Thème « prince, princesse »
Oh la la, ce que c'est dur d'être belle; et fatiguant aussi. Parce que les gens, ils ne pensent qu'à ça, à votre beauté, c'est comme une obsession. La jolie petite princesse connaît ce problème à fond. Elle en a assez des compliments, assez des jalousies aussi. Elle veut être moche, et pauvre en plus, pour voir ce que ça fait. Elle se déguise en mendiante laide et, là, plus personne ne s'intéresse à elle, surtout pas le très beau prince qui passe justement par là et dont elle tombe aussitôt amoureuse. Comment se faire aimer quand on est moche ? Comment se fier à l'amour de l'autre quand on est belle ? Pour répondre à ces questions délicates, la jolie petite princesse a surtout intérêt à être intelligente.
Il était une fois une princesse qui était nulle. Nulle en tout. Elle était nulle en cuisine. Elle était nulle en dessin. En calcul, elle était archi nulle. Elle était complètement nulle en orthographe. Et en lecture, ouh là là ! qu'est-ce qu'elle était nulle ! Même ses jouets, elle ne savait pas s'en servir. Le jour vint où il fallut songer à lui trouver un mari. Evidemment, il ne fallut guère de temps aux princes des royaumes voisins et pas voisins pour s'apercevoir combien cette princesse était nulle. Ses parents, démoralisés, décidèrent de faire une pause et de partir en vacances. Sans elle. C'est alors que le miracle se produisit. Car au fond, peut-être cette princesse n'était-elle pas si nulle que ça. En tout cas, pas pour tout le monde.
Lors d'une escapade en forêt, la princesse Lila - fille du roi - contrarie le peuple des insectes. Du coup, ceux-ci se fâchent et s'en vont. C'est la pire des catastrophes. Sans les insectes, qui s'y activent jour et nuit très utilement, la forêt se meurt. Et dans une forêt morte, les hommes ne peuvent plus vivre... La coupable réussira-t-elle à réparer ses torts et à restaurer les équilibres naturels ? Elle doit faire vite. Chaque jour compte. Heureusement, ses deux marraines vont lui venir en aide, et ce sont des marraines qui ne ressemblent à nulle autre.
Petit Ours se promène à vélo dans le bois. Il s'approche d'un étang pour se rafraîchir lorsqu'une petite voix l'interpelle : « Bonjour ! Je suis la princesse Grenouille. »
« Grenouille, certainement, mais princesse, ça m'étonnerait vraiment ! » répond Petit Ours.
Prenez une gentille princesse, maîtresse d’école, mettez à ses côtés un vieux dragon protecteur et acariâtre… et posez-vous la question capitale : comment diable l’intrépide chevalier pourra-t-il conquérir le cœur de la dulcinée ? Ah, mais sachez qu’un chevalier vient TOUJOURS à bout de ses défis !
Un jour, le roi dit à son fils : « Tu es grand, maintenant. Il est temps que tu aies ton propre château. » Et il lui montre la tour qu'il a fait construire pour lui.
« Hm, hm. Mais je ne veux pas rester ici, dit le prince. Un dragon pourrait facilement y entrer... »
Ils sont nés dans un couple royal sans enfant, grâce à l’aide d’une inventrice et d’une sorcière. Chaque jour, le robot de bois doit réveiller, avec une formule secrète, sa sœur la princesse qui se transforme en bûche dès qu’elle s’endort. Un matin, il oublie et une servante jette la bûche par la fenêtre. Pour retrouver sa sœur et rattraper sa bêtise, le vaillant petit robot est prêt à traverser la terre entière jusqu’au Pôle Nord, et même à donner sa vie...
Au coeur de la forêt profonde, la Tigresse pleure la mort de ses petits. Des chasseurs les ont tués. Depuis, elle rôde autour des villages, le coeur empli de haine et de chagrin. Un soir, elle détruit les maisons, dévore les hommes et les bêtes, mais cela n'apaise pas sa colère, au contraire. Le pays est plongé dans la terreur. Le roi consulte la vieille Lao Lao, qui lui déconseille formellement de lever une armée. Une seule chose, selon elle, peut apaiser sa colère. Le roi doit lui donner son fils unique, Wen. Le roi et la reine ont le coeur brisé. Wen est si petit! Son père l'accompagne pourtant aux abords du territoire de la Tigresse. « Je n'ai pas peur », dit-il à son père. Il marche longtemps, puis, fatigué, s'endort au pied d'un arbre. Déjà la Tigresse a senti son odeur...
C’est l’histoire classique du chevalier qui veut conquérir le cœur de la princesse en lui offrant la tête d’un dragon. Sauf que Lubin n’est pas un chevalier ordinaire… Quant au dragon, prénommé Norbert, eh bien, il est carrément extraordinaire !
Les déboires d'une petite grenouille à la recherche du prince charmant qui, d'un baiser, la transformera en princesse. De désillusion en désillusion, Verdurette trouvera-t-elle l'Amour ?
La reine Irène ressemble à une sorcière. Elle est toujours en colère et elle a un coeur de pierre. Toutefois, elle adore son fils, le Prince Arthur, et veut trouver pour lui l'épouse parfaite. De l'autre côté du monde, la Princesse Leïla sanglote sous son voile doré. Son père lui a choisit un époux et elle ne veut pas épouser cet homme qu'elle n'a jamais vu...
Princesse Inès ne trouve aucun prétendant à son goût. Aucun ! Irrité par les caprices de sa fille, le roi décide d’organiser un grand concours : celui qui accomplira l’exploit le plus extraordinaire épousera Princesse Inès…
Des images splendides, un sens rare des couleurs, des trouvailles visuelles incessantes, et surtout beaucoup d’humour… Pour son coup d’essai, qui se voulait un hommage aux enlumineurs du Moyen Âge autant qu’aux dessinateurs d’estampes extrêmes-orientales, Adrien Albert a réussi un coup de maître. Impossible d’oublier de sitôt – et de ne pas avoir envie de partager – son histoire de lapin qui réussit à conquérir le cœur d’une princesse grâce à son ingéniosité et à ses dons d’observation !
Vèzmô est une sorcière vraiment mauvaise et vraiment méchante et vraiment puante. Elle transforme les belles choses en choses horribles, les fleurs en bouse et les papillons en papier gras. Jusqu'au jour où un prince... vous croyez connaître la suite ? Erreur... lisez l'histoire de Vèzmô jusqu'au bout et vous verrez.
Rares sont les contes qui ont inspiré autant de versions, suscité autant d’adaptations – opéra, ballet, théâtre, séduit autant de lecteurs aussi bien filles que garçons à travers les siècles et les continents.
« Aucun conte de fées ne traduit mieux que Cendrillon les expériences vécues par le jeune enfant en proie aux affres de la rivalité fraternelle, quand il se sent surclassé par ses frères et sœurs. Cendrillon, c’est moi ! » dit l’enfant. Bruno Bettelheim
Entre les Rouges et les Bleus, c'était la guerre depuis si longtemps que plus personne ne savait pourquoi elle avait commencé. Alors, pour en finir, Jules, fils du Roi des Rouges provoqua en duel Fabien, fils du Roi des Bleus. Mais Fabien, lui, n'aimait pas tellement se battre.