Thème « pacifisme »
M. et Mme Lagriffe, deux chats amoureux, attendaient un bébé et… surprise ! C’est un petit chiot qui leur est né. Flix, car c’est son nom, va employer toute sa vie de chien à réconcilier ses deux cultures, et le peuple des chiens avec celui des chats.
Il était une fois, un nuage bleu. Tellement heureux et tellement bleu qui bleuissait tout sur son passage et ne faisait jamais pleuvoir. Voici donc l'histoire d'un nuage pas comme les autres, qui ne veut que le bien des habitants de la Terre et qui ferait tout pour les sauver. Tout, même de la pluie s'il le fallait...
C’est l’histoire classique du chevalier qui veut conquérir le cœur de la princesse en lui offrant la tête d’un dragon. Sauf que Lubin n’est pas un chevalier ordinaire… Quant au dragon, prénommé Norbert, eh bien, il est carrément extraordinaire !
Il était une fois six hommes qui cherchaient un endroit sur Terre où travailler et vivre en paix… mais c’est la guerre qu’ils finirent par trouver ! David McKee aborde ici un thème grave, la guerre, et d’un trait sobre, il en souligne l’absurdité avec une rare efficacité.
Publié pour la première fois en 1972 en Angleterre et en Allemagne, cet album – un chef-d’oeuvre absolu – n’avait jamais été édité en France.
Toute la journée, Flon-Flon joue avec Musette, tantôt d'un côté du ruisseau, tantôt de l'autre. Plus tard, ils se marieront. Mais un soir, le papa de Flon-Flon dit : « Mauvaise nouvelle ! La guerre va bientôt arriver. » Et le lendemain, à la place du ruisseau, il y a une haie d'épines.
Entre les Rouges et les Bleus, c'était la guerre depuis si longtemps que plus personne ne savait pourquoi elle avait commencé. Alors, pour en finir, Jules, fils du Roi des Rouges provoqua en duel Fabien, fils du Roi des Bleus. Mais Fabien, lui, n'aimait pas tellement se battre.
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait par-dessus tout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. Il était si doué que l'Empereur entendit parler de lui, et le fit entrer à l'Académie des peintres officiels. Mais là, Han Gan ne voulut peindre que des chevaux, et toujours attachés. Quand ses collègues lui demandèrent pourquoi, il répondit que ses chevaux étaient si vivants qu'ils pourraient sortir du papier. Une nuit, un valeureux guerrier vint frapper à la porte de Han Gan. Il lui dit que le pays était en danger, qu'il devait partir se battre demain, et lui demanda de faire apparaître pour lui le plus fougueux et le plus vaillant des coursiers. Han Gan se mit au travail... Il ne savait pas encore qu'il allait donner vie cette nuit-là à un cheval invincible, au caractère noble et indomptable.