Thème « portrait »
Chaque personne de la famille a son portrait. Ils sont tous très différents. Si Papa est Indien, maman est cosmonaute. Si le frère est trapéziste, la soeur est dompteuse de lions. Comme c’est une grande famille, il y en a pour tous les goûts et toutes les couleurs car c’est « une histoire à colorier » !
Vous aimez jouer au memory ? Vous allez adorer y jouer avec les poussins de Claude Ponti. Découvrez les 31 paires de cartes à retourner, illustrée chacune par divers poussins, ainsi que le livret qui présente leurs portraits. Ils sont tous là : Blaise, l’exceptionnel poussin masqué, bien sûr. La bande des sauteurs de tout : Osalto, Lulutz, Doublaxel, Fosbure. Et tous les autres : Reunne-Gara, Libelov, Titou Teureu…
Après Mon papa, voici Ma maman, qui pourrait bien être danseuse, ou astronaute, vedette de cinéma, ou grand patron. Mais c'est MA maman !
Quand un enfant se met à décrire son papa, les images qui lui viennent à l'esprit peuvent surprendre. Surprendre, oui, mais aussi amuser et surtout émouvoir. Particulièrement le papa en question.
Elle est merveilleuse, notre fille. Elle sait tout faire. Grimper, sauter, dessiner… et même nager ! Rien ne lui résiste ! C’est notre super-héroïne.
La girafe regarde par-dessus la palissade. Mais comment faisait-elle quand elle était petite ? Et ce singe pensif, était-il tellement sérieux quand il était petit ? Et cette grosse cochonne toute rose, était-elle déjà coquette quand elle était petite ? Pour découvrir l'enfant, il vous suffit de soulever l'adulte.
Quinze familles, quinze intérieurs, quinze pièces à vivre, quinze inventaires, quinze univers. Ici, un squelette, là, un accordéon, ailleurs encore, un vêtement, un meuble ancien… Partout, de la vie. Car cet imagier pas comme les autres est pour Pascale Bougeault le prétexte à croquer sur le vif les portraits de toutes sortes d’êtres humains, à fixer les ambiances de cette installation artistique permanente qu’est la vie dans une maison ou un appartement. Bienvenue chez eux !
Dorian Gray a bien de la chance ! Il est jeune, il est riche, il est intelligent, il appartient à la meilleure société londonienne de son temps, et surtout il est beau : d’une beauté unique, angélique, sublime, fascinante, d’une beauté qui exerce des ravages sur tous ceux qui l’approchent, hommes ou femmes. Normalement, cette extraordinaire capacité physique de séduction devrait s’affaiblir avec l’âge. C’est-à-dire, avec l’apparition des rides, avec la calvitie, les rhumatismes, l’écroulement des traits, l’empâtement du menton, etc. Mais ces désagréments vont être épargnés à Dorian grâce au portrait qu’a fait de lui un ami peintre. En effet, le tableau possède l’étrange vertu de prendre à sa charge le vieillissement de son modèle.
Par cette fable qui évolue vers les affres du cauchemar, Oscar Wilde, esprit brillantissime et auteur scandaleux de l’époque victorienne, nous assène un pronostic inquiétant : à savoir que chacun de nous, sous l’effet de ce qu’il est, finira par prendre la tête qu’il mérite…