Thème « pêche »
Lili et Lilou sont dans un bateau. Qui des deux tombe à l'eau ? Qui des deux pêche un gros poisson ? Voici une petite histoire à lire... dans son bain !
Avec Grand-papa, c’est la fiesta ! Au programme : gymnastique, musique et pêche !
Erine a de la chance : elle habite au bord des flots, à côté d'un joli port de pêche.
Erine n'a pas de chance : sa maman lui a interdit de sortir en mer car au large, un terrible rocher noir fracasse les bateaux, terrifie les marins, et s'amuse à changer de place pour mieux les transpercer de ses pics acérés !
Erine a du courage : tous les jours, elle essaie de se cacher à bord, pour s'en aller voir ce fameux rocher de plus près. Et tous les jours, sa mère la trouve. Sauf aujourd'hui...
Le papa de Tekenika était le meilleur pêcheur de tous. Depuis qu’il a été emporté par une tempête, c’est Tekenika qui part en barque pour rapporter du poisson, même si elle est toute petite. Elle est si décidée, si courageuse, qu’elle devient amie avec un éléphant de mer. Et un jour, ayant bravé à son tour la tempête, elle revient à la maison avec bien plus qu’un poisson… Ce conte est inspiré par une nouvelle du grand écrivain chilien Francisco Coloane.
Trogndjûû ! Cela fait des heures que Tor pêche au bord du lac et il n’a toujours rien pris, pas le moindre petit poisson. Son père et son oncle ont une explication. C’est encore un tour du farfajoll, un gnome des lacs et des rivières qui s’amuse à empêcher les poissons de mordre à l’hameçon. Il faut à tout prix se débarrasser de cet être nuisible, de cette créature du diable. Le farfajoll, un être monstrueux ? Tor, pour sa part, le trouve tout simplement extraordinaire…
En faisant vivre Tor de Borgisvik, son nouveau héros, Thomas Lavachery a souvent pensé à Nils Holgersson, dont les aventures ont enchanté son enfance. Il en a fait un petit gars sensible, généreux, et d’emblée entreprenant, qui risque fort de rencontrer d’autres gnomes aussi extraordinaires que le farfajoll dans un prochain roman.
Ses lecteurs s’en réjouissent par avance !
Dans la même collection : Trois histoires de Jojo de la jungle
La semaine où Marc a eu une grosse fièvre, Oncle Edouard lui a envoyé une petite boîte. Quand Marc l'a ouverte, un nuage d'éphémères s'en est échappé et s'est envolé par la fenêtre. Marc s'est alors aperçu que le quartier tout entier avait disparu. À la place de la rue coulait une rivière.
Son père le lui avait bien dit : « Il ne faut pas sortir en mer quand le ciel est noir. » Mais comme il n’est plus là pour le lui interdire, le petit garçon part pêcher sous les nuages. Soudain, quelque chose se prend dans son filet. Alors qu’il tire, la tempête se déchaîne. Et voilà que sa prise apparaît. Horreur ! C’est un squelette qui se dresse devant lui. Il a beau fuir, pagayer de toutes ses forces, puis s’évanouir, le petit garçon ne se débarrassera pas du squelette avant d’avoir compris ce que celui-ci est venu lui enseigner…
Il y a huit ans que Chen Jiang Hong a eu l’idée de cet album, intrigué par un dessin traditionnel chinois du VIIe siècle sur lequel un squelette manipule une marionnette d’enfant-squelette devant un petit garçon qui les regarde paisiblement, tandis que, derrière lui, sa mère est terrifiée. Peu à peu, nourri aussi par des contes, il a trouvé son histoire qui illustre de façon profonde cette grande vérité de la philosophie chinoise : la vie et la mort sont comme les deux côtés de la même main. Les enfants, qui sont de grands sages, acceptent bien plus volontiers cette idée que les adultes…