Thème « peur »
Ce matin-là, près du rivage, tout autour de l’île, un brouillard épais s’est levé. Sitôt réveillée, Annette rejoint son père qui prépare son départ pour la pêche. La fillette attend le moment de porter pour lui son précieux filet. Annette est fière d’aider son papa. Lentement, la barque s’éloigne de la berge et Annette la suit du regard. Mais dans la maison vide, elle trouve le temps long.
« Quelle est cette horrible chose brune accrochée au mur ? » demande un jour le petit Georges. Tout d'abord, son papa refuse de lui répondre. « C'est une histoire trop effrayante », dit-il. Mais Georges insiste. Son papa finit par céder et lui raconte l'histoire, une histoire terrible, à vous faire dresser les cheveux sur la tête...
Chaque jour, la famille Vasylenko brave la nature sauvage à la recherche d’aventure. Et chaque jour, Oktobre préfère se plonger dans les livres. À la différence de ses onze frères et soeurs, il a une peur terrible de la nature sauvage. Ses parents lui expliquent qu’elle n’est pas un monstre : c’est une expression, un endroit, une émotion. Pour Oktobre, ça sera une rencontre.
Il était une fois Fluette, la plus délicate petite fille qu’on eût pu voir. Un jour, ses frères et sœurs lui jetèrent un manteau sur le dos, lui donnèrent un panier, et vlan, l’envoyèrent de l’autre côté de la forêt chez Mère-grand. Fluette était seule dans le bois des hiboux, et elle croisa une vieille dame à la tête de chouette. Fluette trembla de frayeur, et sans savoir comment, un froid frisson d’effroi – ffffrrrrrriiiii – transforma Fluette en petite poulette verte de peur.
Il était une fois un pont. Et sous ce pont vivait un terrible troll qui était quasiment mort de faim quand… Clip clop ! Clip clop ! un petit bouc bourru s’est avancé. Le troll a bondi sur ses pieds et s’est écrié : « Qui ose franchir mon pont ? » Apercevant le petit bouc, il s’est mis à danser de joie : « J’adore le bouc ! Du bouc au déjeuner, du bouc au dîner, mon petit bouc, je vais te manger ! »
Les trois boucs ont faim. Ils doivent traverser la rivière pour rejoindre le pré voisin, mais le troll qui vit sous le pont voudrait les dévorer. Peux-tu les aider ? Ils tentent leur chance en barque, en saut à la perche et même en montgolfière. Finalement, ils n’ont d’autre choix que de traverser le pont. Alors, si tu vois le troll sous un flap, surtout n’oublie pas de crier : « Voilà le troll ! »
Pour la sortie du livre Maudit troll ! Peter Utton vous propose un masque de troll à télécharger !
Nous sommes dans une école de cochons. Louis, le jeune loup vient d'y faire son entrée. Tout le monde regarde le nouveau : « Il fait un peu peur », « Il a l'air méchant », « Il doit sentir mauvais »...disent-ils. Louis est seul et malheureux. Comment va-t-il réussir à se faire une place dans ce monde de cochons ?
Alex, le cochon gourmand, se penche pour cueillir des framboises lorsqu'il voit soudain une grande ombre derrière lui... Un monstre énorme l'attrape et s'apprête à le dévorer. « Monstre, ne me mange pas ! » crie Alex en tremblant. Le monstre ne l'écoute pas. Il regarde les fruits. « Des framboises ! dit-il. Je vais les déguster. Toi, le cochon, je te mangerai tout à l'heure. » Et le monstre met Alex dans sa poche.
Le cagibi était une pièce sombre entre la chambre et la salle à manger. Quel bric-à-brac là-dedans ! Une roue de vélo, une cage sans oiseau, un vieux clairon et toutes les affaires de l'oncle Raymond... On trouvait même dans le cagibi, le petit Simon chaque fois qu'il faisait une bêtise plus grosse que lui.
Dans la bande des singes-écureuils, il y a Saïmiri. « C’est une caïd ! dit souvent sa maman, elle n’a peur de rien.» Saïmiri n’a qu’une envie, c’est de partir à la découverte de la forêt.
« Ne fais pas trop la maligne, tu feras moins la fière si tu rencontres le serpent Thor », lui disent les animaux qu’elle rencontre. Et hop ! Un bond par ici. Et hop ! Un bond par là. L’iguane, le gras tamanoir, et le tatou se font avaler à sa place.