Thème « Paris »

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13 ans et +
M + / 9782211085533 / 23.50 € / Disponible

La débâcle de 1940, l’Occupation allemande, la Résistance, la collaboration… Cette période sombre est aussi une période assez floue pour ceux qui ne l’ont pas vécue.
La Seconde Guerre mondiale observée en direct à travers les agissements quotidiens d’une brochette de civils qui se trouvent pris dans ses drames et s’y démènent comme ils peuvent : tout y est, la peur, la honte, le comique, le tragique, le répugnant et même l’héroïsme. C’est un tableau d’époque allègrement brossé par un maître contemporain, lequel, pour la réédition illustrée de ce roman célèbre, s’est adjoint les talents de Philippe Dumas, artiste frère et âme soeur.

« Je ne devrais pas faire cet aveu qui trahit mon grand âge : je me souviens très bien de la guerre de 40 et de l’Occupation. C’est d’ailleurs l’une des nombreuses raisons pour lesquelles Au Bon Beurre, lu à l’âge de 14 ans, m’a tant séduit et tant marqué. Mon premier roman pour adultes. Il me parlait d’un temps qui avait été le mien aussi et mettait en scène des personnages que j’aurais pu connaître.
Ses pages ne racontaient pas d’histoires, elles racontaient mon histoire, celle que j’avais vécue à ma modeste place d’enfant. Plus tard, j’appris que l’auteur, sous la merveilleuse gaieté de son style, était un authentique héros, qui avait couru lui-même de vrais dangers, et pouvait donc se payer le luxe de l’indulgence envers les faux résistants.
Une autre raison qui m’attache à ce livre tient à ce que c’est un grand livre. Sur certains aspects particuliers de cette période tragique, il est un ouvrage de référence, avec cet avantage qu’on s’y amuse énormément. Je suis persuadé qu’on le lira encore dans un siècle, sauf extinction totale de la race des lecteurs. D’où la joie que j’éprouve à y avoir ajouté ces dessins directement puisés dans ma mémoire, et mon orgueil de penser que j’accompagne ainsi un chef-d’oeuvre en route vers la postérité.
» Philippe Dumas

Classiques / 9782211029384 / 6.10 € / Disponible

À la fin du XIXe siècle, la lutte s’engage dans Paris entre le petit commerce et les grands magasins. Parmi ces derniers, le Bonheur des Dames, où tout est mis en œuvre pour que la cliente succombe à la tentation de l’achat. Selon le mot du baron Hartmann, le financier de l’histoire, à l’une de ces dames : « Prenez garde, ma chère, il vous mangera toutes. » Il en est une, cependant, qui ne se laisse pas manger : Denise ; une nature d’acier sous ses airs timides. Elle tient bon et, dans ce Bonheur des Dames qui n’avait rien pour faire le sien, effectue une irrésistible ascension, prouvant qu’il est d’autres empires que celui du profit et qu’on les fonde parfois sur un refus.

M + / 9782211321327 / Disponible

Paris, 1922. Le soir de son anniversaire, Madame Gambette, la mère adoptive de Balto, ne rentre pas à la roulotte. Malaise ? Rendez-vous secret ? Enlèvement ? Notre gars de la Zone alerte Émilienne, sa complice journaliste, alors que dans la ville, les disparitions se multiplient : une pharmacienne, un confiseur, un invalide de guerre, un juge à la retraite… Madame Gambette figure-t-elle sur cette macabre liste ? Quel est le but de cet assassin qui sévit dans les rues de Paname, et disparaît à bord de sa Torpédo rouge sang ? Les enquêteurs sont sur les dents, la presse s’enflamme et, du théâtre du Grand Guignol au vélodrome d’hiver, Balto désespère de retrouver sa daronne… avant qu’il ne soit trop tard.

M + / 9782211308014 / Disponible

Qui a tué Timoléon Escartefigue, modeste réparateur de vélos du boulevard des Batignolles, à Paris ? Que s’est-il passé sur le front, en pleine guerre de 14, dans les décombres d’une maison en ruine ? Qu’est devenu Victor, le condamné à mort qui a disparu avant son exécution ? Quel secret cache Émilienne Robinson, jeune journaliste fraîchement engagée au journal l’Excelsior ? Et pourquoi, dans ce Paris de 1920, alors que la guerre est terminée, d’anciens poilus sont-ils assassinés les uns après les autres ? Et par qui ? Balto, qui vit dans la Zone, cette bande de misère entourant la capitale, veut enquêter afin d’innocenter son frère que l’on soupçonne, et découvrir qui est le dernier des Valets de Cœur...

M + / 9782211313834 / Disponible

Marcel, un vieux copain de Balto, se fait assassiner sous ses yeux. Qui a pu commettre ce crime sans pitié ? En vrai gars de la Zone, Balto jure de venger son ami et se lance dans une enquête qui va le mener dans le monde du cinéma naissant, dans les salons de la haute couture parisienne, les réceptions de l’aristocratie russe en exil, et même les ruines d’un orphelinat. Coup de chance : il retrouve Émilienne Robinson, l’époustouflante journaliste lancée sur la même enquête. Mais les morts se multiplient, et l’étau se resserre autour de lui. Rattrapé par les Gardiens de Nulle-Part, Balto va se retrouver confronté à la Grande Histoire…

Classiques / 9782211203098 / 6.10 € / Disponible

Réussir, faire fortune, se hisser au plus haut… Lorsqu’il débarque à Paris, en 1880, Georges Duroy n’a que cette idée en tête. Mais comment faire ? La haute société, avec ses soirées mondaines, ses intrigues, ses hommes de pouvoir, ses femmes élégantes et influentes, rien de tout cela n’est à la portée d’un petit employé de bureau tel que lui. Il erre sur les boulevards, les poches vides et la rage au coeur. Lui qui « crève de faim » tordrait volontiers le cou de tous ces bourgeois repus et tranquilles qui se pavanent aux terrasses des cafés et dont la vie semble si facile…
Jusqu’au jour où ses pas croisent ceux de Forestier, un ancien camarade de régiment marié, journaliste et jouissant d’une « belle situation ». « Vois-tu, mon petit, assure Forestier, tout dépend de l’aplomb, ici. Il faut s’imposer et non pas demander. » Quant aux femmes, ajoute-t-il, « c’est encore par elles qu’on arrive le plus vite ». Deux conseils que Duroy ne risque pas d’oublier, d’autant que, pour « arriver », il est prêt à tout. Même au pire.

Guy de Maupassant : « J’ai voulu simplement raconter la vie d’un aventurier pareil à tous ceux que nous coudoyons chaque jour dans Paris, et qu’on rencontre dans toutes les professions existantes. […] J’ai soin de dire qu’il ne sait rien, qu’il est simplement affamé d’argent et privé de conscience. Je montre dès les premières lignes qu’on a devant soi une graine de gredin, qui va pousser dans le terrain où elle tombera. […] Il n’a aucun talent. C’est par les femmes seules qu’il arrive. […] De quoi se plaint-on ? De ce que le vice triomphe à la fin ? Cela n’arrive-t-il jamais et ne pourrait-on citer personne, parmi les financiers puissants, dont les débuts aient été aussi douteux que ceux de Georges Duroy ? » Lettre au rédacteur en chef de Gil Blas, publiée le 7 juin 1885.
La lecture d’une oeuvre de Guy de Maupassant figure au programme des classes de quatrième.

M + / 9782211036238 / 9.00 € / Disponible

Lorsqu'au réveil, Carla entend sa nounou pleurer en écoutant une chanson des Quecheupayùn, le groupe que dirige son père, elle ne s'inquiète pas trop. La nounou passe sa vie à pleurer, cela fait partie de sa méthode pour élever les enfants. Mais cette fois-ci, ce ne sont pas des larmes de crocodile. Aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres à Santiago du Chili, c'est le jour du coup d'état contre Salvador Allende. Très vite, Carla et son frère Cristobàl comprennent que leur famille est en danger. Le nouveau régime est impitoyable pour les communistes. Il faut fuir vers la France, un petit pays d'Europe que Carla s'imagine pauvre et légèrement sous développé. Lorsqu'elle arrive à Gennevilliers, elle n'en croit pas ses yeux : c'est moderne ici, pense-t-elle, et il y a de tout dans les magasins. « Nous vivons dans un rêve, un film de Walt Disney, » pense Carla, ce qui ne l'empêche pas de voir qu'ici aussi les gens sont bizarres et que la violence peut naître n'importe où.

M + / 9782211230070 / 16.00 € / Disponible

Quand on est le fils d’un montreur d’ours, d’un Ursari, comme on dit chez les Roms, on sait qu’on ne reste jamais bien longtemps au même endroit. Harcelés par la police, chassés par des habitants, Ciprian et sa famille ont fini par relâcher leur ours et sont partis se réfugier à Paris où, paraît-il, il y a du travail et plein d’argent à gagner.
Dès l’arrivée dans le bidonville, chacun se découvre un nouveau métier. Daddu, le montreur d’ours, devient ferrailleur, M’man et Vera sont mendiantes professionnelles, Dimetriu, le grand frère, est « emprunteur » de portefeuilles et Ciprian, son apprenti.
Un soir, Ciprian ne rapporte rien de sa « journée de travail ». C’est qu’il a découvert le paradis, le « jardin du Lusquenbour », où il observe en cachette des joueurs de « tchèquématte ». Le garçon ne connaît rien aux échecs mais s’aperçoit vite qu’il est capable de rejouer chaque partie dans sa tête. C’est le début d’une nouvelle vie pour le fils de l’Ursari…

Classiques / 9782211082198 / 6.10 € / Disponible

Paris, fin 1819. Dans une sordide pension près du Panthéon, la maison Vauquer, cohabitent les acteurs ou témoins de l'une des histoires les plus cruelles de la littérature : Vautrin, Rastignac et Goriot. L'inquiétant Vautrin, ancien bagnard qui se fait passer pour rentier, tente en vain d'entraîner dans un marché criminel Eugène de Rastignac, jeune étudiant ambitieux et sensible venu faire son droit à Paris. Quant au père Goriot, doyen de la pension, c'est un vieillard pathétique qui dissimule un secret, un secret qui fait de lui un homme de plus en plus pauvre, que sa misère croissante oblige à grimper d'étage en étage dans la pension pour y occuper des logements toujours plus misérables, jusqu'aux galetas des mansardes. Goriot se ruinerait-il en entretenant des femmes ? Oui. Mais ces femmes sont ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, deux ingrates entrées dans la haute société parisienne et qui ont honte de leur père, enrichi dans la fabrication de pâtes alimentaires. Pour qu'elles lui vouent un peu de reconnaissance, ce papa poule va pousser l'abnégation jusqu'au sacrifice. Assis sur un banc des Champs-Élysées, il les voit passer en calèche, dans leur bel équipage, et dit : « J'aimerais être le petit chien sur leurs genoux ! » Il a mérité l'appellation de « Christ de la paternité » celui qui avoue : « J'ai bien expié le péché de les trop aimer. »

Classiques / 9782211029469 / 6.10 € / Disponible

Dans le Paris de Louis XI, dans le grouillement de la cour des Miracles, les destins de trois personnages s'entrechoquent : d'abord Esmeralda, l'ensorceleuse qui fait battre les cœurs. Ensuite, Frollo, le prêtre à l'âme perdue de passion inavouable. Et, enfin, la créature, « mi-homme mi-animal, plus dur, plus difforme et plus foulé aux pieds qu'un caillou », Quasimodo, le sonneur de cloches. Mais ce caillou a un cœur, le monstre pleure d'amour pour Esmeralda... 

M+ poche / 9782211121453 / 4.99 € / Disponible

Ils ont souvent tout perdu, famille, travail, maison, raisons de vivre, ceux qui arpentent le hall de la gare de Lyon sans espérer partir nulle part. Ils ont tout perdu et ils n'attendent plus rien. Parmi eux, il y a la vieille, élégante dans sa misère, cheveux coiffés, habits bleus. Ses copains de galère, Max, Henri, Élie, Céline. Ses combines et ses confidences avec Yvonne, la dame pipi. Ses trouvailles quotidiennes dans les poubelles garnies par les gavs, les nantis, les inconscients. Sa boîte à sucre, boîte aux secrets, aux souvenirs de la vie d'avant. Une routine comme une autre. Jusqu'au jour où la vieille aperçoit une toute jeune fille sur un banc. Elle est différente. Fragile. Elle semble regarder quelque chose intensément, à l'intérieur d'elle-même. Puis elle se lève. Et la vieille reconnaît son pas. Un pas perdu.

M + / 9782211087650 / 10.00 € / Disponible

« - Non... souffla mon père. Non, monsieur Lagneau. Je ne veux pas de supplément. Je... je ne veux pas d'argent du tout.
M. Lagneau lui jeta un regard vif et curieux. Leurs yeux se croisèrent. Dans ceux de M. Lagneau, mon père ne vit rien qui pouvait lui faciliter les choses. Mais il ne vit rien qui pouvait lui nuire non plus. Il toussa pour gagner du temps. La petite alarme restait muette. Eugène nota seulement que, devant la cheminée éteinte, le mannequin était légèrement tordu en avant sur son socle, comme sur le point de prendre ses jambes à son cou. Il jeta son premier dé. Histoire de tâter Dame Chance par le pouls :
- J'aurais besoin, dit-il très lentement, de refaire mes papiers. Les miens et ceux de ma famille.
M. Lagneau se tourna vers le mannequin, le dévisagea, l'air de vouloir s'assurer que ce n'était vraiment personne. Il revint à mon père et demanda tout bas :
- Vous êtes français, monsieur Eugène ?
- Français, oui. J'ai mon décret de naturalisation.
Le secrétaire de mairie se pencha, et, toujours chuchotant :
- Eh bien, donc ? Pourquoi les refaire, ces papiers ? Vous n'êtes pas en règle avec les actuels ?
- Si, si. Il nous faudrait la même chose, les mêmes papiers. Exactement. La même carte d'identité pour ma femme. La même pour ma fille Madeleine. Et pour mon fils André. Et le petit Charly. Oui, tout, tout pareil... Mais sans le tampon.
M. Lagneau tapota le sol du bout du pied. Mon père glissa le pouce dans sa bretelle et, à cet homme dont il ignorait tout, hormis son tour de taille, son air aimable, et qu'il travaillait pour un maire désigné par Pétain, il répéta :
- Les mêmes. Sans le tampon « Juif » dessus.
Il leva la tête et chercha anxieusement quelque chose dans le regard du secrétaire de mairie. Quelque chose qui lui dirait qu'il ne venait pas de précipiter sa famille et lui-même droit sur la route du camp de concentration ou du peloton d'exécution. »

M + / 9782211058414 / 9.00 € / Disponible

C'est moi qui ai trouvé l'idée des vacances à l'île de la Réunion. Ca m'est venu subitement. Je me suis imaginé planant au-dessus d'un grand volcan, croisant les faucons et atterrissant tout doucement sur la plage... Parce que mon rêve dans la vie, c'est voler. Alors, j'ai dit : « Et si on partait à la Réunion ? » 
Tout le monde était d'accord. Même Djamel qui, d'habitude, n'a envie de rien. La seule chose, c'est qu'il faut de l'argent pour partir. Sonia a constaté que dans l'état actuel des choses on n'irait pas plus loin que Marne-la-Vallée. Et je me suis senti totalement déprimé.
Il fallait trouver un plan. C'est là que j'ai croisé sa route. Il avait l'air poursuivi par la police. Il m'a proposé de l'argent. En échange, je devais l'héberger. J'ai dit oui. Même si j'ai omis de préciser que papa est flic...

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