Thème « prince, princesse »
La reine Irène ressemble à une sorcière. Elle est toujours en colère et elle a un coeur de pierre. Toutefois, elle adore son fils, le Prince Arthur, et veut trouver pour lui l'épouse parfaite. De l'autre côté du monde, la Princesse Leïla sanglote sous son voile doré. Son père lui a choisit un époux et elle ne veut pas épouser cet homme qu'elle n'a jamais vu...
Ce jeune prince est un poète. Son dragon ? Il ressemble à un gros nounours joueur. Sa collection ? Des lunettes de soleil de toutes les couleurs. Son rêve ? Être un tigre, mais de préférence avec des petits déjeuners humains. Sa passion ? La conversation, avec tous les sujets de son royaume, même si parfois c’est difficile. Prince Edmond est si attachant, a des idées si jolies, que même les arbres lui disent merci.
Atchoum ! La princesse Philomène se sent mal en point. Elle a les yeux qui coulent, le nez qui fuit, la gorge qui gratte, la tête qui tourne et les jambes qui lâchent. La voilà affligée d’un rhume carabiné le jour du grand bal donné en son honneur.
C’est ce soir que Philomène va devoir se choisir un mari, un prince charmant à épouser pour le meilleur et pour le pire. Le pire, elle est déjà en train de le vivre ! Comment danser dans cet état alors qu’elle n’a qu’une seule envie, qu’on la laisse tranquille dans son coin afin qu’elle puisse… Atchoum !… éternuer en paix ?
Princesse Inès ne trouve aucun prétendant à son goût. Aucun ! Irrité par les caprices de sa fille, le roi décide d’organiser un grand concours : celui qui accomplira l’exploit le plus extraordinaire épousera Princesse Inès…
C’est une princesse nulle en tout. Au bal, elle a tendance à écraser les orteils de ses prétendants. À cheval, elle finit toujours par tomber de sa selle. Quand elle parle, elle met souvent un mot à la place d’un autre et, à son âge, elle ne sait toujours pas se servir d’une machine à laver ! Qui voudrait épouser une princesse aussi nulle ? La reine, excédée, a ordonné à sa fille de se trouver un mari coûte que coûte et l’a flanquée dehors. Heureusement, être nulle en tout n’empêche pas de se faire des amis. Comme cet ours tombé du ciel, qui n’a pas l’air de la trouver si nulle que ça, la jolie princesse.
Comment devient-on une princesse ? En général, il suffit de naître dans une famille royale. Comme son père n'est pas roi, Prune n'a que peu de chances de devenir un jour une princesse, et cela la met très en colère. Elle trouve que c'est une injustice grave. Heureusement, son père pense comme elle, il trouve que c'est vraiment trop moche et décide de combattre l'injustice. Il s'engage à faire de Prune la première princesse de Monaco née à Créteil. Il établit pour elle un programme très sérieux, en cinq points. Premièrement : pour devenir une princesse, Prune doit absolument jouer au tennis, même si elle ne dispose pour cela que d'une poêle à crêpes...
Prenez une princesse intelligente, mais physiquement assez biscornue, que sa mère la reine appelle Riquette. Prenez ensuite un prince, si bête mais si beau que ses parents l’on prénommé Beau. Accordez à chacun un don magique : à l’une, le don de rendre intelligent celui qu’elle chérira ; à l’autre, d’embellir l’élue de son coeur. Maintenant, il suffira que ces deux-là s’aiment pour que tout soit arrangé. Mais… est-ce si simple, de tomber amoureux ?
Lorsque le roi Gustave Premier décide qu'il est temps de prendre un successeur, il pense tout naturellement à son fils Gustave bébé. Or Gustave bébé ne veut pas devenir roi. La reine a alors une merveilleuse idée : organiser un concours pour trouver le futur roi. Chaque homme du royaume a le droit de tenter sa chance. Mais attention, les concours de roi ne sont pas si faciles, et Gustave bébé adore les concours...
Pour exercer correctement le métier de diable, il faut trouver le mal partout. Bien qu'ils aient été élevés aux punitions injustes et aux vers gluants par leurs parents diables, Rouge de Honte et Vert de Rage ne sont pas très doués. On les envoie à la ville pour qu'ils fassent des progrès chez leur oncle diable qui a si diaboliquement réussi qu'il est devenu le conseiller du roi. Comme il prépare le mariage des princesses, il aura sûrement du travail pour ses neveux...
Des images splendides, un sens rare des couleurs, des trouvailles visuelles incessantes, et surtout beaucoup d’humour… Pour son coup d’essai, qui se voulait un hommage aux enlumineurs du Moyen Âge autant qu’aux dessinateurs d’estampes extrêmes-orientales, Adrien Albert a réussi un coup de maître. Impossible d’oublier de sitôt – et de ne pas avoir envie de partager – son histoire de lapin qui réussit à conquérir le cœur d’une princesse grâce à son ingéniosité et à ses dons d’observation !
C’est l’histoire d’un petit crapaud vert qui rêve d’embrasser une jolie princesse. Après beaucoup d’efforts, le petit crapaud vert réussit à se transformer en prince charmant. Mais il s’aperçoit vite que la vie n’est pas un conte de fées…
Il était une fois un prince très grand. Qu’est-ce qui était grand chez lui ? D’abord, son caractère de cochon. Sa détestation des autres. Les malédictions qu’il lançait à quiconque prétendait le déranger. Un jour, c’est une toute petite fille qui vient sonner à sa porte. Bien sûr, il commence par la chasser, le plus loin possible. Mais, rapidement, il se rend compte qu’il s’inquiète d’elle. Et qu’il est prêt à inventer les prétextes les plus invraisemblables pour la rejoindre et, surtout, pour ne plus jamais, jamais, la quitter !
Même les génies ont envie de prendre leur retraite un jour. C'est le cas de Choupiche aujourd'hui. Mais, avant de se retirer, Choupiche doit accomplir une dernière mission : réaliser un vœu pour l'archiduchesse Von der Socissèche. Le petit génie va vite découvrir qu'il est difficile de combler une jeune fille qui a déjà tout...
La princesse Harmonie est heureuse, elle a réussi son diplôme de Sciences Royales, elle n’a plus honte de ses grands pieds et, surtout, elle va bientôt devenir reine et remplacer son père, le roi Ferdinand Ier. Mais, hélas ! Tout à coup, rien ne va plus. Car la princesse est une fille et une fille ne peut pas gouverner, pensent le Grand Ordonnateur et les conseillers. Harmonie est si choquée qu’elle ne trouve plus ses mots. Pourtant, elle est bien décidée à se battre pour réparer cette injustice.
Les trois vœux de la princesse est la suite de trois autres contes parus dans la collection Mouche : Le fils du roi m'a déçue, La princesse aux grands pieds, La mort du Grand Pupu.
Lectrice insatiable, éternelle amoureuse de la connaissance, Elisabeth Motsch fut une militante active du MLF. Sans doute cette période de sa vie lui a-t-elle inspiré Les trois vœux de la princesse.
Tropèl Grignotte s’ennuie. Il voudrait partir et voyager loin. Mais toute sa famille trouve qu’il est trop petit. La princesse Aimée Douce s’ennuie. Elle aimerait vivre des aventures extraordinaires. Mais son papa le roi trouve que ça ne se fait pas.
Un jour, l’ogre Mangecru arrive et terrorise le royaume. Ça change tout. Car, pour le combattre, on a besoin de toutes les bonnes volontés, même de celle de Tropèl Grignotte, armé de son aiguille et de son mini-livre de contes…
Colette, du haut de son donjon, guette le prince charmant. Et quand Bernie surgit, appâté par un sushi, elle se dit que c’est lui. Vite, il faut lui courir après à travers la forêt ! Mais sur le chemin de l’amour, n’y a-t-il pas quelque détour ?















