elles devraient en chercher un nouveau - une rencontre avec un renard les aidera à trancher. Un ours qui part pour la ville chaussé de grands sacs en papier et coiffé d'une poêle à frire parce qu'il tient absolument à être au goût du jour et qu'il a demandé conseil à un corbeau farceur. Un crocodile qui n'a plus envie de sortir de sa chambre à coucher parce que les fleurs du papier peint sont tellement mieux rangées que celles du jardin... Vingt fables qui parlent, chacune à sa manière mais toujours avec une sensibilité très « lobelienne », de l'aventure au quotidien.
Didi la souris passe son temps à manger des bonbons et du chocolat. Elle déteste les robes, elle porte donc des jeans, les mêmes que Zouzou, sa cousine. Zouzou est une gentille louve espiègle, avec un coeur énorme parfois, et des colères terribles souvent. Plus tard, quand il aura l'âge de travailler, Alexis le corbeau ne veut pas avoir d'ennuis, juste un restaurant. Justine, elle, veut des enfants. Il lui faudrait rencontrer un chien, un loup ou un éléphant avant ses trente ans, aimer quelqu'un. Goliath le cochon ne connaîtra jamais ce bonheur, tout le monde fuit son odeur, ses mauvais coups et sa saleté. Au milieu de cette classe de trente-six garçons et filles, il y a toujours quelqu'un pour être la meilleure amie, le pire ennemi, le plus discret, le plus drôle, le plus rêveur. Toujours quelqu'un qui donne envie de rebondir sur les histoires des autres.
« Les garçons et les filles » est un livre où chacun peut retrouver ses manies, ses amours, ses inquiétudes, ses mensonges, ses trahisons et ceux des autres, où chacun peut faire l'expérience d'être un au milieu de la classe, tout contre le monde. Le coeur battant, car ce beau monde est composé de garçons et de filles.
Un lapin qui ronronne et qui miaule comme un chat. Un poisson qui change de couleur : bleu le jour, blanc et lumineux la nuit. Un petit garçon sec comme un bâton et qu’on utilise comme une branche : pour faire l’arbre sur l’estrade ou pour frapper les élèves indisciplinés. Une fourmi de compagnie égarée rue Mouffetard. Un serpent minuscule qui vit dans une dent appartenant à un terrible bandit condamné à mort. Une petite fille chlorophylle, tellement verte qu’on la prend pour un ange des bois. Ces histoires, graves ou légères, grinçantes ou réconfortantes, nous entraînent dans un monde de poésie où le bonheur est finalement fait de toutes petites choses.
L’Oncle Tatoo a dans sa cuisine une armoire remplie de toutes les eaux de toutes les mers. Ses bras sont ornés de merveilleux dessins dont il tire ses histoires. Celle de l’Oblaroza, l’arbre unique au monde, l’histoire de l’arrosoir extraordinaire, mais aussi celles du grand vent et du caméléon. Les trois fillettes La, Lala et Lalala se laissent porter par ses récits.